vendredi 3 février 2023

La France est un pays qui marche à reculons depuis 40 ans mais avec le gouvernement actuel macronien cela empire car on a un bavard qui s’écoute parler pour ne rien dire de constructif qui tire des plans sur la comète alors que c’est l’urgence qu’il faut régler et il est là jusqu’en 2027 à cause de Français naïfs qui l’ont réélu pauvre de nous !?

 

Nucléaire : Emmanuel Macron enclenche le « chantier du siècle »

Le président réunit ce vendredi un conseil de politique nucléaire pour adopter une feuille de route opérationnelle dès l’été 2023. Enquête sur les hommes du futur chantier.

Notre président bavard à l’été 2023 aura déjà perdu 6 mois alors qu’il est là depuis 2017 il soule les Français naïfs qui avalent encore ces diatribes et plans chimériques à long terme tant pis pour eux, s’il ne peut comprendre l’urgence qui frappe à nos portes dans tous les domaines publics car il y en a trop pour lui qui a gâché son 1er quinquennat et entame le second sous les mêmes auspices et le laxisme des dirigeants de tous bords qui se sont succédés depuis des décennies lui il s’en fiche il ne peut être réélu en 2027 quoi qu’il fasse ou ne fera pas !?

Il a déposé ses cartons à l'hôtel de Roquelaure, juste en dessous du bureau de la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher. Bien plus que les promesses d'Emmanuel Macron de relancer le nucléaire, un virage à 180 degrés amorcé en février 2022 à Belfort, la nomination de Joël Barre, neuf mois plus tard, au poste de délégué interministériel au nouveau nucléaire, a achevé de convaincre la filière : « Jusqu'à présent, on se demandait si le discours d'Emmanuel Macron n'était pas du pipeau », confie un industriel de premier plan. « Maintenant, on sait. » À l'Élysée, en lien direct avec l'hôtel de Roquelaure, une autre grande figure a été placée au plus près du président : Daniel Verwaerde, longtemps chargé des applications militaires au Commissariat à l'énergie atomique avant de devenir patron du CEA, s'est vu confier la mission d'organiser « une équipe de France du nucléaire le plus rapidement possible », précise-t-on au Château.

Un an après le discours de Belfort, l'équipe chargée de s'assurer que les six nouveaux réacteurs promis par le président, et potentiellement huit autres, est désormais en place. Et Emmanuel Macron, longtemps réservé à l'égard de l'atome dont il promettait une sortie progressive pendant son premier quinquennat, prêt à endosser son nouveau costume de « grand bâtisseur ». Adieu, Fessenheim, bonjour, Penly ! Le président rêve maintenant d'inscrire ses pas dans ceux du général de Gaulle et de couler le premier béton de la prochaine génération de réacteurs, celle qui assurera la prospérité de la France au long des prochaines décennies, avant son départ de l'Élysée, en 2027.

Être prêts dès quand les lois seront votées

Pour assurer son autonomie et son indépendance énergétique, rappellera le président ce 3 février, la France développera les énergies renouvelables, prônera la sobriété, et elle renouvellera, surtout, son parc nucléaire qui, en 2040, arrivera en fin de vie. Un chantier colossal, « probablement le chantier du siècle », admet-on à l'Élysée, alors que la filière, après des décennies de déprime et de sous-investissements, est dans un état piteux, illustré par les déboires de l'interminable chantier de Flamanville.

Lire aussi : Macron met EDF sous pression pour relancer son parc nucléaire

Alors que l'Europe traverse une crise énergétique sans précédent, tout en restant soumise à l'impératif de décarboner son économie, le calendrier presse : une nouvelle loi énergie-climat est attendue au deuxième semestre 2023, pour définir le futur mix énergétique de la France. Une nouvelle programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE) suivra, texte fondamental qui devra être prêt en juin et qui inscrira dans le marbre la nouvelle politique énergétique, alors que l'actuelle prévoit toujours la fermeture, d'ici 2035, de 14 réacteurs. Si des débats publics sont en cours pour évaluer la pertinence de ces choix et que la loi n'est pas encore votée, « on ne peut pas se permettre d'attendre pour préparer le terrain », estime la présidence de la République.

Autour d'Emmanuel Macron, ce vendredi, seront donc rassemblés tous les ministres concernés (Transition énergétique, Économie…), le délégué interministériel Joël Barre, des membres du CEA, pour discuter de l'état d'avancement des dossiers amorcés (une loi d'accélération du nucléaire est en cours d'examen au Parlement), et de ceux à venir. « Le président veut que ce conseil soit réuni autour de lui au moins une fois par an », précise son entourage… comme le prévoit la loi depuis un décret de 2008, loi qu'Emmanuel Macron n'avait jamais appliquée. L'envolée des prix de l'électricité depuis deux ans, puis la guerre en Ukraine ont renversé l'ambiance. « L'État s'est organisé pour piloter ce chantier de 60 milliards d'euros. Le président s'engage pleinement, parce que le nucléaire aura besoin d'une cabine de pilotage, et d'un chef à bord », emphase l'Élysée.

Joël Barre, ex-DGA expert des chantiers de long terme

Dans son bureau à la décoration spartiate, le nouveau « Monsieur Nucléaire », Joël Barre, décrit sa mission en termes clairs, opérationnels, précis : « La priorité des priorités, c'est que les EPR 2 sortent de terre à l'horizon fixé, sans reproduire les errements de Flamanville ». L'homme de 67 ans est carré, parle sans fioritures, et quand il y a un problème, il le dit. Polytechnicien, ingénieur de l'armement, il était jusqu'en juin dernier directeur général de l'armement (DGA). C'est-à-dire l'homme des chantiers de long terme, ceux qui exigent qu'on planifie des budgets colossaux et des moyens industriels sur trente ans. À son actif, le premier missile à charge nucléaire de la force de dissuasion aéroportée (il sera mis en service en 1986), ou le programme Hélios, premier satellite d'observation militaire européen.

« Affable », mais « exigeant », disent de lui ceux qui l'ont côtoyé, il a aussi l'habitude de tenir ses équipes la bride serrée. Depuis début décembre, une fois par semaine, les responsables du nucléaire d'EDF se déplacent dans son bureau, pour rendre compte à la fois de l'état actuel du parc, et de la mise en marche des futurs chantiers. L'ambiance est « fluide » : Joël Barre connaît bien Luc Rémond, le nouveau président d'EDF, qu'il avait recruté dans son équipe à la DGA, il y a une trentaine d'années. Comme il connaît intimement Daniel Verwaerde, son « antenne » à l'Élysée. À terme, sa délégation comptera une quinzaine de personnes, qui auront vocation à accompagner les chantiers jusqu'à ce que les centrales crachent leurs premiers électrons – à horizon 2035 ou 2040. Certains sont déjà recrutés, comme Vincent Le Biez, un ancien de l'Agence des participations de l'État, auteur d'un essai remarqué sur les liens entre sciences et philosophie politique, « X-Mines pur jus, la Rolls des grands commis de l'État », louange l'un de leurs interlocuteurs. D'autres suivront bientôt, spécialistes des process industriels, des finances ou de l'architecture administrative. « Je pense que jusqu'à présent, on a pu manquer parfois de vision d'ensemble et coordonnée », euphémise Joël Barre.

Lire aussi : « S'ils étaient au pouvoir, les opposants au nucléaire changeraient d'avis »

Une « revue de programme » à l'été 2023

La feuille de route à court terme est précise : l'équipe devra livrer, d'ici l'été 2023, une revue de programme complète du futur EPR 2. Le design du réacteur est-il bien calibré, sans « surenchère technologique » inutile ? Les technologies qu'il prévoit sont-elles suffisamment mûries, développées ? L'industrie est-elle capable de réaliser ce programme, en termes de compétences, de personnel, de matériaux, de dimensionnement des usines et des chaînes de montage ? Quels sont les projets d'EDF à l'export, à long terme ? Ces projets sont-ils compatibles avec le programme français ? Quels financements imaginer ? Les plans sont-ils compatibles avec les exigences de Bruxelles ? En parallèle, Joël Barre aura aussi la main, avec Daniel Verwaerde et une poignée de conseillers, sur les choix stratégiques concernant les petits réacteurs modulaires (SMR) promis par Emmanuel Macron, plusieurs modèles se disputant encore les budgets de recherche.

Tous ces points ne seront pas abordés ce 3 février. Mais pour Emmanuel Macron, il s'agit avant tout de prendre date, et de mettre son administration en ordre de bataille. Car « tenir l'intégralité des délais et des coûts est une priorité importante », insiste l'Élysée, chaque dépassement pouvant se chiffrer en centaines de millions, voire en milliards d'euros. Mais aussi parce que les choix qui seront tranchés l'automne prochain déclencheront une série de conséquences qui devront être mûrement pesées, et anticipées : approvisionnement en uranium, augmentation des capacités d'enrichissement, entreposage et de stockage des déchets… Les industriels, eux, se tiennent prêts. La commande de six gigantesques chaudières est attendue, chez Framatome, avant la fin de l'année.

----------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Mr MACRON « Mr je sais tout mais je ne fais rien » coure comme un chien qui tourne en rond depuis son élection en 2017 il essaie de rattraper un retard important dans nos infrastructures nucléaires vieillissantes et quand on sait le temps qu'il faut pour construire de nouvelles centrales avec les cerises sur ce gâteau faisandé cet EPR de Flamanville pas encore en service depuis + 12 ans ou la fermeture de la centrale Fessenheim ?!

Il pourra dire que ce n'est pas de sa faute car d'autres de ses prédécesseurs ont laissé le problème se dégrader dans notre parc nucléaire en tête F.HOLLANDE avec la promesse de réduire notre production nucléaire pour faire plaisir à des écolos politique illuminés empêcheurs de tourner en rond mais il a pris la suite avec ce plan fumeux de plus !?

Et d'autres problèmes sérieux comme notre système de santé défaillant qu'on disait le meilleur du monde pieu mensonge habituel car en pleine déliquescence !?

Passons sur d'autres problèmes intérieurs de nos services publics à la ramasse et les aléas de la politique internationale hyper tendue de cette guerre Russo Ukrainienne pourtant prévue par les USA qui couvait depuis 2014 que l'Europe a beaucoup de mal à gérer et qui a déclenché les crises induites dont les français souffrent économiquement comme nos voisins avec des chefs d'états bavards style notre président qui ne font rien d'efficace qui fait des chèques en blanc genre « quoi qu'il en coute »  prenant l'argent dans la caisse France vide !?

Ce mauvais bilan déjà du 1er quinquennat médiocre a été entériné par les Français qui ont réélu ce bon MACRON pas tous car notre système électoral de cette V eme république monarchique est mal fait même s'il n'a qu'une majorité relative au parlement avec sa 1ere ministre qui a des outils articles 47/1-49/3 pour faire passer ses lois ?!

Je suis âgé ayant connu tous les gouvernements depuis de GAULLE je ne comprends plus les Français devenus apathiques et dont leurs dirigeants se moquent sans vergogne !?

Jdeclef 03/02/2023 11h06

+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire