jeudi 31 août 2023

Parlons de notre histoire par pitié pas de religions quel qu'elles soient qui abêtissent les peuples et qui les rendent mauvais !?

 

L’abaya privée d’école : la fin de l’ambiguïté !?

Dans les collèges et lycées, l’interdiction de ces robes longues traditionnelles annoncée par le ministre de l’Éducation nationale, Gabriel Attal, soulage.

OUI C’EST BIEN MAIS IL FAUT APPLIQUER SEVEREMENT LES LOIS EXISTANTES CONTRE TOUTES FORMES DE PROSELYTISME ET PRECHEUR RELIGIEUX QUEL QU’ILS SOIENT ET TOUTE ATTEINTE A LA LAICITE FRANCAISE CAR NOTRE PAYS EST LA CIBLE DE TROP DE MALFAISANTS ANTI-FRANÇAIS !

(Notamment aussi en Afrique sous prétexte d’ex colonisateurs) ce malaise est un tout bien organisé de l’étranger par des prédicateurs divers nombreux !?)

CAR HELAS NOTRE DIRIGEANT BIEN PENSANT DONNEUR DE LECONS NE NOUS PROTEGENT PAS ASSEZ ?!

Elle est « mal à l'aise », elle le reconnaît. Ses collègues également. Sophie*, 39 ans, est professeure d'histoire-géographie dans un lycée de Seine-Saint-Denis. Et pour ses élèves, elle le constate avec inquiétude, la laïcité ne fait plus consensus. « Au mieux, ils en ânonnent les grands principes. Mais beaucoup la perçoivent d'abord comme une persécution à l'endroit des musulmans. La liberté se résume pour eux à une sorte de "Je fais ce que je veux, point". » Certains enseignements sont contestés, dit-elle, et les signes distinctifs religieux réapparaissent. Ce sont des bandeaux noirs portés par les jeunes filles, suffisamment larges pour masquer la plus grande partie de la chevelure. C'est aussi la multiplication des abayas, ces robes longues traditionnelles que le nouveau ministre de l'Éducation nationale, Gabriel Attal, est résolu à interdire au sein des établissements. Pour l'enseignante, il s'agit d'abord de provocations adolescentes, « d'une façon de tester les limites » souvent encouragée par les réseaux sociaux sur fond de pression communautaire.

Il n'empêche, la chose n'est plus exceptionnelle. Depuis dix-huit mois, les signalements pour atteinte à la laïcité ne cessent d'augmenter. Selon une note des services de l'État, ils ont bondi de 120 % en un an, passant de 2 167 pendant l'année scolaire 2021-2022 à 4 710 en 2022-2023. Une explosion due en grande partie aux signalements de port de signes ou de vêtements religieux : ces derniers constituent aujourd'hui presque la moitié des remontées mensuelles. Quelque 150 établissements sur près de 10 000 collèges et lycées en France seraient particulièrement concernés ; certains auraient comptabilisé jusqu'à 300 jeunes filles portant l'abaya. « Elles restent voilées jusqu'aux portes de l'établissement. Arrivées à la grille, elles découvrent leur tête conformément à la loi de 2004, mais elles cherchent à conserver leur abaya, qui est en réalité une robe longue et ample, souvent unie, qui recouvre l'ensemble de leur corps », relate Anne-Laure*, enseignante dans un collège situé en zone d'éducation prioritaire dans la périphérie de Rouen.

Difficile interprétation de la loi du 15 mars 2004. Si, dans son établissement, l'équipe éducative fait bloc et gère le problème dès la porte d'entrée, d'autres apparaissent plus en difficulté. En cause : la difficile interprétation de la loi du 15 mars 2004 interdisant « le port de signes ou tenues par lesquels les élèves manifestent ostensiblement une appartenance religieuse ». L'abaya entre-t-elle dans ce cas de figure ? La question fait débat au sein même de la communauté musulmane. Le 28 août, le Conseil français du culte musulman (CFCM) réaffirmait que « l'abaya [n'était] pas un vêtement religieux » et ne renvoyait, en arabe, qu'à « une robe longue ou un manteau » : le CFCM dit craindre, en cas d'interdiction, que cette tenue ne soit définie de façon « arbitraire, en fonction du "profil" des filles et des femmes qui la portent, de leur origine et de leur religiosité supposées ».

« On ne va pas entrer dans des arguties théologiques, proteste Jean-Pierre Obin, ex-inspecteur général de l'Éducation nationale et auteur de l'essai Les profs ont peur, à paraître le 11 octobre aux Éditions de l'Observatoire. La réalité, poursuit-il, c'est que la loi de 2004 et sa circulaire d'application ne sont plus appliquées. Elles sont pourtant très claires : tout signe ou tenue peut être interdit s'il est porté de façon à manifester ostensiblement une appartenance religieuse. La question s'était posée avec le bandana, dans les années qui ont suivi l'adoption de la loi, et le Conseil d'État avait rendu un avis très clair. »« J'entends bien que l'abaya n'est pas cultuelle, analyse également Sophie. Mais le fait est qu'elle est aujourd'hui portée par nos élèves comme marqueur d'une identité religieuse. »

Reste qu'il peut être difficile de distinguer une abaya d'un simple vêtement à la mode. Et que dire de ces tuniques longues, arrivant au-dessus du genou, associées à un pantalon large assorti ? « Chaque fois, on plonge dans des abîmes de questionnements aux confins de la mode, du droit et de la métaphysique ! » soupire une enseignante de la région parisienne. « Dans les situations auxquelles j'ai été confronté, les parents m'assuraient que le vêtement avait été acheté chez H & M ou Zara et qu'il n'avait aucune connotation religieuse. D'ailleurs, les adolescents ont chaque fois accepté de le retirer sans rechigner », raconte le principal d'un collège en zone REP.

Position. Lors de la conférence de presse du 28 août, le ministre de l’Éducation nationale, Gabriel Attal, a réaffirmé que « l’abaya n’a pas sa place dans nos écoles ».

« Certains ont peur ». Interpellé début 2022 par les principaux et proviseurs, le ministre de l'Éducation d'alors, Pap Ndiaye, avait refusé de trancher, laissant la tâche à la discrétion des chefs d'établissement. La confusion régnait. Certains établissements forçaient les élèves à retirer leur abaya, allant parfois jusqu'à leur proposer une tenue de rechange lorsqu'elles n'avaient pas de vêtements sous leur robe, tandis que d'autres, perdus, ou estimant que cela outrepassait leur rôle, laissaient faire. « Dans mon établissement, il m'est arrivé plusieurs fois l'année dernière de demander à des jeunes filles - qui n'étaient pas mes élèves - de retirer leur abaya. Elles l'ont fait sans protester, mais dès que j'avais le dos tourné, elles la remettaient et, manifestement, personne en cours ne leur disait rien », déplore Iannis Roder, professeur d'histoire-géographie en Seine-Saint-Denis et membre du Conseil des sages de la laïcité. Le problème, dit-il, c'est que « certains ont peur ». Peur d'être pris à partie par les familles, peur d'être menacé, peur d'être livré à soi-même, peur du pire. Tout le monde se souvient de Samuel Paty, assassiné en 2020 pour avoir montré à ses élèves de quatrième des caricatures de Mahomet lors d'un cours d'enseignement moral et civique sur la liberté d'expression.

Si beaucoup d'enseignants craignent que la proposition de leur nouveau ministre ne fasse que dissimuler les nombreux autres problèmes de cette rentrée scolaire, tous s'accordent donc à dire qu'il était urgent d'avoir un avis clair, unique et audible. « Lorsque vous entrez dans une salle de classe, vous ne devez pas être capable d'identifier la religion des élèves en les regardant », affirmait Gabriel Attal le 27 août sur TF1, précisant le lendemain face à la presse que des équipes seraient mobilisées dès la rentrée dans les établissements le nécessitant, « parfois même en présence du recteur pour réaffirmer l'autorité de l'État ». « Satisfait », Didier Georges, proviseur et secrétaire national du SNPDEN-Unsa, insiste désormais sur la nécessité d'entretenir un dialogue avec les familles. Le pire, dit-il, serait de voir les élèves se détourner des écoles publiques pour aller vers le privé, ou être déscolarisées. Une crainte semblable avait été exprimée lors des débats autour de la loi de 2004 - sans qu’il n’y ait jamais eu d'hémorragie

Parlons de notre histoire par pitié pas de religions quel qu'elles soient qui abêtissent les peuples qui les rendent mauvais !?

Pauvre pays que notre France que l’on aime ( mais hélas pas tous Français ou autres) qui ne se considèrent pas comme les autres citoyens de notre pays gaulois descendant de l’empire romain devenu avec Charlemagne empereur des Francs de 742 à 814 à qui on attribue l’école et qui donnera son nom à la dynastie des rois carolingiens qui en 49 ans fera du royaume franc le plus vaste territoire depuis la chute de l’empire romain soutenu par la papauté il impose le christianisme aux peuples vaincus et couronné en l’an 800 empereur d’occident !?

Tout au long de son règne il n’aura cessé de propager la foi chrétienne et fera sa capitale AIX la CHAPELLE et en fait il est le père de l’Europe occidentale et même maintenant dans notre France dont descend le nom des Francs de Clovis seul notre petit pays hexagone nous reste on a perdu même le nom de notre monnaie et le saint empire romain germanique n’existe plus depuis bien avant les 2 guerres mondiales qui ont fini de le laminer !?

Et depuis le moyen-âge et l’an mille qui lui a donné ce nom les deux religions importantes monothéistes judéo-chrétienne et musulmane s’opposent avec leur 1eres guerres de religions et même intérieures dans leurs propres pays et courants de religions dogmatiques ou le mystique gagne sur le terrain de l’obscurantiste !?)

En plus à l’école que l’on attribue à CHARLEMAGNE on enseigne mal l’histoire et on passe trop vite dessus car la politique politicienne dévastatrice a pris le pas sur l’histoire du monde ce qui est fort dommage !?

Les Hommes avec leur mysticisme religieux qui les poussent à leurs pertes même avant la puissance et l’argent roi depuis des siècles par des illuminés de tous bords dans notre monde instable et malade depuis des millénaires qui se dégrade !?

Jdeclef 31/08/2023 15h35

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