Là on se rencontre de ce que qu'a pu faire un énarque borné comme notre ex président F.HOLLANDE !

François Hollande, pathétique jusqu'au bout

Même la condamnation de Jérôme Cahuzac est une occasion pour l'ex-président de tout ramener à lui. Comme s'il était incapable de mettre son ego de côté.

En déplacement à Périgueux pour la promotion de son livre, François Hollande a immédiatement commenté la peine de quatre ans d'emprisonnement, dont deux avec sursis, assortie d'une amende de 300 000 euros et de cinq ans d'inéligibilité, prononcée par la cour d'appel de Paris à l'encontre de Jérôme Cahuzac. Rien ne s'y oppose. C'est lui et personne d'autre qui avait choisi le condamné du jour comme ministre chargé du Budget.
Mais l'ex-président ne peut s'empêcher de ramener à sa petite personne cette histoire tragique, dans laquelle un ministre régalien s'est ouvertement moqué de la nation et des principes qui la régissent, au premier rang desquels l'égalité devant l'impôt. Il rappelle en effet que le comportement de cet ancien pilier du gouvernement a été « grave » : « Grave parce qu'il y a eu mensonges, mensonge à mon égard, mensonge à l'égard de la représentation nationale, grave parce qu'il s'agissait d'un homme public qui devait être exemplaire. »
« Mensonge à mon égard » : l'ancien chef de l'État n'a donc toujours pas compris qu'il a occupé, pendant cinq ans, une fonction qui le dépassait. Que ce qui est inadmissible, c'est qu'un ministre, chargé de lutter contre la fraude fiscale qui plus est, ait abusé la confiance du président de la République. Pas de François Hollande !
Ainsi, malgré les épreuves, il semble n'avoir rien appris de l'adversité. L'impossibilité de se présenter à sa propre succession, la contrariété de voir s'installer dans son fauteuil le meilleur de ses anciens collaborateurs, rien de tout cela ne le distrait d'une attraction fatale, celle de son nombril. C'est elle qui le conduit à s'abaisser, à la télévision, à des blagues salaces, homophobes et douteuses sur l'attitude d'Emmanuel Macron envers Donald Trump.
C'est elle encore qui lui fait consacrer, dans son livre Les Leçons du pouvoir (éditions Stock), plusieurs pages à son ancien ministre du Budget pour conclure que lui, François Hollande, n'a commis dans cette affaire aucune erreur. Ah si ! Il en reconnaît une, qui lui permet de glisser une peau de banane à son successeur : il aurait dû se séparer de Jérôme Cahuzac plus tôt, dès l'ouverture d'une enquête préliminaire par le procureur de Paris. « La démission doit intervenir dès le déclenchement d'une procédure judiciaire sans attendre la mise en examen », assure-t-il. Une flèche de plus contre l'actuel exécutif afin de le faire apparaître comme laxiste chaque fois que le nom d'un ministre est cité dans une affaire.
Qui sait, d'ailleurs, si l'étonnant succès commercial de cet ouvrage, plaidoyer pro domo mouillé d'amertume, ne donnera pas à François Hollande l'illusion qu'il peut encore compter, et, pourquoi pas, revenir ? Ce serait un très mauvais calcul pour tout le monde.
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Ce pleutre bouffi d'orgueil comme une baudruche crevée par son abandon avant la fin de son quinquennat ce qui est une vraie honte !

Qui a détruit indirectement le vieux parti PS qu'il avait dirigé pendant une décennie !

Et qui s'étonne hypocritement après qu'une majorité de français l'ont rejeté !

Mais il a permis à beaucoup de français d'avoir enfin le courage de rejeter cette ancienne classe de politiciens ex élus ringards qui promettaient comme lui le changement qu'ils ne faisaient jamais depuis trente ans !

Jdeclef 17/05/2018 10h30LP