jeudi 3 août 2023

Je publie mes commentaires sur LE POINT hebdomadaire inféodé au pouvoir en place borné mais pratique pour dire ce que l’on pense malgré une censure inutile envahissante qui ne sert à rien car ayant un blog et que ces commentaires passent de toute façon sur d’autres médias dans le monde entier et que je suis retraité donc ayant le temps que je n’avais pas quand je travaillais !?

 

Jean-Luc Mélenchon, fin de parti(e) ?!

À gauche, les outrances du leader Insoumis font paradoxalement renaître l’espoir. Nombre d’élus de la Nupes rêvent de fonder une nouvelle alliance. Sans LFI.

L’EXEMPLE PARFAIT D’UN EX MINITRE EX POLITICIEN ELU INUTILE QUI POLUE LA POLITIQUE POLITICIENNE FRANCAISE DEJA MEDIOCRE !?

La Nupes est morte, vive la Nupes ! Un peu plus d'un an après son accouchement au forceps sous la menace du rasoir des législatives, le pacte électoral des gauches tel qu'il fut noué au printemps 2022 semble bien avoir vécu. Pas une semaine sans qu'un coin ne soit enfoncé dans cette union de circonstances, sans échanges aigres-doux ou dissonances majeures sur les retraites ou les violences urbaines. Les responsables de l'alliance étaient bien convenus, ce lundi 24 juillet en visioconférence - la première depuis le 2 mai - de cesser les anathèmes. Dès le lendemain, Jean-Luc Mélenchon chapitrait pourtant Olivier Faure sur les réseaux sociaux comme un enfant… La faute supposée du patron du PS ? Avoir salué le choix de la gauche espagnole de se scinder aux législatives pour mieux l'emporter, à la surprise générale, lors du scrutin du 23 juillet. « Olivier Faure raconte des histoires », a grondé Mélenchon. « Irresponsable », a sermonné le coordinateur de La France insoumise, Manuel Bompard. Olivier Faure, c'est dire, n'a plus, ou presque, de contacts directs avec son homologue Insoumis. « On s'écrit, de manière très irrégulière. J'échange plutôt avec Manuel Bompard et Mathilde Panot », confie-t-il.

Les forces centrifuges sont aussi à l'œuvre. Pour les élections sénatoriales du 24 septembre, premier scrutin national intermédiaire du quinquennat, les socialistes, les communistes et les écologistes feront liste commune dans nombre de départements. Sans LFI. Les européennes du printemps 2024 prennent le même chemin. Les Verts auront leur propre liste, conduite par une figure de la société civile, Marie Toussaint. Le PS y songe aussi fortement. « La Nupes est en décomposition et c'est la faute de qui ? Devinez ! » se récrie sur son blog l'Insoumis en chef, accusant ses partenaires, si l'on ose encore dire, de le pousser vers la sortie. « Merveilleux : c'est un accord électoral qui ne s'applique pas aux élections », accuse-t-il. Omettant qu'à force d'outrances et de sorties de route il est devenu infréquentable jusque pour certains de ses fidèles, en voie d'émancipation. Fin de partie ? « C'est un cartel des gauches entre ceux qui voulaient sauver les meubles et ceux qui voulaient en acquérir. Ce n'était pas viable sous positionnement mélenchoniste, car c'est un moteur à explosion trop radical pour le reste de la gauche. La deadline, c'étaient les européennes, car il est impossible pour les Verts et les communistes d'accepter une liste commune avec LFI. La Nupes, c'est fini », diagnostique Jean-Christophe Cambadélis, ancien premier secrétaire du PS, qui travaille activement à la suite et veut croire, pour sa part, que cette coalition ne survivra pas à elle-même.

Briser les chaînes. Tout conduirait à penser, dès lors, que la gauche est entrée dans une profonde dépression. Lourde erreur ! La crise a parfois des vertus énergisantes insoupçonnées. Les responsables de gauche, sortis du quarteron d'irréductibles qui entourent encore le leader Insoumis, sont gagnés par un optimisme nouveau. Mieux, un espoir ! Il n'était qu'à voir les députés PS chahuter gaiement lors de leur pot de fin de session à l'Assemblée, Olivier Faure se livrant à un périlleux paquito, tradition festive basque. C'est Boris Vallaud, député des Landes, qui a lancé le défi. De leurs fenêtres, des cadres de droite, qui ont capté la scène en vidéo en fin de soirée, ont assisté, médusés, au saut de l'ange du patron du PS, rattrapé à bout de bras par une brochette d'élus. « Une préparation pour les JO », badine le numéro un du PS, dont on ignore s'il parle des Jeux ou de la présidentielle. « Il y a une lumière au bout du tunnel », décèle un conseiller socialiste, pour qui la libération est enfin arrivée. « Ma conviction, c'est que nous avons commencé le jour d'après. La Nupes était un point de départ par nécessité, en aucun cas un point d'arrivée », appuie un haut responsable socialiste, qui rappelle que les partis de gauche étaient tous au tapis au sortir de la présidentielle, tandis que Mélenchon culminait à 22 % après avoir bénéficié pour partie d'un vote utile pour contrer Marine Le Pen. Tout se passe donc comme si les responsables de la Nupes, du moins ceux qui aspirent à gouverner le pays, ne songeaient plus qu'à briser leurs chaînes après s'être sentis asservis, vassalisés, comme victimes d'emprise.

Coup de sang. Le 24 mai, à Saint- Brévin-les-Pins, le leader de LFI participe à la marche de soutien au maire, Yannick Morez, qui vient de démissionner.

L'heure semble venue, à gauche, de refonder une alliance nouvelle version. Comprendre : sans Jean-Luc Mélenchon, accusé de s'être expulsé lui-même. Les dirigeants de la Nupes ambitionnent, sans encore l'avouer, de conserver la coquille et le nid, tout en laissant chuter le coucou qui s'y est installé. Déjà, les initiatives foisonnent pour rebâtir une nouvelle union, sans que l'on sache encore quelle forme elle prendra ni qui la pilotera. Ainsi les parlementaires Nupes - dont Mélenchon n'est plus, faute de s'être représenté à l'Assemblée - devraient tenir des journées communes, une première, le 18 septembre en banlieue parisienne à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne). « Rue Robespierre, pour faire plaisir aux Insoumis », taquine l'un des organisateurs. Ne surtout pas saborder un outil commun potentiellement précieux sur la route de 2027. « On est dans la période juste avant le retour de la hype ! prophétise un stratège du PS. C'est la première fois qu'il se passe un truc intelligent depuis longtemps. La gauche a pris conscience que, si elle veut gagner, elle doit être unie et que, si elle veut gouverner, c'est sans la junte qui entoure Mélenchon à LFI. Ceux-là, il faut se démerder pour les enfermer dans leur logique protestataire et tribunitienne, car ils sont un repoussoir. Il faut faire péter LFI ! » Fin de règne aux commandes de la Nupes pour Jean-Luc Mélenchon ? Et s'il s'ostracisait sciemment ?

« Kamikaze ». Irascibilité, grosse fatigue ou stratégie kamikaze assumée : l'on se perd en conjectures. Pourquoi l'ancien candidat à l'Élysée donne-t-il le sentiment, à force de coups de sang, de vouloir briser son jouet ? La liste de ses provocations devient interminable, du refus d'appeler au calme durant les émeutes à ses fantasmes d'« action révolutionnaire et subversive » pour sauver la planète, jusqu'aux énormités proférées contre le président du Crif, réitérées sur son blog, l'accusant d'être lié à « l'extrême droite ». Comme tous ceux qui s'opposent à lui, devenant de facto, dans cette rhétorique manichéenne, les alliés objectifs de Marine Le Pen. Tu es contre moi ? C'est donc que tu es avec elle… Sur son blog, socialistes et communistes se retrouvent croqués en collabos, comparés à Marcel Déat et à Jacques Doriot. « Il est en voie de "dieudonnisation" avancée », réprouve un membre du bureau national du PS. Semer la discorde pour mieux se libérer d'une union qui l'entrave en vue d'une hypothétique quatrième candidature à la présidentielle ? Au soir du premier tour d'avril 2022, il avait donné le sentiment de raccrocher les gants, confiant aux siens la mission de « faire mieux » et adoubant par la suite François Ruffin. En 2027, Mélenchon aura 75 ans. La belle affaire ! C'est trois ans de moins que Joe Biden à son entrée à la Maison-Blanche. « Jean-Luc a la tentation de tout foutre en l'air parce qu'une coalition, c'est contraignant pour les minoritaires mais aussi pour le dominant, qui ne doit jamais s'éloigner du centre de gravité. Il multiplie donc les outrances, et le reste de la coalition ne suit pas. Il veut son indépendance pour pouvoir repartir au galop. Je ne suis pas sûr qu'il y retourne, mais il ne veut s'interdire aucune possibilité », décrypte un responsable du PS.

Vidéo. Le parcours politique de Jean-Luc Mélenchon.

« Mélenchon est dans la stratégie classique du trotskisme : la différenciation maximale. Il veut incarner une authenticité rupturiste pour viser les 10 à 12 % de l'électorat radical. À partir du moment où la Nupes est cliniquement morte, il veut en faire porter la responsabilité aux autres partis de gauche et montrer qu'il est le seul pro-Nupes pur. Il veut capter les ailes radicales de la Nupes pour sortir plus fort. Sa position, c'est : "Je ne sais pas si je serai candidat, mais je ne veux pas qu'on décide pour moi." Il ne veut pas qu'on le range déjà sur une étagère, ce qui était en train d'arriver, même si c'est lui qui l'a provoqué ! » analyse Jean-Christophe Cambadélis, lui-même passé par les rangs de l'OCI (Organisation communiste internationaliste) lambertiste. « Il reproduit ce qu'il a toujours fait depuis qu'il a quitté le PS, en 2008. Il construit un outil politique, puis il le détruit. Quand il ne reste que des ruines, il repart au front avec un cercle restreint de fidèles, qu'il essaie d'élargir à l'approche de la présidentielle. Comme les peintres, il a ses époques. Et je n'ai pas vu de peintres revenir aux époques précédentes… » complète Guillaume Lacroix, président du Parti radical de gauche, qui soutient l'initiative lancée par Bernard Cazeneuve autour de La Convention. « Il est certain que Jean-Luc Mélenchon n'est plus en position centrale. Il n'a plus la même prise sur le réel, achève Arthur Delaporte, député socialiste du Calvados. La Nupes s'autonomise par rapport à La France insoumise. Elle a son existence propre. » 

Schisme. Au fond, le schisme arrangerait tout le monde. Comme dans un couple toxique où chacun rêve de séparation et de garder les enfants et la maison tout en obtenant un divorce aux torts exclusifs. « Ça va se faire naturellement, car la Nupes se prend la réalité en pleine gueule ! Il faut juste résister et tenir », parie un postulant potentiel à l'Élysée, persuadé que le fruit finira par tomber. Question de patience. La victoire inespérée du PSOE ibérique a gonflé en France les voiles des tenants d'une gauche raisonnable qui rêvent d'une alliance revisitée, sans dominants ni dominés. Le Premier ministre social-démocrate sortant, Pedro Sanchez, donné pour mort dans les urnes, a non seulement sauvé sa peau face à la coalition du Parti populaire et de l'extrême droite Vox, mais il s'est débarrassé de la gauche radicale de Podemos, évinçant le clivant Pablo Iglesias, avec qui il gouvernait, au profit d'une coalition de gauche plus tempérée. Ne reste qu'à calquer la méthode de ce côté des Pyrénées : à chaque élection intermédiaire - sénatoriales, européennes, municipales -, il s'agit de réduire la part de marché des Insoumis et de récupérer chaque mètre de terrain perdu, jusqu'à inverser le rapport de force politique. « Il faut en France une gauche unie et un peu radicale qui associe des gens comme François Ruffin, Clémentine Autain et Alexis Corbière », projette une figure du PS. « Des Insoumis nous font passer le message que ce n'est plus possible, que cette stratégie de la confrontation permanente à la Chantal Mouffe arrive à un plafond de verre », glisse un présidentiable.

Pré-candidat. À Créteil, le 10 juin, Bernard Caseneuve lance son mouvement, La Convention, avec le soutien de François Hollande.

Au sein de la Nupes, un collectif d'élus écologistes, socialistes et communistes prépare déjà l'avenir, en lien avec les Insoumis émancipés, écartés de la direction verrouillée de LFI. En veillant à ne pas mettre d'huile sur le feu. La ligne de conduite : ne jamais répondre aux attaques de Mélenchon, si humiliantes soient-elles, sans cautionner toutefois ses outrances. « Manière de dire que, malgré les soubresauts, nous, on travaille », explique Julien Bayou, ancien secrétaire national des Verts, pour qui « l'enjeu est maintenant d'arriver à en faire un vrai mouvement pour gagner ».

Poker menteur. Reste l'éléphant au milieu de la pièce, si l'on ose dire : qui sera le Pedro Sanchez français ? Dans cette partie de poker menteur, chacun a son agenda. Et la gauche manque davantage d'une procédure de désignation irréprochable que de postulants, dont aucun ne fait à ce stade l'unanimité. Le club des anti-Nupes, qui s'était réuni pour des agapes fin mars au Bistrot de Paris, à deux pas de Solferino, à l'initiative de Cambadélis, compte quelques solides prétendants. L'ancien Premier ministre Bernard Cazeneuve, qui a quitté le PS et lancé La Convention en juin avec le soutien de François Hollande, convoite les déçus du macronisme au centre gauche. La présidente d'Occitanie, Carole Delga, monte en puissance. D'aucuns regardent avec intérêt le maire de Montpellier, Michaël Delafosse. Côté Nupes, François Ruffin déploie ses ailes, mais il tarde à passer la seconde.

D'aucuns invitent à ne pas sous-estimer Olivier Faure, si honni soit-il par une partie de son camp. « Il est en construction, comme François Hollande l'a été. Il a tout appris de lui. Il est dans sa chrysalide, sa phase de transformation. Est-ce que ça fera un beau papillon ? » glisse un bon connaisseur des arcanes du PS. Les deux camps, pour l'heure, ne se parlent pas, ou à peine. Ainsi Carole Delga confiait-elle ces jours-ci ne pas compter se rendre aux universités d'été du PS fin août à Blois pour ne pas croiser Olivier Faure, qu'elle désigne comme « le premier secrétaire du PS par effraction ». Tous savent pourtant qu'il faudra bien se retrouver. « Il n'y a pas de possibilité pour la gauche de revenir au pouvoir si elle n'est pas rassemblée. Il n'y a pas de stratégie alternative », insiste Olivier Faure. « Aujourd'hui, tout est possible, le pire comme le meilleur. Il faut être très modeste, arrêter la parade des estrades, travailler à un projet de société et se retrouver avec celles et ceux qui veulent changer le monde et acceptent la responsabilité de gouverner. Arrêtons les guerres picrocholines car, pendant ce temps, on ne travaille pas pour les Français », invite Carole Delga. Il n'y a plus qu'à.


Pacte. Tous s'accordent déjà sur un point : un espace politique s'est dégagé pour la gauche depuis le mouvement social contre la réforme des retraites, qui ne peut que s'accroître avec la crise économique qui couve. « La société est dans une situation de déséquilibre financier. Dans l'après-Covid, le fossé s'est encore plus creusé entre ceux qui se sont enrichis et ceux qui travaillent mais ne s'en sortent pas. Il y a dans notre pays des gens qui font des saisons et dorment dans leur voiture, sans pouvoir se doucher. Où est la décence ? L'équité et la justice sociale sont un marqueur de la gauche, son combat. Il y a un besoin de gauche dans notre société », plaide un sénateur socialiste, qui relève qu'il n'est pas anodin que les LR Gérald Darmanin ou Aurélien Pradié aient investi le terrain de la droite populaire. « Il y a un besoin de gauche, Emmanuel Macron va pencher de plus en plus à droite », parie le maire PS du Mans, Stéphane le Foll.

Un pacte entre le président et Les Républicains, au point mort à ce stade, ferait les affaires de la gauche réformiste, d'autant que ses héritiers potentiels sont tous à droite de l'échiquier politique. À moins qu'Emmanuel Macron ne leur tende un piège à tous avec une dissolution de l'Assemblée pour rebattre les cartes d'un quinquennat enlisé. Chiche ! défie l'écologiste Julien Bayou, qui assure que la Nupes s'est préparée à cette éventualité durant la crise des retraites : « Nos tracts sont déjà prêts ! » 

Depuis l’après de Gaulle (et même avant) dans cette vieille Veme république de 65 ans usée devenue monarchique faisant penser à l’ancien régime dont on n’arrive pas à se débarrasser du fait de notre histoire ancienne et (qui devrait être largement admise à la retraite) déjà reformée mainte fois comme celle officielle des citoyens Français par ses dirigeants et politiciens de tous bords politique d’une inefficacité lamentable mais remarquable de longévité car ces mêmes Français qui râlent vocifèrent voir manifestent violemment depuis des décennies car ne sachant plus pour qui voter ou choisir dans cette classe politique sclérosé moribonde comme ses partis politique ringards qui change de nom au fil des mandatures présidentielles et ou ces Français lambda élisent et réélisent les mêmes !?

Alors comprendre les Français c’est mission impossible la NUPES faux groupement de partis d’opposition d’une gauche moribonde PS PC Ecolos verts extrémistes illuminés et autres marginaux gauchisants création de cet aboyeur de foire bavard mal élevé de MELENCHON et sa LFI pourvoyeuse aussi de Français qui sème le désordre et aussi mal élevé que lui logiquement pour le malheur des Français qui se sont une fois de plus trompé en réélisant ce président !?

Je fais partie de ces anciens Français ayant connus tous nos chefs d’états gouvernements et politiciens de tous bords de cette Veme republique plus vieux que lui ce trublion de Mélenchon vieillard mal élevé qui ne se rend pas compte de son âge et que son nom finira sur une pierre tombale comme tout le monde alors qu’il profite de sa retraite d’ex ministre de sa fortune personnelle bien fournie et qu’il nous fiche la paix car les agitateurs aboyeurs de foire on en a trop !?

En plus on doit supporter jusqu’en 2027 car réélu par défaut une erreur manifeste commise par certains Français ayant peur du lendemain un président fat donneur de leçon et bienpensant s’écoutant parler hyper bavard pour ne rien dire d’utile et qui ne fait rien de probant depuis son élection et réélection merci à eux car ils ont ce qu’ils méritent tant pis pour les autres !?

Jdeclef 03/08/2023 11h11

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