jeudi 24 août 2023

Il est désespérant de voir un chef d’état (le notre en plus) étouffé par son propre égo démesuré !? Mais ou les Français ne savent plus pour qui voter dans cette classe politique hyper médiocre et lamentable !

 

Emmanuel Macron : « Je présiderai jusqu’au dernier quart d’heure » ?!

  • Une interview à lire en 5 parties :

1/5 : Emmanuel Macron : « Sur l'école, nous devons sortir des hypocrisies françaises »

2/5 : Emmanuel Macron : « Je reparlerai à Vladimir Poutine quand ce sera utile »

3/5 : Emmanuel Macron : « Je ne saurais me contenter d'un taux de chômage à 7 % ! »

4/5 : Emmanuel Macron : « Il faut s'atteler à reciviliser »

5/5 : Emmanuel Macron : « Je présiderai jusqu'au dernier quart d'heure »

 

ENTRETIEN EXCLUSIF 5/5. Le chef de l'État dévoile son « initiative politique » pour la rentrée. Et n'exclut pas de recourir au référendum

TANT PIS POUR NOUS !?

IL A DE LA CHANCE LE PRESIDENT PAS NOUS QUI LE SUPPORTONS DEPUIS 2017 A PART CEUX QUI AVALENT TOUT IL FAUDRA ATTENDRE DEFINITIVEMENT 2027 (EN ESPERANT PAS PIRE AVEC SA FUITE EN AVANT) SEUL ESPOIR IL NE PEUT ETRE REELU DE PAR LA CONSTITUTION DE CETTE VEME REPUBLIQUE ?!

Avant son départ en vacances, Emmanuel Macron avait annoncé qu'il prendrait « une initiative politique d'ampleur » fin août. Il en dit plus dans nos colonnes à l'occasion du grand entretien qu'il a accordé au Point le 17 août au fort de Brégançon. Le chef de l'État répond également vertement à la charge de notre éditorialiste Nicolas Baverez contre son action, dans Le Point n°2662 du 10 août 2023. « Facile et imprécis », juge le président. Nous lui avons également demandé ce qu'il aimerait que les Français retiennent de son passage à l'Élysée.

Le Point : Vous avez annoncé une initiative politique…

Emmanuel Macron : Oui, notre nation traverse un moment que je juge inédit. La Première ministre, Élisabeth Borne, aura, avec ses ministres, à continuer le travail parlementaire et réunira l'exécutif pour continuer d'agir et de faire avancer les grands dossiers. 

Mais face aux grands bouleversements géopolitiques, climatiques, technologiques, face aux épreuves que notre pays a encore vécues récemment et aux risques de division, je considère que ma responsabilité est de proposer à toutes les forces politiques représentées dans nos Assemblées d'essayer d'agir ensemble. C'est pourquoi je veux les réunir à propos de la situation internationale et de ses conséquences sur la France et à propos des nuits d'émeutes que nous avons connues, avec pour objectif de prendre des décisions pour renforcer l'indépendance de notre pays et de rebâtir notre nation et tout ce qui la tient : la famille, l'école, le service national universel, la transmission de notre culture, notre langue, la régulation des écrans. Mais aussi notre organisation et nos institutions dans tous les territoires. 

Fort de Bregancon 17/08/2023 Emmanuel Macron © @Elodie Gregoire / Elodie Gregoire

Je suis sûr que nous pouvons bâtir des accords utiles pour la France sur ces sujets. En tout cas, j'y mettrai toute ma volonté. Sortiront de ces travaux des décisions immédiates, des projets et des propositions de lois mais aussi des projets de référendums. 

Lisnard : « Philippe, Le Maire et Darmanin s'inscrivent dans un schéma conventionnel »

À l'Élysée, pour une grand-messe  ? 

Je convierai les principaux responsables politiques de notre pays dans un lieu en région parisienne dès la semaine prochaine. 

Pourquoi ne pas avoir tiré des leçons de cette majorité relative il y a un an, en élargissant votre majorité par un accord politique  ? 

La difficulté, c'est que les forces politiques le plus proches de nous ne sont pas unies  ! Ni les socialistes, qui sont d'ailleurs divisés entre ceux qui ont choisi de s'inféoder à l'extrême gauche à travers la Nupes et ceux qui n'y croient pas, ni Les Républicains, qui sont eux aussi tiraillés entre, d'un côté, des LR proches de la majorité présidentielle, qui d'ailleurs auraient voté la réforme des retraites, et, de l'autre, ceux qui sont sur une autre logique, dans des circonscriptions où ils ont gagné à quelques centaines de voix près face au RN, et qui sont plus proches de l'alliance des droites. C'est aussi pour cela que je pense, compte tenu du moment que nous vivons, qu'une initiative politique est indispensable.

En résumé, les oppositions compatibles sont trop divisées, et il n'y a aucune coalition parlementaire possible qui nous donnerait la majorité absolue. On ne peut constituer que des majorités de projet, ce qui n'est pas grave  ! La preuve, ça marche depuis un an. N'oublions pas que la France a été réformée entre 1958 et 1962 avec une majorité relative. 

Le référendum fait toujours partie des options qui peuvent être utilisées et je compte bien y avoir recours.

Pourquoi ne pas utiliser, ainsi que le suggèrent certains, des outils de la Constitution comme le référendum ou la dissolution  ?

Le référendum fait toujours partie des options qui peuvent être utilisées et je compte bien y avoir recours. Mais en dehors de cela, avec les bonnes volontés, le gouvernement ira chercher des majorités sur chaque texte. Et si un projet est considéré comme important, la responsabilité du gouvernement peut légitimement être engagée. On n'a pas le droit de trahir la confiance du peuple. Et on n'a pas le droit de rester assis dans un monde qui accélère. La dissuasion nucléaire a été adoptée en ayant recours au 49.3… 

Je ne me sens pas du tout lame duck. J’ai été réélu il y a à peine plus d’un an pour un mandat de cinq ans… Je présiderai jusqu’au dernier quart d’heure.

Aux États-Unis, il y a une formule pour décrire l'impuissance des présidents en cours de deuxième mandat, qui ne peuvent donc se représenter : «  lame duck  ». En français, «  canard sans tête  »… 

Je ne me sens pas du tout lame duck. J'ai été réélu il y a à peine plus d'un an pour un mandat de cinq ans… Je présiderai jusqu'au dernier quart d'heure. J'ai le suffrage démocratique, les institutions et l'énergie pour cela.

La une du «  Point  » du mois dernier, dont le titre était «  Y a-t-il encore un président  ?  », vous a-t-elle énervé  ? Notamment les critiques de Nicolas Baverez…

Non… Si je m'énervais des unes de presse, j'aurais eu de quoi faire, en six ans… J'en ai néanmoins trouvé le contenu facile et imprécis. La réforme de l'État est présentée de manière franchement caricaturale. Beaucoup ont dit qu'il fallait supprimer l'ENA. Je l'ai fait  ! J'ai remis de la force et de la vitalité dans la haute fonction publique, à laquelle je crois et d'où je viens. Et j'ai réintroduit de l'ouverture et de la méritocratie. Alors écrire dans vos colonnes que j'aurais démantelé la diplomatie et l'institution préfectorale, c'est une honte. Ce n'est pas à la hauteur de l'esprit qui l'a écrit. J'ai simplement mis fin à des corps dans lesquels on pouvait entrer à vie dès après ses études au profit d'une gestion fonctionnelle des emplois qui répond aux besoins d'expertise d'une administration moderne. Car l'une des maladies françaises, c'est celle du corporatisme, et sans doute les critiques exprimées en sont-elles le reflet dramatique. Voir dans vos colonnes un ancien serviteur de l'État défendre le corporatisme en expliquant qu'on aurait détruit l'État, j'ai trouvé ça à la fois triste et, un peu, une trahison de l'esprit libéral de votre journal. Il faut choisir la caricature que l'on fait. On ne peut pas être une grande brute qui décide de tout et un type qui ne fait rien. Je ne suis ni l'un ni l'autre. Notre pays a besoin d'être présidé, les Français attendent cela de moi. Il faut assumer les désaccords, les expliquer. Mais il faut décider. 

« Y a-t-il encore un président ? » : la réponse de Michel Richard à Nicolas Baverez

Justement, vous avez presque quatre années devant vous. Que voulez-vous faire d'important  ? Que voudriez-vous que l'on se rappelle de ce mandat, que l'on dise de vous  ? 

Les cycles font qu'on ne retient jamais la trace, qu'elle varie avec le temps. [Silence.] J'aimerais qu'on dise : «  Il nous a rendus plus forts, il nous a rendus plus fiers.  » Je voudrais qu'on dise  : «  Il s'est battu, même si on n'était pas d'accord avec tout  » ; « Il a respecté ses engagements  ». Et que l'on retienne ce combat pour rebâtir notre nation, son indépendance, son chemin. 

La condition de ce legs politique auquel vous aspirez, c'est de ne pas être raccompagné par Marine Le Pen sur le perron de l'Élysée en 2027… 

Je voudrais qu'il puisse, effectivement, y avoir à ma suite une femme ou un homme qui porte les valeurs de la République et, je l'espère, de la France et de l'Europe dans quatre ans. 

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Vous allez vous y investir  ?

Bien sûr, je considère que c'est ma responsabilité. Si nous rendons cette France plus juste, plus forte, si nous menons le combat de l'école, de la santé, de l'écologie, de la refondation de la nation, alors il y aura une continuité au dépassement politique que j'ai rendu possible en 2017. 

À propos de recomposition politique, la tripartition politique, avec un gros bloc central, est-elle durable ou souhaitable  ?

Elle a vocation à durer. Si le môle central que j'ai rassemblé se divise, le risque, c'est de ne pas être au second tour. C'est ça la réalité. Ce n'est pas le président ou le candidat qui fait la vie politique, ce sont les Françaises et les Français. On m'a fait beaucoup d'honneur en disant que j'avais fait exploser le système politique. Ce sont les Françaises et les Français qui ont fait exploser le système politique et m'ont mis là comme une créature des événements. La condition pour que les valeurs que je porte perdurent, c'est que les forces républicaines travaillent ensemble : les sociaux-démocrates, les centristes, les écologistes, la droite libérale et la droite républicaine. Ceux qui ont des ambitions ne doivent pas l'oublier. Il faudra dans quatre ans veiller à cette unité. Et ce sera aussi ma responsabilité. 

Je suis toujours insatisfait, donc je vois plutôt ce qui n’est pas bien fait. C’est ce qui rend inquiet et c’est ce qui donne de l’énergie.

Est-ce que vous êtes content de vous  ? 

Je n'ai pas le temps de l'être ou pas. Ce n'est pas mon tempérament. D'abord, je suis toujours insatisfait, donc je vois plutôt ce qui n'est pas bien fait. C'est ce qui rend inquiet et c'est ce qui donne de l'énergie. J'essaie d'avoir un optimisme lucide. Je défends avec beaucoup de force ce que j'ai bien fait. Mais je reconnais ce qui a été mal fait et j'essaie de le corriger. 

La critique qui vous blesse le plus  ? 

Ce n'est pas le sujet. On apprend l'indifférence. Ce qui n'est pas le mépris : il faut écouter les critiques qui vous font progresser, et ne pas trop prêter l'oreille aux cris de chaque jour.

De tous les présidents passés et présents ce petit président bourgeois qui se prend bien sur pour un monarque même sans couronne est surement celui qui avec un ego plus démesuré que les autres hors norme pharaonique à qui les Français ont donné trop de pouvoir dans cette V eme république pseudo monarchique ressemblant au style de l’ancien régime mais qui espérait peut être un président d’un style de certaines démocratures qui poussent comme des mauvaises herbes invasives dans certains grands pays connus !?

Car il n’aime pas les Français lambda qu’il dédaigne et insulte même quelque fois !?

Jusqu’à dire « qu’il présiderait la France jusqu’au dernier quart d’heure » bien sûr car certains Français bien que ne représentant pas la majorité qu’il n’a pas à l’assemblée nationale l’ont réélu comme des naïfs sans réfléchir car peut être dégonflés comme des baudruches crevées (ayant peur du lendemain qui est déjà là présent jusqu’en 2027 !?)

Tous les choix (pourtant peu nombreux) qu’il a fait sont des échecs décevants pour les français qui n’ont rien à attendre de ce pseudo chef d’état fantôme moulin à paroles creuses qui soule ces citoyens lambda qui l’ont réélu sans réfléchir car incurables naïfs avalant tout du moment qu’il y a un dirigeant ou politicien qui parle bien avec des discours alambiqués bien tournés ou aboient plus fort que les autres comme Melenchon par exemple en effrayant les plus pleutres mais qui en fait ne pensent qu’à eux avec les avantages induits ou privilèges divers du au pouvoir qu’ils soit députés ministres et dirigeants de tous bords !?

Jusqu’à dire de reparler à V.POUTINE cette cerise sur ce gâteau RUSSE empoisonné !?

Je suis âgé et peut être ne verrait pas la suite mais j’ai honte de voir ses Français qui ne réfléchissent plus ?!

Les Français ont vraiment ce qu’ils méritent !?

Jdeclef 24/08/2023 10h03LP

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