jeudi 31 mai 2018

Ce "povre" MELENCHON est bien malade il fait de la paranoia il voit des complots Partout contre lui !


Mélenchon : le syndrome du persécuté

Le patron de La France insoumise voit des complots partout. Pour le dernier en date, il reçoit le renfort involontaire de la Commission des comptes de campagne.

À force de hurler à la persécution politique, Jean-Luc Mélenchon a bien du mal à émouvoir qui que ce soit, en dehors de ses supporteurs les plus fanatiques. Ainsi, il conteste le décompte médiatique de la « marée populaire » qu'il avait appelée à déferler dans les rues de Paris samedi 26 mai et qui s'est résumée à un clapotis. Alors, il déplore les « chiffres pris pour argent comptant de l'agence macroniste de comptage ». Et accuse ainsi, sans le moindre fondement, le cabinet Occurence, qui entend fournir une estimation objective du nombre de manifestants.
Trois jours plus tard, il apprend « par la presse » qu'il est victime d'un « coup monté ». Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire sur ses comptes de campagne pour la présidentielle de 2017, après un signalement de la Commission nationale des comptes de campagne (CNCCFP) envoyé au mois de mars.
 Comptes de campagne : le parquet de Paris ouvre une enquête sur Mélenchon
Il est vrai que cette attitude de la CNCCFP est difficile à comprendre. Elle a validé les comptes de campagne de Jean-Luc Mélenchon, après avoir refusé de prendre en compte un peu plus de 400 000 euros de dépenses qu'elle a jugées non justifiées. Pourquoi, dans ce cas, procéder à un signalement au parquet ? Jean-Luc Mélenchon croit connaître la réponse : c'est une machination ourdie par le pouvoir en place. « Je préviens, assure-t-il, je ne tendrai pas la joue gauche. (…). Je garantis que je ne comprends pas comment la Commission nationale des comptes de campagne a pu à la fois valider mes comptes et faire un signalement. (…) Ni pourquoi elle l'a fait alors qu'elle a, au contraire, fait un communiqué pour défendre les rabais dont a bénéficié le candidat Macron. Un communiqué pour lui, un signalement judiciaire pour moi ! »

Une institution prudente, sinon frileuse

Pourquoi, en effet ? Parce que le rapporteur chargé d'examiner les pièces comptable de la campagne Mélenchon, Jean-Guy de Chalvron, un haut fonctionnaire à la retraite, a claqué la porte de la commission en novembre 2017, entre autres parce qu'il trouvait le traitement réservé à Jean-Luc Mélenchon… exagérément clément au regard des dépenses, qu'il considérait comme contestables et qui s'élevaient, selon lui, à 1,5 million d'euros. Il s'est exprimé publiquement sur ce sujet, notamment sur les ondes de Radio France. Dès lors, le « pas de vague » habituel n'était plus une option pour la CNCCFP. A-t-elle voulu se couvrir en saisissant le parquet ? C'est une hypothèse plausible, d'autant que certains de ses membres sont traumatisés par l'affaire Bygmalion, et le dépassement supposé de quelque 18,5 millions d'euros dans la campagne de Nicolas Sarkozy dont ils n'ont pas repéré le premier centime.

Jean-Luc Mélenchon ne ressemble donc pas tout à fait au persécuté qu'il prétend être. Quant à la Commission nationale des comptes de campagne, elle ne sort pas grandie de cette étrange affaire.

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Ce bonimenteur de foire se donne bien trop d'importance en croyant qu'il est le seul opposant au pouvoir macronien !

Il en arrive à croire avec ses diatribes et ses attitudes déjantées qu'il puisse changer les chose dans cette nouvelle politique de MACRON et sa REM ?!

Alors qu'il a fait "un feu de bois" lors de la campagne présidentielle en entrainant des esprits simples de gogo qui ont pu se laisser prendre par ses discours de stars hollywoodienne de tribun avec ses hologrammes !

Mais maintenant voyant que cela ne donne pas les résultats qu'il escomptait, il joue au persécuté "Calimero" sur qui tout le monde des nantis qui lui en veulent peut etre, sauf que lui est nanti lui même !


Il est pitoyable, il fait penser au regretté G. MARCHAIS le communiste qui lui au moins était un politicien drôle qui faisait rire le peuple !

Il voulait dégager cette ancienne politique et ses politiciens, mais il s'est oublié dans le lot du "dégagisme" mot inventé par ce J. L. MELENCHON anachronique !

C'est dommage que l'on doivent supporter de tels personnages dans notre monde politique français que l'on trouve souvent dans les extrêmes, mais inutiles !       
     


jdeclef 31/05/2018 11h37   

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