Cette réglementation est marginale mais pas pire que celle à 90 km/h….

Édouard Philippe, cavalier seul sur les 80 km/h

Le Premier ministre est à l'origine de l'une des réformes les plus impopulaires du quinquennat, mais reste soutenu dans son combat par l'Élysée.

Annoncée le 9 janvier, la limitation à 80 kilomètres/heure de la vitesse sur les routes départementales est une mesure prise unilatéralement par Édouard Philippe. Et la première depuis son installation à Matignon. Le dossier aurait pu être porté par le ministère de l'Intérieur, mais, selon un membre du gouvernement, «  ce n'était pas du tout la tasse de thé de Gérard Collomb et, surtout, c'était la volonté du Premier ministre lui-même  ». Depuis, la grogne du ministre de la Cohésion des territoires, Jacques Mézard, des élus ruraux, comme celle de la Fédération française des motards, ne faiblit pas et la réforme est l'une des plus impopulaires du quinquennat.
La faute, notamment, à une décision abrupte qui n'entre pas dans le schéma classique macronien. «  D'habitude, notre méthode se fonde sur le diagnostic : s'il y a un problème, on intervient avec des préconisations gouvernementales, on demande des rapports, on fait monter le truc, on hystérise si besoin, et à la fin il y a un texte de loi, explique Christophe Castaner. Sur les 80 kilomètres/heure, il n'y a eu ni appropriation ni diagnostic, ce qui explique pourquoi on est encore en difficulté sur le sujet.  » L'ex-député socialiste, s'il reste très proche d'Édouard Philippe, n'hésite pas à comparer la mesure avec la première mouture de la loi El Khomri, travaillée «  en chambre  » par François Hollande et rendue publique en toute fin de séquence… avec le dénouement qu'on connaît. Malgré les turbulences, le président de la République n'a pas souhaité déjuger son Premier ministre, sachant pertinemment qu'il ne doit pas affaiblir l'homme qu'il a choisi. Il se pourrait même qu'il soit en accord avec celui-ci : «  Emmanuel Macron savait que ce n'était pas populaire et il a suffisamment d'autorité pour décider qu'une chose doit se faire ou pas… Donc, c'est qu'il soutient  !  » balaie un conseiller du palais.
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A chaque réglementation du code de la route ou des contraintes de sécurité comme le port de la ceinture qui maintenant est devenue une habitude, qu’on ne s'en rend pas compte tellement que c'est un geste devenu automatique !

Mais on voit toujours une partie des automobilistes frondeurs franchouillards qui se croient les meilleurs conducteurs ou ceux soi-disant qui font le plus attention !

Quand cette mesure sera appliquée, on s'y habituera au fil du temps, pour ne plus y penser après!

Notre défaut c'est notre indiscipline et pourtant, il y a toujours trop de morts et surtout des blessés sur les routes par souvent imprudence ou non-respect des vitesses sans compter les abus d'alcool ou substances illicites au volant !

Ou maintenant la conduite avec le portable à l'oreille, sans compter les infractions diverses au code de la route que l’on oublie après avoir passé son permis par de mauvaises habitudes!

Alors oui, c’est comme ça, on paie pour les autres qui ne respectent pas celles-ci et cela touche en 1er notre porte-monnaie, car ça semble-t-il nous fait plus mal que de perdre la vie ou être handicapé à cause d'accidents trop nombreux !

Soyons raisonnable et balayons devant notre porte ou alors laissons notre voiture au garage!

La liberté doit être mieux encadrée, c’est ce qui pèche un peu dans notre société française par pas mal de nos comportements !

Jdeclef 04/05/2018 14h39