mercredi 2 mai 2018

OUI et alors ?! (Il n’y a pas que ceux-là c’est derniers temps ?!)


De Sydney, Emmanuel Macron condamne les casseurs du 1er mai

En visite en Australie, Emmanuel Macron a condamné avec fermeté les violences qui ont éclaté lors du défilé du 1er mai à Paris.


« Le 1er mai est la journée des travailleurs, pas la journée des casseurs », a lancé le président de la République Emmanuel Macron lors d'une conférence de presse mercredi à Sydney. Avec ces propos, il faisait naturellement référence aux violences qui ont éclaté en marge de la manifestation syndicale du 1er mai à Paris.
« Je ne peux ici que condamner à nouveau avec la plus grande fermeté ce qui s'est passé », a insisté le président, qui s'exprimait à l'issue d'un entretien avec le Premier ministre australien Malcolm Turnbull au cours duquel il a signé des accords institutionnels et commerciaux. Il a cependant rappelé qu'il avait comme principe de ne pas s'exprimer sur des sujets français quand il était à l'étranger. Il a souligné qu'il y avait « un Premier ministre et un ministre d'État, ministre de l'Intérieur, qui étaient sur place et ont pris les décisions qui convenaient. Des interpellations ont été effectuées, toutes les mesures ont été prises ». « Il y a un gouvernement, il y a un État, il est dirigé, et il continuera à agir », a-t-il assuré.

« Les réformes continuent à être menées chaque jour »

Quelques heures plus tôt, il avait déjà « condamné avec une absolue fermeté les violences » qui ont émaillé le défilé parisien. « Tout sera fait pour que leurs auteurs soient identifiés et tenus responsables de leurs actes », avait-il écrit.
Je condamne avec une absolue fermeté les violences qui ont eu lieu aujourd’hui et qui ont dévoyé les cortèges du 1er mai. Tout sera fait pour que leurs auteurs soient identifiés et tenus responsables de leurs actes.
Dès son arrivée sur le sol australien, Emmanuel Macron avait été interrogé sur son déplacement à l'autre bout du monde alors que le climat social était toujours extrêmement tendu en France. « Et vous vouliez que je fasse quoi ? » avait-il alors lancé. « Que je reste chez moi à regarder la télévision ? J'ai autre chose à faire. Je continue à travailler, les réformes continuent à être menées chaque jour et elles continueront à l'être. »
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C’est le moins qu’il puisse faire comme bien de ses prédécesseurs qui protestaient et condamnaient ce genre d’incidents seule chose ou réactions qu’ils savaient faire !

Nos dirigeants devraient faire respecter l’état de droit dont ils ont plein la bouche en le faisant mieux respecter par tous ces trublions dangereux et autres casseurs violents !

Car peut être sous prétexte que les forces de l’ordre anti-émeute sont mieux protégés carapaçonnés, ils doivent se défendre à minima et surtout ne pas blesser ces jeunes voyous qui se défoulent comme dans des jeux vidéos bien que ceux-cachés derrière leur lunette et masqués et habillé en noir anonyme sont parfaitement organisés en utilisant des armes de guerre incendiaires comme des cocktails Molotov par exemple ?!

G.COLLOMB le ministre de l’intérieur dépassé a essayé d’expliquer ces faits ou il a semblé désarmé car pas assez réprimé et sanctionné par une justice molle et un code pénal inadapté à ce type d’incidents et d’individus, tout en admettant avoir été informé des risques ce qui est inconcevable !

Ne parlons pas du 1er ministre il était aux abonnés absents..?

Conséquences : on n’est pas assez en sécurité dans la capitale et en France ou d’autres incidents ont eu lieu ?!

 Jdeclef 02/05/2018 09h15 LP

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