samedi 5 août 2023

Mr BAVAREZ « essayiste » mot qui ne veut pas dire grand-chose très intelligent mais bavard comme d’autres ou moi qui publient sur LE POINT hebdo inféodé au pouvoir qui censure à son gré les commentaires des internautes et qui ne respecte pas la liberté d’expression qui nous restent encore un mal qui ne fait pas de mal car c’est du bavardage !?

 

Vous, avocat, essayiste, chroniqueur au Point,

Cher Nicolas Baverez,

« Y a-t-il encore un président ? » : une réponse à Nicolas Baverez ?!

CHRONIQUE. Avis aux amateurs de débat : son article paru dans « Le Point », sur l’isolement du président, a électrisé ses lecteurs, entre pour et contre. Il y a de quoi !

NE VOUS INQUIETEZ PAS NOTRE PRESIDENT EST BIEN LA IL SE PROMENE DE PAR LE MONDE EN DONNANT DES LECONS A TOUT LE MONDE QU’Il N’APPLIQUE PAS A LUI-MEME NI A LA FRANCE ET AUX FRANÇAIS ETANT DONNE QU’ILS L’ONT REELU ET DONC CE PREND VRAIMENT COMME UN MONARQUE  L’ANCIEN REGIME ?!

Je vous lis depuis toujours et ne vous ai jamais dit combien cette fréquentation m'est précieuse. Votre dernier article du Point, qui en fait la une, m'en offre l'occasion.

En un mot, vous êtes le gendarme de ma pensée. Sans cesse vos papiers me rappellent à l'ordre quand il m'arrive de me laisser aller à de coupables indulgences. Moi, trop candide, j'ai tendance à penser que nos services publics, dégradés par des décennies d'abandon ou de lâchetés, sont plutôt en voie de restauration quand on améliore, laborieusement certes, les salaires des soignants, des enseignants ou des juges, préambule au respect qu'on leur doit. Moi, quelque peu naïf, je me réjouis quand l'Insee, à la surprise générale, publie un taux de croissance inattendu au second semestre. Moi, impénitent crédule, je veux croire que l'emploi se porte mieux. Et moi, ingénu béat, je me réjouis quand le dernier rapport de la Cour des comptes consacré aux Jeux olympiques et paralympiques de 2024 n'est alarmiste ni sur l'avancement des ouvrages, ni sur la sécurité et les transports, ni sur le budget du Cojop.

Y a-t-il encore un président ?

Ces quelques éclaircies m'aident à supporter les innombrables inquiétudes que suscite l'état du pays. Dont les déficits, ce qui n'est pas rien, et la violence et la menace de l'extrême droite et le reste. Mais vous êtes là pour me rappeler que je me laisse encore trop abuser. À vous lire, les services publics sont laissés à l'abandon, la croissance nulle, le chômage de masse, et les JO, que vous cantonnez à la Seine-Saint-Denis, déjà menacés de fiasco.

J'ai un peu honte, Nicolas, de m'être ainsi laissé aller. Pour n'être dupe de rien ni de personne, votre méthode est la bonne. Ne prendre la moindre bonne nouvelle, le plus petit indice économique positif que pour ce qu'ils sont : annonciateurs de mauvais lendemains. Si vous me permettez cette amicale comparaison, votre parti pris intellectuel me fait penser à ce que disent nos amis normands : « Quand il pleut, il pleut ; quand il ne pleut pas, c'est qu'il va pleuvoir. » Défiant plutôt que déçu : c'est une discipline !

Encore que vous n'êtes pas pour autant résigné, ni désespéré. Régulièrement, vos articles déclinent les risques majeurs, les priorités et les quatre conditions du sursaut national. À savoir : priorité au redressement ; priorité à la production, l'innovation, l'éducation, la connaissance, l'intégration et la sécurité ; revenir à l'esprit de la Ve République et, enfin, rassembler les Français autour de la reconstruction de la nation. Je les rappelle ici pour que nul n'en ignore, et notamment pas Emmanuel Macron. Ça pourrait lui servir !

Réindustrialisation, année zéro

Hélas, cher Nicolas, vous n'imaginez pas une seule seconde qu'il puisse être à la hauteur de la situation. Que l'on puisse s'inquiéter de ses hésitations ou ambiguïtés, c'est mon cas, ou lui reprocher de se payer de mots et juger mauvaises sa politique et sa gouvernance, rien de plus normal. Mais est-ce la colère de l'homme d'exigence que vous êtes, la déception en vous du réformateur ou la peur d'un républicain ? Jamais, sauf erreur, je n'ai lu sous votre plume pareille démolition à son endroit, intuitu personae.

La vraie nature du macronisme ? « La prise du pouvoir par une coterie d'aventuriers à la faveur de la défaillance de François Hollande et de François Fillon, puis sa conservation grâce au coup de dés (lancés par qui ?) de la guerre en Ukraine », écrivez-vous. Si ce n'est pas un scabreux procès en illégitimité !

Macron lui-même ? Un président qui méprise les institutions, qui n'est d'ailleurs pas président et qui n'a ni le sens de l'État ni le souci du bien commun, mais la seule obsession de son destin personnel ! Qu'auriez-vous écrit s'il avait cédé devant les manifestants opposés à la réforme des retraites ?

Droit dans le mur de la dette

Vous faut-il le diaboliser un peu plus encore ? Et là, Nicolas, vous recourrez à l'inédite et radicale « reductio ad Trumpum » : comme Trump, Macron s'installerait dans l'univers des vérités alternatives. D'ici à ce qu'il fomente un putsch…

« Sors de ce corps, Jean-Luc Mélenchon », serait-on tenté de vous brocarder, Nicolas, que je n'attendais pas sur ce registre. Je n'imaginais pas pareil degré dans la virulence venant d'un disciple de Raymond Aron.

Vous me pardonnerez de vous le dire amicalement. Du reste, de vous, libéral, adepte de la liberté de pensée et de critique, je ne redoute pas que vous vous effarouchiez exagérément de cette lettre. Prenez-la pour ce qu'elle est : le signe de l'intérêt, fût-il critique, que je prends à vous lire. Des mérites du débat, c'est du reste la philosophie du Point, dont nous sommes tous deux, avec bonheur, des contributeurs.

Et oui il est bien là (inutile aux Français) même à ceux qui l’ont réélu par défaut ne sachant plus qui choisir depuis + de 40 ans ni voter !?

De tous nos présidents de république après de Gaulle ou les anciens comme moi qui les ont tous connus celui-là est le plus médiocre parmi tous les autres dirigeants et 1ers ministres de cette classe politique sclérosée de notre Veme république vieillissante de 65 ans usée et obsolète et qui n’étaient pas parfait de tous bords politique celui là tient le haut de panier de crabe de politiciens qui ne pensent qu’à eux et à leurs avantages lucratifs si protégés quand ils ont réussi à être élus leur seul travail pour lequel ils se remuent surtout près des élections présidentielles ou législatives pour obtenir des postes de députés marchepied voire pour espérer être choisi comme ministre par notre président faux monarque sans couronne bienpensant donneur de leçon qu’il donne au monde entier ce qui montre l’étendue de son orgueil démesuré qui ne protège pas assez la France et les Français !?

Le pire peut-être c’est que ce Monsieur bon chic bon genre hyper bavard qui s’écoute parler se moque sans vergogne des Français voire les insultes en procrastinant et çà ce n’est pas admissible pour les Français qui se donnent la peine de réfléchir (il y en a encore) et qui ont perdu leur amour propre baissant les bras en se disant que de toute façon il faudra le supporter jusqu’en 2027 bien sur ce n’est pas de sa faute il s’en fiche mais celle des Français sans amour propre qui lui ont donné trop de pouvoir !?

Les Français eux sont les plus grands râleurs voire champions des manifestations de protestations voir violentes depuis toujours remontant à notre révolution Française de 1789 mais ou leurs libertés encadrées diminuent car ayant donné trop de pouvoir (« napoléonien ») à un homme ce qui n’est pas nouveau dans l'histoire de notre pays qui continue sa dégringolade vers le fond !?

Jdeclef 05/08/2023 11h36


1 commentaire:

  1. La c'est le comble de l'abrutissement borné des modérateurs du Point et de sa rédaction qui ne respecte pas ses lecteurs abonnés ni la liberté d'expression inscrite dans notre constitution qui en est réduit à censurer même indirectement Mr BAVAREZ leur chroniqueur intelligent sous prétexte que l'on dit ce qu'on pense de notre président d'une incapacité et nullité remarquable ce qui n'est pas interdit dans notre pays encore libre (mais pour combien de temps encore car notre pays va mal il faut ouvrir les yeux et ne pas pratiquer la politique de l'Autruche de nos dirigeants et ses gouvernements SVP !)
    Car à la rentrée automnale ce sera la douche froide et finie la bronzette sur les plages !

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