samedi 12 mai 2018

Ce qui est amusant c'est l'expression pour désigner cet endroit :


Qui a tagué la façade de la préfecture de police cette nuit ?

Une enquête a été ouverte pour connaître les téméraires auteurs des inscriptions sur l'un des lieux les plus sécurisés de la capitale.


« Tolbiac » suivi d'un cœur, dessiné sur un mètre de long et cinquante centimètres de hauteur, ce sont les tags qu'ont découverts cette nuit vers 2 heures du matin les policiers en faction devant le 9 boulevard du Palais, l'entrée officielle et très filtrée de la préfecture de police. Une enquête a été confiée au service d'investigation du commissariat du 4e arrondissement. Non seulement les enquêteurs recherchent l'auteur des inscriptions, mais ils doivent aussi déterminer comment il est parvenu à s'approcher de la façade sans se faire remarquer. Car on ne badine pas avec la sécurité du prestigieux bâtiment.
Pour des raisons de confidentialité, il n'est pas possible de détailler l'ensemble du dispositif de sécurité mis en place pour protéger l'institution dirigée par Michel Delpuech, le préfet de police. La surprise des policiers devant ses inscriptions doit se comprendre à l'aune des précautions et des recommandations répétées quotidiennement. D'autant que, à cet endroit, des fonctionnaires de police se relaient jour et nuit pour monter la garde.
Les premiers soupçons sont dirigés vers des étudiants et/ou des militants ayant voulu marquer leur désaccord avec l'évacuation récente de l'université de Tolbiac.

Raid à la gare de Nanterre-Université

Depuis plusieurs mois, les universités parisiennes et de proche banlieue sont l'objet de toutes les attentions des services de police et pas seulement des forces du maintien de l'ordre. Des casseurs sont repérés aux abords des facultés. Comme hier soir, à minuit passé de six minutes, selon le rapport de police consulté par Le Point, à la gare de Nanterre-Université, une quinzaine d'individus en capuches et foulards, visages dissimulés, ont détruit les portillons en verre qui donnent accès aux quais. Ils ont également badigeonné de peinture les écrans d'affichage. Les tags ont fleuri : « ZAD partout »; « Métro gratuit »; « Fraude partout ». À minuit onze, ils prenaient la fuite en direction de la fac de Nanterre, selon la police. Au total, douze portillons, cinq écrans et deux distributeurs de billets ont été mis hors service par les assaillants.
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Un des lieux les plus sécurisés de la capitale, ah bon ?!

Ils dormaient les policiers en faction ou simplement il n'y en avait pas ?!

Heureusement en ces temps instables et ces trublions dangereux que l'on n'avait pas déposé une bombe ou un engin incendiaire ?!

Mais on est en FRANCE pays de la liberté, il faut bien laisser les petits voyous  délinquants se défouler !

Jdeclef 12/05/2018 09h59

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