dimanche 27 août 2023

Si ce « clown » triste qui ne fait rire personne hyper bavard donneur de leçon bienpensant à tout le monde y connaissait quelque chose dans cette politique étrangère du monde entier si instable devenant dangereux et même dans le régalien de notre politique intérieure ça se saurait et on s’en serait rendu compte depuis 2017 et sa prise de fonction ?!

 

Ukraine – Macron droit dans ses bottes !?

CHRONIQUE. Dans ce conflit, le président de la République a dû « tirer des bords » face aux vents contraires, mais sans renier son objectif de négociations.

QUAND LES FRANÇAIS VOTENT MAL OU NE SAVENT PLUS CHOISIR LEURS DIRIGEANTS ET POLITICIENS DE TOUS BORDS ILS RALENT MAIS TROP TARD TANT PIS POUR EUX ?!

Dans le grand entretien de rentrée qu'il a accordé au Point, le président de la République donne sa vision de la guerre en Ukraine. C'est l'occasion de revenir sur la politique qu'il a suivie ; c'est aussi celle de s'interroger sur sa cohérence depuis février 2022.

Pourquoi cette seconde question ? Parce que nous constatons tous les jours qu'à situation extrême font inévitablement écho des passions extrêmes. Comme je l'ai noté dans ma chronique précédente, Nicolas Sarkozy vient d'en faire l'amère constatation avec des propos il est vrai parfois maladroits. Lorsque des soldats se battent héroïquement contre l'envahisseur, lorsque des civils meurent sous les bombes, lorsque l'ennemi commet des atrocités, pour l'opinion publique, ce n'est pas le moment de réfléchir et de nuancer, mais de soutenir inconditionnellement la victime et de maudire le meurtrier.

Emmanuel Macron en a fait l'expérience dans les premiers mois de la guerre. Lorsqu'il a évoqué une négociation avec la Russie, lorsqu'il a affirmé qu'il ne fallait pas « humilier » celle-ci, il a suscité une clameur unanime de protestation et d'indignation, en particulier chez nos partenaires d'Europe orientale. Le Premier ministre polonais a cru alors bon de proclamer qu'on « ne négocie pas avec Hitler ».

Les 5 points clés de notre grande explication avec Emmanuel Macron

Force est de conclure que le président français en a tiré la leçon en « durcissant » son langage face à la Russie, comme le prouvent, en particulier, les discours qu'il a récemment prononcés, que ce soit à Munich en février ou à Bratislava en mai, et l'accélération de la livraison d'armes à l'Ukraine. Dans la tempête, le « en même temps » rencontre rapidement ses limites…

Le champ de bataille décide

N'oublions pas que toute politique étrangère n'est que pragmatisme enrobé de grands mots, navigation à vue dont on ne connaît que la destination finale et encore… Il faut savoir « tirer des bords » quand les vents sont contraires. C'est ce qu'a fait Emmanuel Macron, c'est ce qu'il devait faire. Il n'engageait d'ailleurs pas ainsi l'avenir dans la mesure où le moment n'est pas à la négociation tant les deux ennemis veulent en découdre dans la conviction qu'ils peuvent l'emporter.

À l'offensive russe a donc succédé la contre-offensive ukrainienne. La première a échoué ; rien n'est politiquement possible avant que la seconde ne s'achève. Chaque crise suit son propre rythme, qu'il faut sentir et dont il faut tenir compte. Agir à contretemps, trop tôt ou trop tard, c'est se condamner à l'échec.

Parler aujourd'hui de négociation est non seulement inutile puisque les deux belligérants n'en veulent pas, mais contreproductif puisque ce ne serait que donner aux bellicistes des deux camps l'occasion de clore définitivement le débat en imposant leurs conditions préalables à toute négociation. C'est aujourd'hui le champ de bataille qui décide ; c'est donc là qu'il faut porter l'effort en soutenant l'Ukraine ; c'est la raison pour laquelle la France a récemment décidé de livrer des missiles à longue portée Scalp.

Black-out sur la ligne de front ukrainienne

La question pouvait se poser de savoir si le ton nouveau d'Emmanuel Macron constituait une volte-face de sa politique ou une adaptation aux circonstances. L'entretien avec Le Point permet d'y répondre. Il y déclare : « Mon souhait, c'est que la contre-offensive des Ukrainiens puisse ramener tout le monde autour de la table de négociations pour faire émerger une solution politique dans des conditions plus favorables. » De quoi s'arracher les cheveux pour le Premier ministre polonais….

Qui dit négociations dit compromis

Bien plus, le président de la République ajoute qu'« il faudra vivre avec la Russie car on ne change pas la géographie ». Certes, le président de la République entoure ses propos de précautions significatives en soulignant la responsabilité de Poutine dans la crise et le fait que la décision ultime appartient à l'Ukraine, mais ces déclarations s'inscrivent pleinement dans la logique qui était la sienne dès le début du conflit.

Au moment où certains appellent à une victoire totale de l'Ukraine, au rejet de la Russie dans ses steppes et au transfert de Poutine à un tribunal international, Emmanuel Macron, aujourd'hui comme hier, évoque la nécessité de négociations. Et qui dit négociations dit compromis. Loin de vouloir édifier un nouveau rideau de fer aux frontières occidentales de la Russie et de la Biélorussie, il rappelle l'importance de la première. On ne peut écrire l'histoire de l'Europe sans la Russie.

Le cap d'Emmanuel Macron n'a donc pas changé même si les circonstances militaires et politiques ont exigé des adaptations de la politique qu'il suit. Il a compris également que la tentation bien française de monter facilement sur la scène exposait au risque d'y recevoir des tomates. Le silence a du bon, ce qu'à l'image de ses prédécesseurs, il rencontrait jusqu'ici des difficultés à admettre.

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Il a tiré les premiers bénéfices de son pragmatisme au sommet de l'Otan, où il a laissé les États-Unis encourir l'opprobre de bloquer pour le moment la candidature de l'Ukraine à cette organisation. Il attend l'heure, dont nul ne sait si elle viendra, de reprendre l'initiative pour mettre un terme aux combats. Il ne serait alors pas seul. Les États-Unis et l'Allemagne mais aussi de nombreux autres pays européens ne seraient que trop heureux que s'engage une négociation.

* Gérard Araud est ambassadeur de France. Il a notamment été ambassadeur aux États-Unis et représentant permanent de la France aux Nations unies.

Car lui notre président il n’a aucune excuse puisque élu et réélu par des Français électeurs aussi bornés que ses mauvaises politiques inexistantes ou inefficaces quand elles existent !?

Il est comme tous les autres présidents passés que l’on a aussi élus et réélus pour certains en plus gonflés d’orgueils démesurés et se prend pour un pseudo monarque de cet ancien régime indélébile historique dont on n’arrive pas à se débarrasser comme la colle que l’on met sur les prothèses d’appareils dentaires pour les français âgés comme moi pour qu’ils puissent manger correctement !?

Mais qui semble-t-il n’arrivent pas encore à réfléchir en votant mieux depuis + de 40 ans pour ces politiciens ou dirigeants censés diriger leur pays et les protéger au lieu de parler pour ne rien dire d’utile en s’écoutant pérorer en essayant de développer des plans fumeux car en plus il n’a pas de soucis à se faire étant là jusqu’en 2027 n’ayant pas à ce battre pour être réélu car ne pouvant l’être de par notre constitution de cette Veme république obsolète usée et possédant des pouvoirs importants que lui ont donné les Français par sa réélection qu’il utilise mal ou pas du tout (ce qu’il fait depuis 2017 car procrastinateur pathologique) qui tergiverse sans cesse bavardant mais n’agissant pas peut être par la peur de se tromper (mais là c’est grave car il ne faut pas demander à être chef d’état de la France !?)

On traite trop en France nos chefs d’états comme des monarques dans les lambris anciens de nos palais élyséens avec trop de pouvoir et privilèges dignes de de l’ancien régime dans cette V eme république gaullienne d’une autre époque !?

Il faudrait (enfin) que cela change vraiment  après 2027 puisque l’on ne peut faire autrement avant à cause des Français eux-mêmes !?

Jdeclef 27/08/2023 12h32


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