Sommet
avec les partis : le bon (ou mauvais coup) d’Emmanuel Macron !?
Il y
avait tout à craindre que « l’initiative politique d’ampleur »
annoncée par le chef de l’État tourne au fiasco face à des oppositions très
remontées. Sur la forme, tout du moins, il n’en a rien été.
CETTE « INITIATIVE
D’AMPLEUR » N’EST QU’UN DISCOURS OU REUNION FUMEUSE DE PLUS QUI PLAIT TANT
A NOTRE PRESIDENT ET A UN CERTAIN PUBLIC DE FRANCAIS SI NAIFS !?
Après
les grands débats, post gilet jaunes et manifestations importantes de colères
des Français et ses fameux 100 jours fiasco, CNR et peut être des fumeux préférendum,
car ce spectacle usé de cette Veme république continue, car il est inventif
notre président pour gagner du temps avec les bavardages inutiles improductifs
car lui permettant de cultiver sa procrastination pathologique qui l’empêche de
décider ce qui est une tare pour un président dont c’est le travail et par
trop de pouvoir qu’il utilise rarement et mal que lui ont donné les Français !?
Incroyable ! On
s'attendait à ce que les portes claquent, quelques minutes seulement après le
début de la rencontre de Saint-Denis. On s'attendait au départ bruyant d'un, ou
de plusieurs, participants dès les premiers échanges, mettant un terme rapide
au consensus éperdument recherché par le président de la République. Il faut
dire que l'« initiative
politique d'ampleur »
d'Emmanuel Macron, unique sous la Ve République,
avait recueilli chez ceux auxquels elle s'adressait un succès plus que mitigé.
Onze chefs de parti, la
Première ministre, le président du Sénat et celle de l'Assemblée nationale,
littéralement enfermés dans la vieille école de la Légion d'honneur – comme un hommage au général Georgelin, mort il y a quelques jours, qui
l'avait remis à neuf, faute d'avoir eu le temps de reconstruire Notre-Dame –
sans collaborateur, sans chargé de mission, plus surprenant encore : sans
téléphone portable, ont été ainsi pris en otage, ou presque, dans le but, sorti
tout juste de l'imagination fertile du président de la République, d'organiser
une « discussion franche », « à bâtons rompus » entre
l'ensemble des dirigeants politiques français.
« Conférence
sociale », référendums : ce qu'il faut retenir du sommet entre Macron
et les partisPour une coalition ? Non, cela,
personne n'aurait pu y croire une seule seconde. Mais bien, plutôt,
pour tenter de dégager des consensus ponctuels, y compris avec les deux
formations radicales, la Nupes et le Rassemblement national, qui ont été ainsi,
finalement, plus ou moins admis dans ce que les proches du président avaient
appelé « l'arc républicain ».
De l'incrédulité…
La démarche présidentielle
s'était d'abord heurtée à une sorte d'incrédulité, d'ironie plus ou moins
acerbe : qu'avait-il encore inventé là, Emmanuel Macron ? Après le tour de France du
« grand débat », consécutif aux révoltes des Gilets jaunes, il
annonçait une « initiative politique d'ampleur », preuve qu'il aurait
tout essayé, décidément, pour rétablir un dialogue entre ceux qui ne se parlent
plus, ou de moins en moins, depuis six ans.
De la « com »,
simplement, de la poudre aux yeux ? Mais comment dire « non »,
même si on revendique son appartenance à l'opposition, quand on vous tend la
main ? Et surtout, comment dire « non » devant tous les Français ?
Ceux-ci, habitués aux joutes grotesques de parlementaires déchaînés, n'auraient
sans doute pas compris le refus de tenter, sinon une réconciliation, du moins
une rencontre entre gens qui, après tout, ont en charge le pays, chacun à la
place que leur ont donnée les électeurs.
Toujours est-il qu'à minuit,
au bout de huit heures, plateau-repas compris, les onze étaient toujours là,
les président et présidente des Assemblées aussi, ainsi que la Première
ministre. Les échanges se sont
même prolongés jusqu'à 3 heures du matin. Sans avoir bousculé la bienséance
ni créé de désordre irrémédiable. Il serait bien sûr impossible d'en conclure
que le président de la République a gagné son pari de concorde nationale. Mais
enfin, son initiative n'a pas tourné court dès les premiers instants, tout ce
beau monde n'est pas resté silencieux pendant de si longues heures, même si
l'on sait qu'Emmanuel Macron a tendance à parler longuement.
… à l'espoir ?
Sans conclure que tout va
désormais pour le mieux dans le meilleur des mondes, on peut néanmoins avoir
une petite lueur d'espérance à l'idée que, tout de même, ces élus qui se
détestent, et dont certains manifestent parfois leur détestation du président de
la République, ont quelque chose en commun : ils savent qu'ils sont tous,
à leur manière, concernés par le délabrement de la société française.
Le sondage rendu public
mercredi par l'institut Elabe tombe à pic : il montre que les Français ont
été surtout marqués par les récentes émeutes urbaines, dont la violence et la
soudaineté ont troublé, au-delà de l'Élysée, tous les états-majors politiques.
Que le maintien de l'inflation à un niveau élevé les inquiète, et pour certains
d'entre eux, les désespère. Que le discours politique, où qu'il soit
prononcé, et par qui, ne passe plus. C'est assez, sans doute, pour que chacun
des leaders politiques présents à Saint-Denis ait fait, oh, juste un tout
petit peu au moins, son examen de conscience. Si la France devient
véritablement ingouvernable, elle le sera aussi pour tous les possibles
successeurs d'Emmanuel Macron, qu'ils se situent, ou pas, au beau milieu de
l'arc républicain.
Les 5 points clés de notre grande explication
avec Emmanuel MacronAprès
tout, Macron ne devrait plus poser de problème à ses adversaires : il
n'est pas rééligible. Il lui reste assez de temps, en revanche, pour permettre
à chacun des onze dirigeants politiques, enfermés presque une nuit durant à
l'école de la Légion d'honneur, de s'organiser pour préparer sa succession.
Qu'ils le fassent donc, sans oublier que les recettes miracles n'existent pas,
et que les Français seront avec eux au moins aussi sévères qu'avec leurs
prédécesseurs.
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Le président à fait fort en
esbrouffe pour sa prestation théâtrale réservée aux seuls partis politiques
devenus insipides et inutiles en leur enlevant même leurs téléphones pour
éviter les fuites dans les médias qui auraient peut-être mal interprété ses
propos tout en ayant piégé pendant avec tout de même un vrai repas ces chefs de
partis et consorts pendant plusieurs heures les soulant de paroles ce qu’il
sait le mieux faire en s’écoutant parler !?
(Pourtant quand on n’a rien
à dire de nouveau on la ferme mais lui çà il ne sait pas faire préférant
continuer à se moquer des Français lambda qu’il dédaigne)
Car quand on laisse les
médias à la porte on supprime de fait les critiques qui seront de toutes façons
interprétées de différentes façons selon les étiquettes politiques des
participants et quand on enlève en le mettant de côté les tels portables aux
invités ?!
On suppose qu’Il a
d’ailleurs été étonné de la bonne tenue de ses invités et même après à la
sortie tardive de cette réunion genre pétard mouillé qui a fait pschitt avec
les journalistes restés sur leur fin
Ce président hyper bavard
procrastinateur soule les Français depuis 2017 et pire depuis sa réélection qui
le mène jusqu’à 2027 en continuant à se moquer d’eux car (« franc comme un
âne qui recule » qu’il excuse ma grivoiserie) car comme de la classe politique
et de l’opposition qui en arrive à se contenter de cette échéance comme les
Français qui ne vont même plus voter car le trop c’est trop !?
Le plus étonnant c’est les Français
qui acceptent çà depuis qu’ils subissent nos dirigeants passés de cette Veme république
devenue monarchique mais lui se comporte vraiment comme un monarque de l’ancien
régime et tient le haut du panier de ces dirigeants qui ne pensent qu’à eux
avec leurs avantages et privilèges qui pourtant lui ne peut être réélu (bien
que va savoir avec des Français qui avalent tout !?)
Jdeclef 31/08/2023 11h56LP
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