mardi 22 août 2023

Désolé dans le palmarès des présidents de cette Veme république depuis + de 40 ans il est la lanterne rouge et mérite la voiture balai !?

 

« L’initiative politique d’ampleur » d’Emmanuel Macron fait tiquer la majorité ?!

Avant de partir en vacances au fort de Brégançon, le chef de l’État a promis une rentrée disruptive. De quelle sorte ? Suspense.

IL N’Y EN A PAS DE SUSPENCE IL VA CONTINUER A NE RIEN FAIRE ?!

Déjà un an à gouverner à la godille. « On patauge totalement ! » se désole une figure de la majorité au Parlement. Conseil national de la refondation, avalanches de plans qui se substituent aux réformes, louvoiements sur l'immigration, 49.3 pour faire adopter la réforme des retraites, parenthèse des « 100 jours » avec son lot d'annonces reportées…

Les initiatives pour retrouver un peu d'oxygène politique se multiplient. Sans résultat pour l'instant. En macronie, on réfute tout blocage législatif en rappelant que 49 textes, souvent techniques et pour la plupart assez consensuels, ont été adoptés durant cette première année de législature. Mais dès que la question cristallise des enjeux sensibles et structurants, comme sur les retraites, la machine se grippe.

Et si c'était Fabien Roussel ?

Entravé par sa majorité relative à l'Assemblée, Emmanuel Macron cherche encore à relancer – ou plutôt à démarrer – son second quinquennat en piochant dans des recettes déjà usées. « Je vais prendre à la fin du mois d'août une initiative politique d'ampleur », a-t-il annoncé, sibyllin, dans Le Figaro. Fidèle à l'aporie du « en même temps », le président a pris acte de l'impossibilité de nouer une coalition tout en souhaitant « essayer de réunir autour d'un projet clair et simple tous ceux qui veulent s'y retrouver, sans leur demander d'adhérer à tout ».

Tiraillé entre sa gauche et sa droite

Ce dessein, qu'il avait fixé à la Première ministre le 22 mars dernier, continue de se heurter à un champ partisan dans lequel la droite et la gauche de gouvernement sont exsangues. « Que le président prenne le temps d'interroger les oppositions est toujours salutaire, assure le député Guillaume Kasbarian. On ne peut jamais être sûr d'y arriver mais on serait fou de ne pas le tenter. » L'idée, selon lui, est de sonder les oppositions constructives avant la rentrée parlementaire pour plancher sur un programme commun. « Il faut parler à tout le monde, y compris à gauche, mais sans LFI et le RN. »

Vie privée des politiques : attention, danger !

« Le groupe LR, avec lequel nous avons de nombreux points communs en termes de programme et de vision, est inconstant et instable, regrette Violette Spillebout, porte-parole des députés Renaissance. La droite est victime de ses luttes internes et ne met pas l'intérêt général au plus haut. Sinon, cette alliance existerait. Elle existera peut-être un jour. »

Le blocage provient également d'une partie de la majorité. Comment réussir à trouver un accord avec LR sur l'immigration à l'automne alors que la droite souhaite durcir le texte et que l'aile gauche de la majorité refuse de lâcher du lest sur les régularisations ? « On essaie de chercher des majorités avec la droite tout en résistant sur l'immigration. Cela va peut-être nous porter tort », reconnaît Monique Iborra, députée de Haute-Garonne et ancienne socialiste. Pour les macronistes venus de la gauche, un coup de barre à tribord signifierait la fin du « en même temps ».

Le jour où Nicolas Sarkozy est devenu le « come-back kid »

Cette opération de communication en a laissé d'autres songeurs. « Pourquoi faire semblant ? s'interroge un parlementaire. Il a acté, lors de sa dernière interview télévisée, qu'il n'y aura pas d'accord de gouvernement avec LR. Il tend encore la main aux oppositions alors qu'il sait qu'il ne pourra rien en faire. Ça risque d'être un CNR bis. »

Parole performative

Le manque de souffle du président, l'absence d'un récit politique charpenté et la succession de prises de parole au cours desquelles il ressasse ad nauseam les mêmes chantiers jugés prioritaires commencent à inquiéter son premier cercle. « Le problème de Macron, c'est son concept de parole performative. Il est dans une forme de déni du contexte politique, juge un cadre de la majorité. Son ambition est trop limitée : il fonctionne par tuyaux d'orgue, sujet par sujet, alors qu'il faudrait les traiter ensemble, de façon transversale. »

Macron a-t-il oublié sa jambe gauche ?

Pour se relancer, Emmanuel Macron pourrait dissoudre l'Assemblée nationale ou user de son pouvoir référendaire, hypothèse qu'il a plusieurs fois évoquée sans jamais la mettre en application. Ainsi, selon un conseiller de l'exécutif, le choix de se concentrer sur l'élargissement de la majorité n'est qu'un « ultime outil qui lui permet d'esquiver ces deux options ».

En refusant d'utiliser les articles 11 et 12 de la Constitution, le président se lie les mains, selon l'historien Arnaud Teyssier. « Il ne peut que poursuivre une navigation à vue dans des eaux parlementaires étroites, avec une marge de manœuvre très réduite  », disait-il au Point en juillet dernier. L'ambition du dépassement est-elle seulement encore réalisable ? Durant la campagne de 2017, Emmanuel Macron souhaitait rassembler, pêle-mêle, « la social-démocratie, l'écologie réaliste, les radicaux de gauche et de droite, le gaullisme social, la droite orléaniste, et le centre droit européen ». Six ans plus tard, ses dernières déclarations sonnent comme un retour à la case départ.

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Il ne fait pas que faire tiquer sa majorité car elle ne représente pas tous les Français loin de là qui l’ont réélu bien sûr par ce système électoral de cette VEME REPUBLIQUE à 2 tours qui a piégé les plus naïfs ayant peur du lendemain qui est déjà présent jusqu’en 2027 !?

C’est un président qui ne fait rien de nouveau pire que ses prédécesseurs à part cette réforme des retraites qui a déplu à tout le monde dont il n’a pas être fier !?

C’est un procrastinateur pathologique qui passe son temps à remettre au lendemain ce qu’il peut faire tout de suite (d’ailleurs avec la fumeuse histoire des cents jours devenu Waterloo morne pleine fiasco habituel on a vu !?)

Ce n’est qu’un théâtreux à l’image de son épouse sa professeur durant sa jeunesse de petit bourgeois chouchouté et qui a su par opportunisme saisir la balle au bon de son prédécesseur qui avait lâché l’affaire en se dégonflant comme une baudruche crevée en 2017 (encore une honte de nos dirigeants ou politiciens de tous bords !?)

Les Français encore une fois ont mal choisi mais ils ont récidivé et là ce n’est PAS pardonnable surtout en plus à l’approche des J.O. de PARIS EN 2024 on est vraiment mal partie c’est dommage ?!

Jdeclef 22/08/2023 14h07


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