Cette situation ne peut durer indéfiniment à cause de poignées de trublions !

Universités : la saison des examens se complique pour Lyon-2 et Marseille

À Lyon et Marseille, plusieurs centaines d'étudiants ont vu leurs examens annulés après que des individus ont décidé de bloquer l'accès des bâtiments.

Ils sont 800 à Lyon et environ 700 à Marseille. Ces étudiants n'ont pas pu passer leurs examens lundi en raison de bâtiments bloqués par d'autres groupes d'étudiants luttant toujours contre la réforme de l'accès à l'université. Sur le campus de Lumière-Lyon-2, aux alentours de 6 h 30, des étudiants qui avaient voté vendredi dernier le blocage des lieux à l'occasion d'une assemblée générale ont entrepris de former une chaîne humaine pour empêcher l'accès aux deux sites de la faculté, a fait savoir la direction de la communication de l'université. Les bloqueurs étaient « environ 150 » sur le campus de Bron, dans l'est de la ville, et « autant » sur le site du centre-ville sur les quais du Rhône, selon la même source qui a souligné que la session d'examens qui débutait ce lundi ne pouvait donc avoir lieu.
Les forces de l'ordre sont intervenues pour empêcher les manifestants de pénétrer dans les bâtiments et ont interpellé une personne par la suite pour « outrage et rébellion », selon la préfecture, qui souligne que cette opération « s'est bien déroulée » et a permis de garantir l'accès aux bâtiments. Mais malgré cette sécurisation des lieux, l'université a décidé de ne pas maintenir les examens, selon la même source. La présidente de Lyon-2, Nathalie Dompnier, consultait lundi les responsables des différentes filières afin de définir de nouvelles modalités d'examen. Plusieurs pistes sont à l'étude : épreuves à distance, écrits transformés en oraux ou report sur la deuxième session. La semaine dernière, l'université, où les cours étaient suspendus depuis un mois, avait fait savoir que les examens se tiendraient « comme prévu » du 14 au 25 mai.

Risque de « trouble à l'ordre public »

À Marseille, les examens prévus lundi pour environ 700 étudiants marseillais ont été annulés par la direction de l'université Aix-Marseille, après le blocage d'un site universitaire sur la Canebière par des opposants à la réforme de l'accès à l'université. Vers 9 heures, des policiers ont repoussé les 60 à 80 jeunes qui bloquaient l'entrée de la faculté de droit et d'économie, où avaient été délocalisées des épreuves de sciences, a constaté l'AFP. Face au risque de « trouble à l'ordre public », la direction de l'université a décidé d'annuler les examens prévus, a précisé une porte-parole. Sur la Canebière, sur les fenêtres de la porte d'entrée du site gardée par les forces de l'ordre, des feuilles A4 annonçant l'annulation de ces examens prévus à 8 h 30 ont été affichées.
Après le déblocage de l'établissement, une trentaine de militants syndicalistes cheminots et dockers sont venus afficher leur soutien aux étudiants grévistes. Accueillis par une clameur, ils se sont postés en première ligne face aux policiers qui gardaient toujours vers 10 heures l'entrée du site. D'autres examens avaient été annulés vendredi et samedi à Arcueil (Val-de-Marne), où avaient été délocalisés des partiels de l'université de Nanterre, et mercredi dernier à Grenoble. Dans cette dernière ville, les épreuves se déroulaient toutefois « normalement » lundi selon la direction, qui a précisé que les forces de l'ordre s'étaient positionnées « préventivement » aux abords du campus.
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Pseudo étudiants qui devrait être radiés de l'université puisqu'ils l'occupent en la dégradant en plus !

Et qui empêche une majorité de ceux qui veulent étudier normalement de le faire et que cela se termine en annulant des examens pour ceux qui voulaient les passer, ce qui est inadmissible!

De toute façon il ne faut pas attendre un mois pour faire évacuer ces occupations illicites fomentées par des trublions qui parlent de démocratie ?!

Car elle est où la démocratie, mise à bas pas ces pseudos fauteurs de troubles anarchistes, ce qui nécessite après une remise en état des lieux plus ou moins importants et coûteux et une indisponibilité de ces lieux d’études ?!

Cette université comme d’autres ne leur appartient pas, alors il faut les arrêter et les condamner au mieux à réparer les dégâts en travaux obligatoires d’intérêt général assorti d’amendes !

Tout en les radiants des cours pour les meneurs, car s’ils veulent manifester leur mécontentements, ils peuvent le faire en FRANCE en défilant et protestant comme le fond les travailleurs jusqu’au ministère concerné par exemple en demandant à être reçu ?!

C’est totalement impardonnable, car ils ont la chance de faire des études universitaires, mais ils n’y connaissent rien de la vraie vie de travail qui les attend s’ils réussissent leurs études, mais n’en prennent pas le chemin en ne pensant pas à leurs parents qui leur ont  payé celles-ci pour certains !

Jdeclef 14/05/2018 13h21