mercredi 2 août 2023

Il n’est PAS condamné loin de là il ne faut pas rêver aux USA c’est comme en France nos politiciens de tous bords qui ont fait des fautes passent souvent à travers les gouttes d’une passoire à gros trous de notre justice inefficace mais faite pour eux surtout pour nos politiciens élus !?

 

États-Unis : Trump inculpé pour ses pressions lors de la présidentielle de 2020 ?!

L’ex-président américain a affirmé que même une condamnation ne lui ferait pas arrêter sa campagne pour l’élection présidentielle en 2024.

Il s’accroche logiquement connaissant les institutions de son pays toujours laxiste quand elle touche des politiciens ex dirigeants élus et s’entoure d’avocats car il est riche ne désespérant pas d’être réélu par ce fans nombreux  comme notre petit président bourgeois par ces Français si naïfs qui reste encore mais dont le nombre diminue pourtant (amusant cette coïncidence) mais lamentable pour notre monde instable dangereux !?

Donald Trump a été inculpé mardi 1er août pour ses tentatives d'inverser le résultat de l'élection présidentielle de 2020, l'accusation la plus grave à peser contre l'ex-président déjà doublement poursuivi au pénal. Le grand favori des primaires républicaines pour l'élection de 2024 est inculpé de « complot à l'encontre de l'État américain », entrave à une procédure officielle et atteinte aux droits électoraux après une enquête supervisée par le procureur spécial Jack Smith.

« Malgré sa défaite, l'accusé était déterminé à rester au pouvoir. Par conséquent, durant plus de deux mois après le scrutin du 3 novembre 2020, l'accusé a diffusé des mensonges selon lesquels il y avait eu des fraudes ayant modifié le résultat et qu'il avait en fait gagné », relève l'acte d'accusation. « Ces allégations étaient fausses et le prévenu savait qu'elles étaient fausses », peut-on y lire. « Mais le prévenu les a répétées et les a largement diffusées malgré tout », selon le document qui affirme que Donald Trump a lancé « son projet criminel » quelques jours après le scrutin.

Le rapport mentionne aussi six autres personnes également inculpées, sans révéler leurs noms.

Lors d'une très brève allocution à Washington, Jack Smith, l'air sévère, a déclaré qu'il voulait un « procès sans délai ». Une première comparution préliminaire a été fixée au 3 août devant un tribunal fédéral de la capitale. Donald Trump pourrait se voir obligé de comparaître devant un tribunal en pleine campagne électorale l'an prochain.

Une inculpation prévisible

L'ancien président américain affirmait s'attendre à être de nouveau inculpé par le procureur spécial enquêtant sur ses tentatives d'inverser le résultat de l'élection de 2020, en l'accusant de vouloir perturber sa campagne pour 2024. « On me dit que Jack Smith le cinglé, pour interférer dans l'élection présidentielle de 2024, va lancer une nouvelle inculpation bidon de votre président préféré – moi – à 17 heures » [soit 21 heures à Paris, NDLR], a-t-il écrit sur sa plateforme Truth Social.

« Pourquoi ne l'ont-ils pas fait il y a deux ans et demi ? Pourquoi ont-ils attendu si longtemps ? Parce qu'ils voulaient que ça arrive en plein dans ma campagne », a-t-il ajouté.

Un discours en question

Donald Trump avait annoncé le 18 juillet avoir reçu une lettre de Jack Smith l'informant qu'il était visé personnellement par l'enquête fédérale sur les tentatives d'inverser les résultats de la présidentielle de 2020, et notamment l'assaut contre le Capitole le 6 janvier 2021.

Ce jour-là, il avait tenu un discours enflammé devant ses partisans réunis non loin de la Maison-Blanche, les appelant à se « battre comme des diables » contre les résultats de l'élection présidentielle que les élus devaient certifier. Une foule avait ensuite envahi le Capitole, des scènes de violence et de chaos qui avaient choqué l'Amérique et le monde.

Assaut du Capitole : à quels chefs d'accusation Donald Trump s'attend-il ?

Pour Jack Smith, cette attaque « était un assaut sans précédent contre le siège de la démocratie américaine ». Et « elle a été encouragée par des mensonges. Des mensonges de l'accusé destinés à entraver une fonction essentielle de l'État américain : le processus par lequel la nation collecte, compte et certifie les résultats de l'élection présidentielle », a-t-il asséné.

S'il est bien inculpé pour ces faits, il s'agirait des accusations les plus sérieuses à être portées contre l'ex-chef de l'État, déjà poursuivi au pénal dans l'affaire de la gestion supposée négligente des documents confidentiels de la Maison-Blanche et celle des paiements suspects à une ancienne actrice de films X. Donald Trump, 77 ans, est devenu cette année le premier ex-président des États-Unis à être inculpé au pénal par la justice fédérale.

Il attend également le résultat de l'enquête de la procureure de l'État de Géorgie, qui doit se prononcer sur les pressions qu'il a exercées pour tenter d'altérer le résultat de la présidentielle de 2020 dans cet État du Sud.

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Toujours le favori des Républicains

Pour autant, le tempétueux homme politique conserve la loyauté d'une bonne partie de son parti : il domine en effet les sondages pour l'investiture républicaine et creuse même l'écart avec le numéro 2, le gouverneur de Floride Ron DeSantis, qui cumule les faux pas depuis le début de sa campagne.

« N'importe qui se plaçant au-dessus de la Constitution ne devrait jamais être président des États-Unis », a réagi, mardi soir, son ancien vice-président, Mike Pence, lui aussi dans la course à l'investiture.

L'impact qu'aura cette dernière inculpation sur la candidature de Donald Trump à la Maison-Blanche n'est pas encore clair. L'ex-président a déjà dénoncé ces dernières semaines une « chasse aux sorcières », une nouvelle « interférence électorale » et une « instrumentalisation politique » de la justice pour l'empêcher d'être candidat. Lui n'en démord pas : il continue d'affirmer, sans aucune preuve, que l'élection de 2020 lui a été « volée ».

Se serait bien s’il était condamné et surtout inéligible aux prochaines élections présidentielles US car la justice américaine n’a pas de rigueur pour sanctionner leurs dirigeants ou ex politiciens véreux de tous bords pour eux que ce soit Républicains ou Démocrates c’est le défaut des pays libres et soi-disant démocratiques ou les élites sont trop protégés avec trop de pouvoir peu diffèrent en fait des états totalitaires et leurs démocratures qui fleurissent comme la mauvaise herbe dans notre monde instable devenu dangereux à cause de tels individus ivres de pouvoir à l’exemple de la Russie avec Poutine que les pays libres et démocratiques n’arrivent pas à arrêter ou s’en débarrasser !?

Donc si possible pour les américains devraient comprendre que TRUMP n’est pas le meilleur surtout en ce moment car ce peuple qui n’est pas meilleur pour choisir ces chefs d’états devrait essayer enfin de réfléchir ce que les Français ne savent pas faire en réélisant cette macronie et notre président avec nos partis politiques ringards de tous bords dans notre V eme république monarchique obsolète et usée !?

Il ne fait pas s’étonner si notre monde instable va mal car les peuples des pays libres et démocratiques avalent tout et sont prêts à être tondus ne pensant qu’à l’argent roi qui achète tout dont les USA sont l’exemple !?

Jdeclef 02/08/2023 11h12

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