vendredi 18 mai 2018

C'est inadmissible et lamentable que des poignées de trublions marginaux :


Notre-Dame-des-Landes : reprise de l'opération d'expulsion dans l'ouest de la ZAD

VIDÉOS. Cette nouvelle opération d'expulsion débutée jeudi doit durer « quelques jours » et mobilise 19 escadrons de gendarmerie, soit entre 1 500 et 1 700 hommes.


La deuxième opération d'expulsion a repris vendredi peu après 6 heures dans l'ouest de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes en Loire-Atlantique, en vue d'évacuer des lieux occupés par des zadistes considérés comme illégaux, ont constaté des journalistes de l'Agence France-Presse. Plusieurs dizaines de camions de gendarmerie ont pris position avant 6 heures dans le secteur de la Freusière, près de Saint-Jean-du-Tertre, dans l'extrémité ouest de la ZAD, tandis qu'un hélicoptère survolait la zone. L'accès au site a été interdit à la presse. Cette deuxième opération d'expulsion a commencé jeudi, un peu plus d'un mois après le lancement d'une première opération d'évacuations sur le site initialement prévu pour un aéroport, auquel le gouvernement avait annoncé renoncer en janvier.
En dehors de ce secteur, l'ambiance était calme en début de matinée, sans tirs de grenades ni de gaz lacrymogènes. La D81, qui traverse la ZAD sur un axe nord-sud, a été bloquée un temps par des fourgons de gendarmerie. « Ça devient ridicule, tout ça pour des champs de carottes ! Laissez-nous vivre », a lancé une zadiste à un gendarme qui lui refusait l'accès à cette route. En parallèle des évacuations, une opération de police judiciaire a été menée dans la ZAD dans le cadre de l'enquête ouverte après un tir de fusée d'artifice contre un hélicoptère de gendarmerie en avril, a indiqué la gendarmerie.
Les gendarmes mobiles s'étaient concentrés jeudi sur cinq sites situés à l'ouest de la D81, qui traverse la ZAD sur un axe nord-sud, dans le secteur de la forêt de Rohanne. Les expulsions ne concernent pas les personnes « dont le dossier de régularisation a été accepté » ni celles « dont le dossier est en cours d'instruction », avait précisé le général Richard Lizurey, directeur général de la gendarmerie nationale. Le patron de la gendarmerie avait communiqué aux zadistes la liste des squats qui vont être évacués, « de manière à ce qu'il n'y ait pas de surprise ». L'opération, qui vise une dizaine de sites et doit durer « quelques jours », mobilise 19 escadrons de gendarmerie, dont deux en réserve, sur le secteur, soit entre 1 500 et 1 700 militaires.
Jeudi, environ 80 personnes ont fait face aux forces de l'ordre selon les gendarmes, qui estiment à environ 200 le nombre d'opposants radicaux présents sur la ZAD, sur un total de 400 personnes. Vendredi matin une dizaine de nouveaux zadistes qui s'engageaient dans la forêt pour « "rejoindre les autres ». Un zadiste a par ailleurs été condamné à un an de prison ferme par le tribunal correctionnel de Nantes pour « violences à l'encontre d'une personne dépositaire de l'autorité publique » et à 5 ans d'interdiction de séjour en Loire-Atlantique. C'est la peine la plus lourde enregistrée depuis le début des évacuations. Il a été placé sous mandat de dépôt.
Cette opération d'expulsion survient quelques jours après l'annonce par le gouvernement d'une régularisation rapide d'une quinzaine de projets agricoles, déposés par des occupants de la ZAD. Des conventions d'occupation précaire (COP), prévues par le Code rural, seront signées « dans les prochains jours » par les porteurs de ces projets maraîchers, ovins, bovins, d'apiculture ou de plantes aromatiques, avait précisé lundi le ministre de l'Agriculture, Stéphane Travert, à l'issue d'une réunion à Nantes du comité de pilotage sur l'avenir des terres de la ZAD. Lors de l'opération d'expulsion qui avait eu lieu en avril, 29 habitats avaient été détruits sur les 97 que comptait la ZAD.
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Défient l'état républicain alors qu'en plus ils ont obtenu l'abandon de l'aéroport de NDDL et que certains occupent des terres qui ne leur appartiennent pas illégalement !


En plus cela coûte très cher à la collectivité l’emploi d’une armée de gendarmes pour faire évacuer ces zadistes comme on les appelle dans cette zone que l’on peut surnommer maintenant « zone à désordre » !

Il faut les expulser avec force maintenant, car si on ne le fait pas la gestion de notre pays tournera à l’anarchie ou tout le monde voudra faire sa loi ou occupera des lieux dont ils ne sont pas propriétaires pour y faire tout n’importe quoi !

Et il y a des zones similaires en France en gestation avec le même genre de personnages !

Cela n’a que trop duré, s’il y a la tête de l’état des dirigeants qui ne sont pas capables de faire respecter les lois ou le droit français avec une justice laxiste à quoi cela sert-il de voter et d’élire nos représentants au plus haut de l’état ?!

La liberté tout le monde est d’accord pour la préserver, mais trop de libertés non encadrées sont aussi préjudiciables !

Là, on voit que notre pays va mal avec ses dérapages qui perdurent s’amplifient, car il n’y a plus de garde-fou pour empêcher ces événements dans notre société !  

Et le pire, c’est que ces les contribuables lambda normaux qui paient indirectement ces gabegies inconcevables créées avec des palabres sans fin, dont des poignées d’individus marginaux profitent !

On est loin des années 1968 ou baba cool des années 1970, il faut remettre les pendules à l’heure !

Jdeclef 18/05/2018 12h44LP

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