Il est certain qu’avec un leader JL Mélenchon avec ses diatribes qui dit tout et n’importe quoi ?!

« La fête à Macron » : la « manif pot-au-feu » qui indispose le gouvernement

L'exécutif accuse les Insoumis, qui organisent une manifestation le 5 mai, de ne pas accepter la démocratie et de prendre le risque de la violence.

À deux jours de la manifestation prévue le 5 mai pour « faire la fête à Macron », le ton monte entre l'exécutif et les Insoumis, qui s'accusent mutuellement de « remettre en cause la démocratie », dans un contexte tendu, après les violences du 1er mai. Emmanuel Macron, en déplacement dans le Pacifique, et Jean-Luc Mélenchon se sont rendus coup pour coup jeudi, installant un duel qui occulte le reste du spectre politique, du PS au FN en passant par LR.
Le chef de l'État a ainsi accusé certains élus de « tenir un discours d'agitation ». « Ils n'ont jamais accepté la défaite », « ils aiment la démocratie quand ils gagnent », a également accusé le chef de l'État, visant « ceux qui proposent des manifestations, ou des fêtes », sans citer nommément les Insoumis. Jean-Luc Mélenchon s'est empressé de répliquer au président de la République qu'il était « assez indigne de sa part d'assimiler LFI à des violences dont elle a eu à souffrir elle-même » lors de manifestations à l'automne dernier. « Bien sûr, je pense que le propos m'est adressé », pourtant « il sait très bien que je suis en désaccord absolu avec les méthodes qui ont été déployées par ces groupes violents », a insisté le chef de file des Insoumis.
Le 1er mai, Jean-Luc Mélenchon avait mis en cause des groupes d'extrême droite.
Insupportables violences contre la manifestation du premier mai. Sans doute des bandes d'extrême droite. #1erMai
Après les violences commises mardi par les Black Blocs et membres de l'ultra-gauche, le gouvernement a fait part de son inquiétude pour samedi. « Dans le langage populaire, faire la fête à quelqu'un, ça peut avoir une double signification, il y a un côté sympathique et festif et puis il y a un côté plus violent on va lui faire sa fête » et « donc, on craint aussi que des violences puissent avoir lieu », a mis en garde son porte-parole, Benjamin Griveaux.
Initiateur, avec l'économiste Frédéric Lordon, de cette « manifestation pot-au-feu », où chacun viendrait « avec ses propres revendications, banderoles, mais aussi espoirs », François Ruffin, député LFI, a lui aussi vivement réagi aux propos du président et de son gouvernement. « Je ne remets pas en cause l'élection de M. Macron. C'est lui qui n'accepte pas la démocratie », a affirmé le député Insoumis. « La démocratie, ça ne veut pas dire que pendant cinq ans, on se tait. Les gens ont le droit de contester, y compris quand le président prend des décisions qui n'étaient pas dans son programme, comme la suppression des contrats aidés ou de l'exit tax  », a-t-il fait valoir. « Macron, c'est un Robin des bois à l'envers, il prend aux pauvres pour donner aux riches », a fustigé François Ruffin.

Deux services d'ordre

Le député LR Éric Ciotti s'est pour sa part interrogé sur l'éventualité d'« interdire » cette manifestation. Il a demandé au gouvernement « d'assumer ses responsabilités » et aux organisateurs d'apporter « des éléments » pour éviter des violences semblables à celles du 1er mai.
Au-delà de la polémique et des inquiétudes, tous se montrent déterminés à faire en sorte que la manifestation se déroule dans le calme, « un moment de fraternité tranquille », écrivait M. Mélenchon mercredi sur son blog. « Il est normal qu'on renforce les dispositifs de sécurité pour permettre à nouveau aux manifestants de manifester », assure Benjamin Griveaux.
Côté organisateurs, on a modifié le parcours de la manifestation qui devait initialement partir du Louvre, lieu où Emmanuel Macron avait fêté sa victoire le 7 mai 2017. Finalement le cortège partira de l'Opéra. On précise aussi qu'il y aura « deux services d'ordre ». L'un, tout au long du trajet, entre la place de l'Opéra et la place de la Bastille, sera assuré par « une centaine de personnes », l'autre sera disposé autour du « carré des luttes », en début de cortège, avec environ 200 représentants des différents secteurs « en lutte » (cheminots, étudiants, personnel soignant...), mais « sans personnalités politiques ». Ces dernières défileront dans le cortège. On y retrouvera, outre M. Mélenchon, Pierre Laurent (PCF), Benoît Hamon (Générations·s), Olivier Besancenot et Philippe Poutou (NPA).

Commencée en musique place de l'Opéra, avec un pique-nique-concert à partir de 12 heures, la manifestation se terminera vers 20 heures avec un autre concert, place de la Bastille. Entre les deux, se mêleront au cortège quatre chars, des camions avec plateau : le char Jupiter, le char Dracula, le char Napoléon, avec sur chacun d'entre eux une personne grimée en Macron, enfin un char « résistance », où les manifestants pourront exposer leurs revendications.

Il ne peut être crédible, ni son parti la « France Insoumise » ?!

Mais semer le désordre et la discorde même en parole pour attiser des exactions comme on a vue dans le quartier de la gare d’Austerlitz à PARIS n’est pas  pardonnable, ni de soutenir ces « blackblocs » casseurs violents même à demi-mot !

Et interdire cette manifestation d’extrême gauche LFI serait une erreur qui donnerait du grain à moudre à ces trublions qui pousseraient des cris d’orfraies d’atteinte à la liberté de manifester dans notre pays !

Il faut les traiter avec plus de fermeté pour que cela ne se reproduise pas !

Mais ce qui est le plus regrettable, c’est que MELENCHON ex ministre PS revanchard viré à l’extrême gauche par opportunisme suite à sa défaite à sa 2eme place ratée au 2eme tour de la présidentielle ne l’a pas digéré et entraîne de pauvres gogos par ses discours creux de tribun et ne pense qu’a lui qui n’aura jamais le pouvoir, destin des extrémistes dans notre pays !

Ce mal élevé aigri, Il aurait dû « dégager » comme lui, l’a dit, si élégamment des autres, mais hélas il y a échappé, mais montre que l’on a encore de médiocres politiciens qui restent et ne servent à rien !

Jdeclef 04/05/2018 11h14