mercredi 30 août 2023

L’Afrique de ses pays composant l’ex empire colonial Français commence à prendre sa liberté par ses coups d’états à répétition pour renverser des dictateurs ou gouvernements totalitaires souvent mis au pouvoir par la France pour soi-disant protéger leurs peuples (plutôt pour profiter des richesses de ce continent ?!)

 

Tentative de coup d’État au Gabon : tout ce que l’on sait sur la situation !?

Dans un communiqué diffusé à la télévision, des militaires ont affirmé « mettre fin au régime en place » alors qu’Ali Bongo Ondimba, au pouvoir depuis 14 ans, venait d’être réélu président !?

Notre président qui n’y connait rien dans l’histoire coloniale Française ferait bien de ramasser ses gaules car la pèche ne donne plus de poissons et les citrons à presser ne donnent plus de jus dans cette Afrique francophone !?

Un coup d'État est en cours au Gabon ce mercredi 30 août. Attendus depuis plusieurs jours, les résultats des élections présidentielles organisées samedi 26 août étaient tombés au milieu de la nuit de mardi à mercredi : le président, Ali Bongo Ondimba, au pouvoir depuis 14 ans, obtenait un troisième mandat avec 64,27 % des suffrages exprimés, annonçait le président du Centre gabonais des élections (CGE), Michel Stéphane Bonda, à l'antenne de la télévision d'État Gabon 1ère. Le principal rival de Bongo, Albert Ondo Ossa, ne recueillait que 30,77 % des voix.

Mais au petit matin, un groupe d'une douzaine de militaires gabonais a pris la parole sur la chaîne de télévision Gabon 24 abritée au sein de la présidence, pour lire un communiqué. Parmi les militaires présents figuraient des membres de la Garde républicaine (GR), la garde prétorienne de la présidence, reconnaissables à leurs bérets verts, ainsi que des soldats de l'armée régulière et des policiers. Voici tout ce que l'on sait de la situation.

Tentative de coup d'État au Gabon : ce qu'il faut savoir sur le pays

  • Un communiqué lu par des militaires gabonais à la télévision

Les militaires apparus à la télévision gabonaise ont lu un communiqué dans lequel ils ont annoncé la dissolution de « toutes les institutions de la République ». Après avoir constaté « une gouvernance irresponsable, imprévisible, qui se traduit par une dégradation continue de la cohésion sociale risquant de conduire le pays au chaos […] nous avons décidé de défendre la paix en mettant fin au régime en place », a déclaré un de ces militaires, disant s'exprimer au nom d'un « comité de transition et de restauration des institutions ». « À cet effet, les élections générales du 26 août 2023 ainsi que les résultats tronqués sont annulés », a-t-il ajouté.

« Toutes les institutions de la République sont dissoutes, le gouvernement, le Sénat, l'Assemblée nationale, la Cour constitutionnelle. Nous appelons la population au calme et à la sérénité et nous réaffirmons notre attachement au respect des engagements du Gabon à l'égard de la communauté internationale », a-t-il poursuivi, annonçant aussi la fermeture des frontières du pays « jusqu'à nouvel ordre ».

  • Des tirs entendus à Libreville

Pendant cette déclaration, des journalistes de l'AFP ont entendu des tirs d'armes automatiques à Libreville. Quelques heures plus tard, le réseau Internet a été rétabli dans le pays trois jours après avoir été coupé par le gouvernement, qui invoquait des risques de violences le jour de la présidentielle, a constaté mercredi un journaliste de l'AFP.

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  • Des fraudes dénoncées par Albert Ondo Ossa

Albert Ondo Ossa avait dénoncé des « fraudes orchestrées par le camp Bongo » deux heures avant la clôture du scrutin samedi, et revendiquait alors la victoire. Son camp exhortait lundi 28 août Ali Bongo à « organiser, sans effusion de sang, la passation du pouvoir » sur la base d'un comptage effectué selon lui par ses propres scrutateurs, et sans produire de document à l'appui.

  • Le groupe minier français Eramet « à l'arrêt »

Les activités du groupe minier français Eramet ont été « mises à l'arrêt », a déclaré mercredi la société à l'AFP. Le groupe « suit » la situation pour « protéger la sécurité de (son) personnel et l'intégrité de (ses) installations », a-t-il précisé. Eramet emploie quelque 8 000 personnes dans le pays, majoritairement gabonaises. Cette annonce faisait chuter l'action d'Eramet à la Bourse de Paris, qui perdait 18,83 % à 61,85 euros vers 9 h 55.

Le groupe est présent au Gabon à travers deux filiales. La compagnie Comilog (la compagnie minière de l'Ogooué) est spécialisée dans l'extraction de manganèse, minerai dont Eramet est le deuxième producteur mondial à haute teneur. Setrag (la Société d'exploitation du transgabonais), la deuxième filiale du groupe français, assure l'exploitation ferroviaire de la ligne qui relie la côte atlantique au sud-est du pays riche en minerais à travers la forêt équatoriale du Gabon.

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  • La France suit la situation « avec la plus grande attention »

Devant les ambassadrices et ambassadeurs de France réunis à Paris, la cheffe du gouvernement français Élisabeth Borne a énuméré plusieurs crises récentes auxquelles la diplomatie française a été confrontée, « et désormais la situation au Gabon que nous suivons avec la plus grande attention ».

De son côté, le leader de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon a accusé mercredi Emmanuel Macron d'avoir « encore une fois compromis la France dans un soutien jusqu'au bout à l'insupportable », avec son appui au président gabonais Ali Bongo. Il a affirmé dans un message sur X (ex-Twitter) qu'« aucune alerte n'aura été entendue ».

  • La Chine appelle à « garantir la sécurité » du président Bongo

Pékin a appelé « les parties concernées » au Gabon à « garantir la sécurité » du président Ali Bongo, après le coup d'État militaire. « La Chine suit de près l'évolution de la situation au Gabon et appelle les parties concernées à agir dans l'intérêt du peuple gabonais […], au retour immédiat à l'ordre normal, et à garantir la sécurité personnelle d'Ali Bongo », a indiqué devant la presse un porte-parole de la diplomatie chinoise, Wang Wenbin.

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La fin de « la France AFRIQUE » se confirme cela ne peut être qu’une bonne nouvelle si notre président (ne s’en mêle pas ou ne se prend pas encore pour un redresseur de tort) qui n’y comprend rien car nos ex possessions de cette AFRIQUE ex AOF et AEF et Maghreb lâche enfin le l’ex colonisateur de cet empire africain Français avec l’ALGERIE vindicative qui avait pour retrouver sa liberté fait une guerre inutile de 1958/1962  jusqu’à obtenir définitivement le départ des Français car elle l’aurait obtenue de toute façon comme les pays Africains devenus indépendant en 1960 (avec même ceux nés sur son sol depuis des générations que l’on appelait pieds noirs) car ne pouvant attendre ce que les autres pays africains de cet ex empire colonial ont subi jusqu’à ce jour !?

Et que l’on ne dise pas que c’est pour empêcher la RUSSIE de s’implanter car depuis l’indépendance de l’ALGERIE ils y étaient déjà j’y étais en 1965 en tant que militaire à MERS EL KEBIR base navale d’ORAN pas encore restituée à ce pays et ils ne se cachaient pas !?

L’excuse de nos gouvernements présents et passés c’est qu’il y a encore des bases militaires dans ces pays d’AFRIQUE francophone il faut les évacuer rapidement notre armée doit protéger en priorité la France METROPOLITAINE qui doit se protéger ainsi que l’Union EUROPENNE avec un risque à ses frontières à cause de cette guerre Russo Ukrainiennes et son dictateur dérangé Poutine qu’on n’a pas pu ou pas voulu stopper !?

Avec en plus nos soldats encore présents au Moyen-Orient en IRAK dont on a encore subi la perte dans ces opérations dites extérieures !?

C’est encore notre chef d’état fantôme et son gouvernement de pattes cassées qui est responsable de notre avenir il faudrait enfin que les Français en prennent conscience !?

Jdeclef 30/08/2023 12h18LP

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