jeudi 23 février 2023

Comment expliquer ce geste de folie criminelle de cet adolescent de nombreuses questions sont posées sans réponses pour l’instant qui semblait quand même malade psychiquement ce qui reste à vérifier et démontrer !?

 


Enseignante tuée à Saint-Jean-de-Luz : « Une onde de choc a traversé la ville »

Après la mort de la professeure d’espagnol, poignardée par un élève, le maire de la ville, Jean-François Irigoyen, revient sur cette journée dramatique

CET ADOLESCENT ÉTAIT SUREMENT MALADE AU VUE DU PEU D’ELEMENTS CONNUS DANS L’IMMEDIAT DE CET ACTE CRIMINEL SI VIOLENT ET SOUDAIN !?


Comme on peut l'imaginer, le maire de Saint-Jean-de-Luz est encore sous le choc du drame du lycée Saint-Thomas-d'Aquin, où une professeure d'espagnol, Agnès Lassalle, a été mortellement poignardée par un élève hier, mercredi 22 février. Jean-François Irigoyen, qui a succédé en décembre 2017 à Peyuco Duhart, brutalement décédé d'un arrêt cardiaque, dont il était le premier adjoint, n'est pas genre d'homme à s'épancher. Depuis le drame, il se tient en retrait des médias. Nous avons pu lui parler quelques minutes au téléphone. Il témoigne, avec pudeur, dignité et prudence.

Le Point : Comment avez-vous pris connaissance des faits qui se sont déroulés ce mercredi 22 février au lycée Saint-Thomas-d'Aquin ?

Jean-François Irigoyen : Hier, j'ai été appelé vers 10 heures du matin. J'étais en réunion. On m'a dit qu'une professeure venait de se faire poignarder… J'ai foncé au lycée, qui est tout près de la mairie. J'ai vu les pompiers et les ambulances s'agiter pour essayer de réanimer la victime, on garde toujours espoir. On ne comprenait pas, on ne comprend toujours pas.

L'émotion est très forte à Saint-Jean-de-Luz…

C'est une onde de choc qui a traversé toute la ville. En hiver, Saint-Jean-de-Luz est une bulle isolée. C'est une ville qui a toujours été très préservée. Nous ne sommes pas frappés par les problématiques qui peuvent avoir lieu ailleurs. Ce lycée, privé, a une très grosse renommée, une grande réussite à tous les examens. C'est un lycée exemplaire. Qu'a-t-il bien pu se passer ?

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Connaissez-vous cette professeure, Agnès Lassalle ?

Non, elle habitait à Biarritz, mais elle était professeure à Saint-Thomas-d'Aquin depuis vingt-cinq ans. Et ses anciens élèves que j'ai pu croiser hier dans les rues de la ville m'ont tous témoigné de l'attachement qu'ils avaient pour elle. À les écouter, on sentait que c'était une professeure particulièrement aimée. Jamais un mot plus haut plus haut que l'autre. Elle paraissait très attentionnée vis-à-vis de ses élèves. Elle consacrait sa vie à l'éducation. Tout le monde est stupéfait. On ne pouvait pas imaginer un tel drame à Saint-Jean-de-Luz.

Sur la personnalité de l'élève agresseur, que peut-on dire à ce stade de l'enquête ?

Je ne peux rien vous dire, je ne le connaissais pas. On verra ce qu'il advient de l'enquête. C'est un cas isolé. Il faut faire très attention aux amalgames, aux récupérations. C'est un jeune qui n'était pas connu des services de police. Il se disait hier dans les couloirs du lycée qu'il était soigné pour des problèmes psychologiques. Mais prenons bien garde à faire la part des choses entre ce qui se dit et la réalité. Les gens ont tendance à trop parler. Il faut être prudent.

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Si l'on ce base sur ce que l'on sait pas grand-chose en fait par la soudaineté de cet acte criminel ce jeune était surement malade et cela ne devait pas être si inconnu que cela seule la famille pourra peut-être le dire et peut être ne l'a pas vu changer dans son comportement car d'après ce qu'il a dit de ses voix qu'il aurait entendu ce n'est peut-être pas la 1ere fois et ressemble à une schizophrénie qui se déclenche à retardement mais qui n'est pas présente tous le temps ou le malade atteint est normal habituellement !

Et à une sensation d’influence, de contrôle ou de passivité : la personne est convaincue que ses sentiments, ses impulsions, ses actions ou ses pensées viennent de l’extérieur, lui sont imposés ou retirés par autrui, ou que ses pensées sont transmises à autrui (comme entendre des voix qui lui ont dit de tuer sa professeure ?!)

La préméditation n'est que le coté justice pour qualifier les faits car s'il était malade il s'est procuré le couteau pour obéir à sa pulsion et à ses voix car d'après ces bons résultats scolaires le montrait intelligent logiquement !

C'est la famille qui est le plus à plaindre si elle n'a rien décelé chez cet adolescent car 16 ans est un âge difficile que connaissent tous parents qui suivent leurs enfants correctement et normalement j'ai deux enfants fille et garçon maintenant des adultes de 41 et 50 ans qui ont traversé cette période pas facile et çà été dur pour les deux pour nous parents !

En ce qui concerne cette pauvre enseignante il faudra savoir pourquoi il s'est focalisé sur elle seule peut être ces élèves ces collègues la direction de l'établissement pourront peut-être donner des pistes pour répondre partiellement à cet acte horrible !?

Mais surtout il ne faut pas que le corp enseignant leurs syndicats et nos autorités diverses politisent ce drame exceptionnellement gravissime ce serait déplacé pour les familles de la victime et celle de l'agresseur dont les vies sont assez marquées par ce drame !

Jdeclef 23/02/2023 15h45

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