mercredi 30 août 2023

Dans notre pays on adore pérorer inutilement comme le fait notre président indéboulonnable jusqu’en 2027 par la bêtise des Français qui l’ont réélu !?

 

« Initiative politique d’ampleur » : ce que les chefs de parti comptent dire à Macron !?

Le chef de l’État reçoit, ce mercredi, les oppositions dans le cadre napoléonien de l’École de la Légion d’honneur à Saint-Denis.

NOTRE PRESIDENT CHOISI DES ENDROITS POMPEUX POUR S’EXPRIMER COMME LE FAIT UN MONARQUE SANS COURONNE CAR ASSIS SUR SON TRONE FICTIF JUSQU’EN 2027 !?

HEUREUSEMENT QUE SON ORGUEIL HORS NORME NE L’ETOUFFE PAS SE SERAIT DOMMAGE DEVANT SES FRANÇAIS LAMBDA QU’IL DEDAIGNE (ET QUI EN REDEMANDE DEPUIS 2017 ?!)


Drôle d'endroit pour une rencontre… Emmanuel Macron a choisi la maison d'éducation de la Légion d'honneur de Saint-Denis, à quelques encablures de la Basilique où sont enterrés les rois de France, pour convier tous les présidents de parti ce mercredi à 15 heures. Un lieu pensé par Napoléon pour une rencontre républicaine ! C'est aussi un site qui a une « valeur symbolique », souligne-t-on à l'Élysée, rappelant que c'est dans cette école, créée en 1805, qu'étudient les filles de parents récompensés par la Nation. Un exemple de « méritocratie », donc, dans une ville touchée par les émeutes à la fin du mois de juin.

Ce premier volet des « Rencontres de Saint-Denis » – c'est le nom officiel de « l'initiative politique d'ampleur » annoncée au creux de l'été – doit permettre d'amorcer des discussions sur un certain nombre de sujets (situation internationale, efficacité de l'action publique, décentralisation, cohésion de la Nation, notamment) et de dégager des compromis. « Sortiront de ces travaux des décisions immédiates, des projets et des propositions de loi, mais aussi des projets de référendums », assurait le chef de l'État dans le grand entretien qu'il a accordé au Point la semaine dernière. La grande nouveauté étant le concept de « préférendum », défendu par plusieurs ministres et évoqué lundi par le porte-parole du gouvernement, Olivier Véran.

« Préférendum »

Ayant à l'esprit le célèbre adage selon lequel, lors d'un référendum, on répond moins à la question posée qu'à celui qui la pose, le président veut inclure plusieurs sujets dans un seul référendum. « L'idée, c'est de pouvoir sonder l'opinion pour trouver des points d'accord et avancer. Cela doit nous permettre de sortir du schéma classique, clivant, qui consiste à utiliser un référendum pour exprimer sa colère », explique un conseiller de l'exécutif. Emmanuel Macron a reçu, ce mardi à 10 heures, la Première ministre Élisabeth Borne et onze ministres pour plancher sur ce fameux « préférendum » et préparer son intervention. Le soir, selon les informations du Parisien, confirmées par Le Point, il dînait avec les présidents des partis de la majorité.

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Avant de convier l'ensemble des forces politiques, le locataire de l'Élysée a tâté le terrain. Mardi dernier, il a personnellement appelé le président des Républicains, Éric Ciotti – traitement de faveur qu'il n'a réservé à aucun autre chef de parti. Certains, comme Olivier Faure, en sont d'ailleurs marris. « Ce barnum est surtout destiné à Éric Ciotti, car c'est le seul qui a été appelé. Nous sommes des figurants dans cette affaire », a regretté le premier secrétaire du PS aux universités d'été du parti, à Blois.

Une « réunion de discussion » vouée à « l'échec »

« Ils ont beaucoup parlé de la guerre en Ukraine et du SNU, mais quand il a été question d'immigration, Ciotti a eu le sentiment que Macron bottait en touche », raconte l'entourage du président LR. Celui-ci mettra justement l'accent sur l'immigration – il souhaite que le président soumette au référendum sa proposition de réforme de la Constitution –, l'autorité et le pouvoir d'achat. Sur BFMTV, mardi, il a rappelé ses mantras : « plus d'autorité pour qu'il y ait de l'ordre dans la rue », « plus de liberté » et « moins d'impôts ». Et d'évoquer « l'uniforme obligatoire à l'école » pour tenter de remettre à l'ordre du jour une mesure défendue par Brigitte Macron.

Mais, à l'instar des autres partis d'opposition, le député des Alpes-Maritimes n'attend pas grand-chose de ce raout. « Éric y va car il n'est pas sectaire et qu'il respecte nos institutions. Mais, si le président ne comprend pas qu'il doit infléchir sa ligne sur l'immigration, ça sera juste de la parlotte », juge un proche. Le président du groupe LR au Sénat, Bruno Retailleau, n'est pas plus optimiste. « Comme souvent avec Emmanuel Macron, la montagne accouche d'une souris : l'initiative d'ampleur s'est transformée en une simple réunion de discussion, qui aligne tellement de sujets qu'elle est vouée à l'échec », déplorait-il dans nos colonnes la semaine dernière.

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Jordan Bardella réclame également la tenue d'un « référendum sur la politique d'immigration » le jour des élections européennes, le 9 juin 2024. Dans un courrier adressé lundi à l'Élysée – que nous nous sommes procuré –, le président du Rassemblement national estime qu'« il ne saurait y avoir de sursaut national et républicain sans une prise de conscience des dangers d'une immigration de peuplement et sans un changement complet de cette politique, vers plus de fermeté, d'exigence et de maîtrise ». Il prévenait dans Le Point que le RN ne serait pas « la béquille d'un président à la recherche d'un second souffle ».

Pour protéger le pouvoir d'achat des Français « pris à la gorge » par l'inflation, l'eurodéputé propose trois gestes : « la baisse des factures énergétiques et des prix des carburants, la défiscalisation des hausses de salaire jusqu'à 10 % et la suppression de la CVAE pour les entreprises ». Enfin, sur l'école, Bardella demande « la garantie d'une refonte des programmes scolaires mettant l'accent sur une haute maîtrise des apprentissages fondamentaux, de la langue française, des sciences et de l'histoire de la Nation ».

La Nupes refuse de participer au dîner de travail

Les représentants de la Nupes, qui ont répondu par le biais d'un communiqué commun à l'invitation du président de la République, refusent quant à eux de participer au dîner de travail prévu après les tables rondes. « Nous sommes désormais habitués à vos opérations de communication sans lendemain et sans effets », cinglent Manuel Bompard, Olivier Faure, Fabien Roussel et Marine Tondelier. Sans surprise, ils estiment que le « seul projet de référendum qu'attendent les Françaises et les Français » serait un référendum autour de la réforme des retraites. Et, sur les autres sujets, puisqu'ils abordent ensemble ces « Rencontres de Saint-Denis », la ligne de LFI devrait s'imposer, hypothéquant les chances de parvenir à des accords…

Retraites : LFI et la CGT réclament un référendumDe manière générale, ces premières discussions ont peu de chances d'aboutir puisque la majorité et les oppositions s'écharpent sur l'essentiel : la forme d'éventuels référendums. « Le président ne cédera probablement pas sur l'idée de préférendum. Chacun campera sur ses positions et on trouvera des petits accords sur des sujets consensuels, comme à l'Assemblée nationale, prédit un député Renaissance, qui estime que l'exercice permettra surtout de « prendre la température des oppositions » avant une rentrée politique très chargée.

De toute façon c’est ce que dira le président qui est tellement sûr d’avoir toujours raison ou répondra s’il le veut bien en bonne langue de bois politicienne habituelle !?

Il suffit déjà que ces deux mouvements politique parti LFI ou syndicat CGT car aussi politisé s’expriment et ce qu’ils demanderont sera rejeté avec un discours alambiqué ou une réponse habituelle plus courte de notre (dit) chef d’état ?!

Le jeu pervers de ce président bien qu’il est là jusqu’en 2027 donc sans risque est de faire durer sa procrastination pathologique maladive qui le freine dans ses décisions qu’il n’arrive pas à prendre car après sa réélection par défaut et sa majorité insuffisante à l’assemblée nationale il est au point mort mais bien défendue par sa 1ere ministre inféodée servile qu’il a critiquée pourtant mais dont la place difficile semble lui plaire et qui fait le travail dont elle à la charge en utilisant ce fameux article 49/3 pour faire passer au compte-goutte certaines lois et diviser ces oppositions médiocres qui n’arrive pas s’unir pour faire tomber ce gouvernement macronien !?

On peut faire un parallèle avec les crises africaines et leurs palabres en France on fait pareil avec nos gouvernements de tous bords sauf que nous on ne fait pas de coup d’état à la rigueur la population déraille en descendant dans la rue et faisant quelque fois des émeutes violentes qui gênent plus les Français que nos gouvernements ou chef d’état et politiciens de tous bords surtout depuis que la « macronie » existe depuis 2017 !?

Il faudrait enfin que les Français regarde la réalité en face se serait utile ce n’est qu’un simple constat !?

Jdeclef 30/08/2023 14h19

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