dimanche 12 février 2023

Les Français comme d’habitude n’ont pas su saisir leur chance en réélisant E.MACRON maintenant ils paient l’addition par le chaos qui se développe au parlement avec cette LFI et NUPES au parlement qui fait la satisfaction de leurs leaders et JL MELENCHON !?

 

Assemblée nationale : la fabrique des braillards des Nupes ?!

LETTRE DU PALAIS. Les députés mélenchonistes se servent de la réforme des retraites pour hystériser les débats au Palais-Bourbon. Jeu dangereux.

LA NUPES ET SURTOUT LFI JOUE AU TOUT POUR LE TOUT POUR ESSAYER DE FAIRE TOMBER LE GOUVERNEMENT EN SEMANT LE TROUBLE A L’ASSEMBLEE NATIONALE QUI DEVIENT UN CIRQUE D’ABOYEURS DE FOIRE A L’IMAGE DE MELENCHON !?

Elle envoie, la Chikirou, on l'entend d'ici ! » Dans la salle des quatre colonnes de l'Assemblée nationale, l'œil sur les écrans qui retransmettent la séance des questions au gouvernement, deux députés de la Nupes s'esclaffent de la façon dont Sophia Chikirou, porte-voix de LFI, tonne contre le gouvernement. Ils savourent le « bon coup » qu'un autre membre du groupe de gauche, le jeune député socialiste des Pyrénées-Atlantiques Iñaki Echaniz vient de jouer au ministre du Travail Olivier Dussopt en répétant au mot près, sans le lui dire sur le moment, la question que celui-ci, alors opposant socialiste, avait posée au ministre Éric Woerth contre la réforme des retraites en 2010.

À quelques mètres, Clémentine Autain, autre porte-drapeau de LFI, s'égosille devant les micros et caméras des journalistes qui l'interrogent sur la tension continue que les mélenchonistes installent au Palais-Bourbon. « La violence, elle est où ?, lance l'élue de Seine-Saint-Denis. Faire travailler deux ans de plus les Français, ça, c'est d'une extrême violence. Et tout cela, pour quoi ? Payer les grandes largesses de la macronie… » Dans l'hémicycle, son jeune collègue Louis Boyard interpelle le ministre de l'Intérieur, sur le refrain des violences policières ; harangue à laquelle Gérald Darmanin répond : « Ces ouvriers de la sécurité, pour parler comme le Parti communiste jadis, vous les insultez, c'est une honte ! » Torse bombé, Boyard, qui fait actuellement le tour des facs pour enrôler les jeunes, éructe dans l'hémicycle ce qu'il répétera à la sortie en duplex sur une grande chaîne TV d'info : « Étudiants, bloquez toutes les universités du pays ! » « Vous les avez vos quelques secondes de notoriété en plus sur les réseaux sociaux… », maugrée le ministre Darmanin, cible par ailleurs d'un tir nourri de trois députés ultramarins sur ses propos tenus lors d'un forum du Point sur l'abolition de l'esclavage…

Arnaud Benedetti : « LFI veut préempter la place de premier opposant » Cette semaine, les guérilleros mélenchonistes ont dépassé les vœux de Marine Tondelier, la nouvelle secrétaire nationale d'Europe Écologie-Les Verts (EELV), qui, lors du meeting de lancement de la campagne de la Nupes contre la réforme des retraites, proclamait que « l'Assemblée nationale allait être la ZAD ». Le patron de l'UDI, qui préside depuis 2017 le groupe centriste au Sénat, Hervé Marseille, en est même venu à parler, lui, de « camp de gitans ». La formule est on ne peut plus malheureuse, son auteur l'a d'ailleurs vite regrettée, mais témoigne d'une ambiance. Cet élu local madré s'en est ému au Point : « La France insoumise a instauré une atmosphère zadiste à l'Assemblée, c'est cela, le sujet. Ces gens se donnent tous les droits. Ils applaudissent Adrien Quatennens et huent celles et ceux qui ne sont pas d'accord avec eux. La démocratie, ce sont eux qui en fixent les règles, alors même qu'ils ne pratiquent pas l'élection, comme on l'a vu lors de la propulsion de Manuel Bompard à la tête de leur parti. » Et d'ajouter : « Si c'était Madame Le Pen qui agissait ainsi, qu'est-ce que l'on dirait ? Tout le monde pousserait des cris d'orfraie en l'accusant de putsch. »

Vulgarité, obstruction, irrespect… Triste résumé de l’attitude du groupe Nupes.Catherine Vautrin

Même indignation exprimée par une autre élue, plutôt discrète dans le débat public. Dans un tweet, la présidente du Grand Reims Catherine Vautrin, un temps pressentie à Matignon au début du second quinquennat, qui fut pendant près de neuf ans (2008-2017) vice-présidente de l'Assemblée nationale, dénonçait elle aussi ce « spectacle » parlementaire : « Vulgarité, obstruction, irrespect… Triste résumé de l'attitude du groupe Nupes. Notre démocratie est notre bien commun, il est irresponsable de la mettre en danger. » Et Catherine Vautrin d'apporter son soutien à la présidente Yaël Braun-Pivet et aux vice-présidents, dont elle « mesure la charge ».

Dangereuse dérive dans l'hémicycle

La ligne rouge est-elle franchie dans l'expression publique ? « J'ai regardé des extraits du débat parlementaire sur la réforme des retraites de 2010, il y avait là aussi des oppositions, un nombre à peu près semblable de personnes dans les rues, mais les discussions se passaient encore entre grandes personnes, observe ce conseiller d'un ministre. En moins de quinze ans, l'Assemblée nationale a basculé dans l'hystérisation. On comprend pourquoi les grands leaders de gauche comme de droite, à l'exception de Marine Le Pen, n'y siègent pas. C'est symptomatique de quelque chose. » Une dérive que déplore le député de Meurthe-et-Moselle Dominique Potier, Divers gauche affilié à la Nupes : « Tous les excès, même si les causes qui les nourrissent sont justes, coalisent une majorité hétéroclite, soutient ce parlementaire qui entame son troisième (et dernier) mandat. Plus grave, cela donne du crédit au RN, alors que, paradoxalement, il s'agit d'un sujet de gauche. Nous, socialistes, nous sommes conscients que sur le fond comme sur la forme, nous devons montrer dans l'hémicycle la dignité qui est celle du mouvement social dans la rue. C'est parce que nous sommes radicalement contre cette réforme que nous devons la combattre avec mesure. »

Dictionnaire, prix littéraires, école… La nouvelle machine de guerre mélenchoniste

Pour son collègue socialiste Jérôme Guedj, député de l'Essonne en pointe à la Nupes, on ne peut pas parler d'hystérisation. « Il y a une dramaturgie liée au fait que nous discutons de l'un des textes parmi les plus importants des trente dernières années, avance-t-il. Nous avons peu de jours pour débattre d'une réforme qui va engager les cinquante prochaines années. D'où les crispations. Cela n'a pas de sens de parler d'obstruction, puisqu'il ne s'agit pas de gagner du temps pour que le texte ne soit pas adopté : il le sera de toute façon, s'il n'est pas voté, il aura force de loi par ordonnance, par application de l'article 47-1 de la Constitution. Nos amendements sont faits pour prendre des cas concrets et sortir d'un discours de généralités, nous voulons faire entrer des “vies brisées” à l'Assemblée. C'est pourquoi nous les avons baptisés “amendements vies brisées” ».

Je ne crois pas qu’il y ait une dégradation du débat parlementaire, il est au contraire revalorisé par le moment politique que nous vivons.Franck Riester

De son côté, le ministre chargé des relations avec le Parlement, Franck Riester, joue la carte de l'apaisement (c'est son job). « Je ne crois pas qu'il y ait une dégradation du débat parlementaire, il est au contraire revalorisé par le moment politique que nous vivons, déclare-t-il au Point. Mais il y a une minorité de députés extrêmes qui ont oublié qu'ils débattent sous le regard des Français, obsédés par le buzz médiatique instantané. La majorité des députés sont sérieux dans les débats et n'ont pas de telles attitudes. » « Les Insoumis, qui passent leur temps à délégitimer les institutions et l'élection remettent en cause aussi la leur, accuse Franck Riester. Ils abîment la démocratie en croyant déstabiliser le président. » Et le ministre de dénoncer une Nupes qui « fait un pont d'or à l'extrême droite » : « Ceux qui veulent dégrader le niveau du débat politique à l'Assemblée ne jouent que pour le RN », prévient-il.

« Hystérisation de la société »

Pour l'historien Jean Garrigues, la dégradation du débat est « incontestable ». « Il y a toujours eu des chahuts parlementaires, des batailles d'amendements, raconte-t-il. On a même vu des bagarres dans l'hémicycle, à deux reprises : en 1904, au moment de l'affaire des fiches, quand un député nationaliste a giflé le ministre de la Guerre, ce qui a généré une bataille rangée ; et en 1956, quand les poujadistes, parmi lesquels Jean-Marie Le Pen, suite à l'invalidation de l'un des leurs, se sont heurtés aux communistes et socialistes. Mais il s'agissait d'événements ponctuels. Le mal en l'occurrence est plus profond : LFI poursuit une stratégie de conflictualité qui consiste à porter dans l'enceinte de l'hémicycle l'hystérisation de la société ».

Un grave dévoiement qu'un vieux routier du Palais-Bourbon comme Charles de Courson, doyen de la Chambre par la durée du mandat (il est député centriste de la Haute-Marne depuis 1993), observe avec désolation. « L'Assemblée ne donne actuellement pas une bonne image de la démocratie, s'inquiète-t-il. Tout est mis en œuvre pour que l'on n'attaque pas les problèmes de fond. LFI fait barrage afin que l'on n'aborde pas l'article 7 prévoyant de porter l'âge légal à la retraite de 62 à 64 ans. Mais le choix du gouvernement d'une loi rectificative de financement de la Sécurité sociale est un détournement complet de procédure, une manœuvre aussi pour éviter le vote. » Ce parlementaire réputé pour son expertise des finances publiques fulmine : « Aborder la réforme des retraites de façon paramétrique et technocratique allume le feu en France et à l'Assemblée nationale. Sur le fond, cette réforme est profondément injuste ; et sur la forme, nous sommes face à un déni de démocratie. » Et dans une spirale dangereuse.

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MELENCHON ce vieux tribun inutile ex ministre PS fauteur de trouble à réussit à (« bordeliser ») l'Assemblée Nationale comme a dit le leader du PC avec sa LFI et sa création cette NUPES ou (NULES) il suffit de changer une lettre dans leur nom de cette agrégat fourretout PC PS et partis marginaux d’extrême gauche écolos empêcheurs de tourner en rond professionnels élus mal élevés quelque fois violents devenus poubelles de partis devenus ringards moribonds !?

Mais si cela représente une majorité de Français lambda il y a des soucis à se faire car la France est vraiment tombée bien bas favorisant indirectement un serrage de vis supplémentaire du pouvoir en place de notre président à qui ont a donné trop de pouvoir en pouvant prendre des mesures d’exception car ces jeux du cirque au parlement devient un  problème sérieux et pas seulement pour cette reforme des retraites qui n’est qu’un alibi détonateur d’une crise intérieure constitutionnelle !?

Suivre MELENCHON dans son entreprise de démolition serait une grave erreur car ce politicien est fini et toxique et ne pense qu’à se venger de ce qu’il raté ne prenant que du plaisir qu’à semer le chaos !?

Il faudrait que les votes des députés opposés à la Macronie fassent tomber le gouvernement de Mme BORDE 1ere ministre !?

Pour arriver à une dissolution car le président indéboulonnable a été réélu par défaut jusqu’en 2027 erreur que les Français râleurs incurables n’auraient pas dû faire pour tenter un changement qu’ils réclament depuis + 30 ans !?

Jdeclef 12/02/2023 14h21

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