samedi 31 août 2019

Ce président brésilien BOLSONARO est vraiment un mauvais clown triste :


Amazonie : Bolsonaro renonce aux stylos Bic, une marque « française »

En pleine crise diplomatique avec Paris, le président brésilien a indiqué qu'il userait désormais de stylos d'une marque brésilienne.


Le bras de fer que livre Jair Bolsonaro à la France dans le dossier des incendies en Amazonie se déplacera-t-il sur le front commercial  ? Vendredi, le président brésilien a affirmé qu'il allait renoncer à utiliser des stylos Bic, car il s'agit d'une marque « française ».
Il signait jusqu'à présent les documents officiels avec ces stylos bon marché, qu'il a souvent brandis devant les caméras comme le symbole de la modestie de son train de vie présidentiel, contrairement à celui de ses prédécesseurs.


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La présidence ne commente pas « cette affaire »

« Un stylo (de la marque brésilienne) Compactor, à la place de Bic, fera l'affaire », a-t-il dit à des journalistes à Brasilia. La veille, il avait déclaré sur Facebook : « Maintenant, ce sera Compactor, parce que Bic est français. » Un porte-parole de la présidence, auquel l'Agence France-Presse a demandé si les déclarations présidentielles étaient à prendre au sérieux ou s'il s'agissait d'une boutade, a répondu ne pas souhaiter « faire de commentaires sur cette affaire ».


Quelque 95 % des stylos vendus au Brésil par Bic sont fabriqués à Manaus, dans l'État d'Amazonas, l'un des neuf États à abriter la forêt amazonienne au Brésil, a expliqué un chargé de la presse de la firme contacté par l'Agence France-Presse par mail. Le groupe emploie un millier de personnes dans ses usines de Manaus et de Rio de Janeiro. Bic n'a pas souhaité commenter les déclarations de Jair Bolsonaro, mais s'est dit « flatté » d'être reconnu comme étant « une marque démocratique ».

États-Unis et Brésil « sont sur la même longueur d'onde »

Les graves incendies qui sévissent en Amazonie ont donné lieu depuis la semaine dernière à des échanges très tendus entre le Brésil et la France. Pour le troisième jour consécutif vendredi, Jair Bolsonaro a demandé que le président français Emmanuel Macron se rétracte après qu'il eut déclaré ouverte la question de la souveraineté sur l'Amazonie, dont 60 % se trouve en territoire brésilien.
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Vendredi, le président brésilien a estimé que l'Europe n'avait « pas de leçon à donner » au Brésil sur l'Amazonie, tandis que son ministre des Affaires étrangères Ernesto Araujo, et Eduardo Bolsonaro, le fils député du chef d'État et possible futur ambassadeur à Washington, se sont rendus à la Maison-Blanche. Les deux hommes se sont entretenus une trentaine de minutes avec le président américain.
« Les gouvernements sont sur la même longueur d'onde », a assuré ensuite à la presse Ernesto Araujo, se félicitant que « pour la première fois » le président américain reçoive des officiels n'ayant pas le rang de président ou de chef d'État. Selon le ministre brésilien, « les gouvernements partagent le point de vue que les pays sont souverains sur leur territoire » et que les feux dans la plus vaste forêt tropicale du monde ne doivent pas être « un prétexte pour promouvoir l'idée d'un comité international pour gérer l'Amazonie ».
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Qui se complaît dans la caricature stupide !

Car si la Sté française BIC ne vendait plus ses stylos qui sont fabriqués dans deux grandes villes brésiliennes, ce qui donne du travail aux brésiliens, elle transférera cette fabrication peut être dans des pays peut être à moindre coups?!

Là on voit le mimétisme à la TRUMP dont il prend exemple par un chantage de petit esprit envers E.MACRON, sauf que lui n'a pas la puissance du président des USA !

C'est pitoyable pour un dirigeant qui a tout de même besoin des autres, car son pays va mal, mais pas seulement à cause de l'incendie de la forêt amazonienne!

Jdeclef 31/08/2019 16h20

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