mercredi 9 août 2023

Ce pays vindicatif ne s’entend avec personne même pas avec ses voisins maghrébins alors en plus avec la France qui leur a fait la guerre pour contrecarrer leur indépendance c’est pire et hypocrite de la part de leurs présidents depuis 1962 et comme nos dirigeants Français n’arrivent pas à tourner la page de cette Afrique du nord c’est pire et celle occidentale AOF/AEF !?

 

Niger : Alger traumatisé par le « syndrome » libyen ?

Par crainte des « risques » qu’encourt la région, l’Algérie martèle son opposition à une intervention militaire contre les putschistes nigériens.

L’ALGERIE AUSSI ARROGANTE QUE SON EX COLONISATEUR VEUT SE COMPORTER COMME LUI QU’ILS OUBLIENT LA FRANCE ET SE COMPORTE COMME TOUS AUTRES PAYS ETRANGERS EN SE PRENANT TOTALEMENT EN CHARGE CAR EN PLUS CE PAYS EST RICHE !?

Option d'une intervention militaire au Niger semble de plus en plus éloignée après le délitement de la menace de la Cedeao après l'épuisement de son ultimatum contre les putschistes nigériens. De plus, l'entrée de Washington sur la ligne de la crise conforte l'abandon d'une action militaire immédiate. La numéro deux de la diplomatie américaine par intérim, Victoria Nuland, qui vient de se rendre à Niamey, a indiqué privilégier, pour restaurer l'ordre constitutionnel, la voie diplomatique, et ce, plutôt que l'intervention militaire un temps envisagée par les pays d'Afrique de l'Ouest. Une approche assumée par le secrétaire d'État américain Antony Blinken, qui a déclaré à RFI qu'il « est certain que la diplomatie est le moyen préférable pour résoudre cette situation ». « C'est la démarche de la Cedeao, c'est notre démarche et nous soutenons les efforts de la Cedeao pour rétablir l'ordre constitutionnel », a-t-il ajouté.

L'avertissement d'Alger

Une vision qui conforte la position du voisin algérien inquiet des développements de la situation à Niamey. Le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, l'a réaffirmé lors de sa rencontre avec les médias à Alger samedi dernier. « Nous rejetons totalement et catégoriquement toute intervention militaire au Niger », a-t-il déclaré, ajoutant : « Regardez la situation des pays où il y a eu des interventions étrangères. Leurs problèmes sont toujours posés », évoquant les crises en Syrie et en Libye. « La situation s'est aggravée après la décision du Niger et du Mali d'entrer dans la bataille », a encore prévenu le président Tebboune, alertant sur le risque d'embrasement de toute la région du Sahel, zone hautement stratégique pour l'Algérie. « L'intervention militaire n'a jamais réglé aucun problème et les choses ne se règlent que par la logique », a-t-il appuyé, soutenant qu'une « intervention militaire [de la Cedeao] est une menace directe pour l'Algérie ».

Coup d'État au Niger : les inquiétudes d'Alger

Washington, Berlin et Rome confortent Alger

La position algérienne a été directement communiquée à la Cedeao lors de la visite à Alger, le 4 août, de Babagana Kingibe, l'envoyé spécial du président nigérian actuellement président de la Cedeao. À cette occasion, Alger a souligné « la nécessité d'activer toutes les méthodes et tous les moyens diplomatiques et d'éviter l'option du recours à la force, ce qui ne peut que rendre la situation plus compliquée, grave et dangereuse pour le Niger et toute la région ».

Ce samedi, le haut représentant de l'Union européenne pour les Affaires étrangères, Josep Borrell, a eu un entretien téléphonique avec le ministre algérien des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, autour de la question nigérienne. Les deux parties ont exprimé « la nécessité d'œuvrer de concert afin d'exercer des pressions politiques et diplomatiques pour assurer le retour à l'ordre constitutionnel » au Niger, mais Alger a encore insisté pour « prioriser le processus politique et diplomatique ». En Europe, justement, Berlin et Rome ont déclaré qu'ils préféreraient éviter une intervention militaire. « L'Europe ne peut pas se permettre un affrontement armé, nous ne devons pas être vus comme de nouveaux colonisateurs », a souligné le ministre italien des Affaires étrangères, Antonio Tajani, dans un entretien publié lundi par le quotidien La Stampa.

Niger : « Les djihadistes doivent se frotter les mains ! »

Le prix de l'instabilité

« Si Alger s'oppose si énergiquement à toute intervention militaire, c'est parce que les Algériens veulent éviter une déstabilisation complète de la sous-région qui déjà connaît des points de tension avec le Mali, son nord, l'activisme des terroristes, l'absence de l'autorité de l'État central sur des régions entières et les interventions extérieures », analyse un expert algérien. Les attentats dans la région, particulièrement dans la zone des trois frontières [Niger, Burkina Faso et Mali], se multiplient alors que la menace terroriste « descend » de plus en plus vers le golfe de Guinée…

Sahel : comment les populations civiles subissent l'insurrection djihadiste

L'organisation État islamique au grand Sahara (EIGS) a revendiqué, hier, un attentat contre des militaires maliens datée du 3 août à Assaylale, dans la région malienne de Ménaka. Dimanche, c'est une vingtaine de personnes qui ont été tuées au Burkina Faso, dans le centre-est du pays dans une attaque de djihadistes présumés. Pour rappel, depuis 2015, le Burkina Faso est pris dans une spirale de violences perpétrées par des groupes djihadistes affiliés à l'État islamique et à Al-Qaïda. Celles-ci ont fait plus de 16 000 morts civils et militaires, dont plus de 5 000 depuis le début de l'année 2023, selon le décompte d'ONG.

Le souvenir du précédent libyen

Alger, faut-il le rappeler, s'était opposé à l'intervention militaire contre la Libye. Il avait alerté à l'époque sur les risques d'instabilité pour toute la région. La chute de Kadhafi et la longue crise politico-sécuritaire, qui perdure d'ailleurs chez ce voisin de l'Est, a effectivement boosté l'activisme terroriste aux frontières algériennes. Les groupes terroristes djihadistes ont profité de l'apport en armement issu de l'arsenal libyen et ont su capitaliser sur la révolte touarègue au nord du Mali installant sanctuaires et bases d'attaques de plus en plus audacieuses.

« Les Occidentaux frappent et s'en vont, alors que nous, nous sommes condamnés par la géographie », commentait à l'époque un haut gradé algérien. L'intervention militaire « n'est pas une solution magique, c'est une action que les initiateurs doivent assumer de bout en bout », soulignait la même source. La situation aux frontières sud et sud-est avait profondément impacté l'effort militaire algérien, poussant le haut commandement à des projections de forces coûteuses pour sécuriser ses frontières.

Sahel : « On assiste à la montée d'un certain islamo-nationalisme »

Washington versus Paris

« Mais plus que l'effort militaire, c'est le fait d'être obligé de jouer le pompier tout le temps pour circonscrire les incendies autour de nous qui nous inquiète », affirme un ex-diplomate. « Notre démarche et nos positions ne sont pas du goût de tout le monde, explique cet ancien diplomate. Mais la position américaine nous conforte dans notre optique – même s'ils font ce choix anti-intervention [militaire] pour des raisons pragmatiques liées à leur coopération antiterroriste dans la région. » « C'est aussi un coup dur pour Paris qui misait sur l'intransigeance de la Cedeao pour contrer militairement les putschistes de Niamey, mais Washington vient de reprendre la main », a poursuivi la même source.

Seidik Abba : « Comme en Afghanistan, les objectifs n'ont pas été atteints au Sahel »

-------------------------------------------------------------------------------------------------------------

L’ALGERIE ce pays du Maghreb et depuis leur guerre d’indépendance de 1962 avec la FRANCE à une tendance d’orgueil vindicatif avec ces voisins LYBIE TUNISIE MAROC avec lesquels elle ne s’entend pas et bien sûr aussi avec la France dont nos gouvernements de tous bords et nos présidents n’arrivent pas « à couper le cordon » comme de cette Afrique ex AOF/AEF coloniale depuis 61 ans car nos dirigeants de tous bords s’acharnent peut être par repentance hypocrite d’avoir faite cette guerre inutile qui pourtant on couté la mort inutile nos nombreux soldats appelés et l’afflux depuis cette époque de beaucoup de migrants algérien et autres qui préfèrent la liberté française de notre pays que celles de leurs pays d’origine et ses présidents et gouvernements totalitaires d’ailleurs :

(En juillet 2020, le président algérien Abdelmadjid Tebboune cite le chiffre de 6 millions de personnes d'origine algérienne en France sans préciser de source ?!)

Ce même président algérien qui va venir encore rendre visite à notre petit chef d’état faux monarque bienpensant donneur de leçon hypocrite qui ne peut comprendre car trop jeune n’ayant que 15 ans lors de cette indépendance pour surement se plaindre ou réclamer des faveurs se croyant peut-être comme dans le passé avant 1962 sous administration de la France car ex département Français comme nos possessions d’outre-mer !?

C’est à ce pays qui n’est PAS pauvre de s’assumer comme tous pays étrangers normaux et la France de décrocher vraiment se boulet qu’elle traine à cause de ses dirigeants de tous bords depuis des années !?

Mais avec notre président « macronien » procrastinateur ce n’est pas gagné car notre pays est mal gouverné pour cela et d’autres problèmes trop nombreux !?

Et il a été réélu jusqu'en 2027 et piétine sur sa loi sur l'immigration en plus ?!

Jdeclef 09/08/2023 10h33


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire