jeudi 9 février 2023

Si les Français votaient déjà pour eux collectivement et surtout pas pour leurs partis politique ringards et leurs leaders trop connus d’une médiocrité sans nom en se méfiant aussi de ne pas élire et réélire un président inconnu sans parti (même fantôme) qui se comporte comme un monarque sans couronne à qui ils ont donné trop de pouvoir dont il profite tout comme nos politiciens de tous bords qui divisent pour régner engraissés par ce bon peuple dans cette Vème république devenue monarchique digne de l’ancien régime çà ne marcherait pas plus mal qu’aujourd’hui et même surement mieux !?

 

Comment la France devient une île ?!

ÉDITO. À propos des retraites, les Français s’arc-boutent sur l’exception hexagonale, dans le déni complet et insensé de la réalité économique.

LOGIQUE EN FAIT MME BORDE NOTRE 1ERE MINISTRE JOUE LA MONTRE ET LE PRESIDENT REGARDE LE CHRONOMETRE TOURNER EN REGARDANT LES MANIFESTANTS DEFILER TOUT COMME IL L’AVAIT FAIT POUR LES GILETS JAUNES PENDANT PLUSIEURS SEMAINES QUI SE SONT TERMINES PAR UN PETARD MOUILLE FIASCO !?

On ne sait pas exactement comment finira la tragi-comédie française sur les retraites, mais on peut déjà faire ce constat : l'Hexagone se détache du continent. Le gouvernement tiendra probablement sur l'âge légal de 64 ans, accordant autant de concessions et d'exceptions que possible, mais rien que ce chiffre suffit à nous distinguer de nos voisins d'Europe de l'Ouest, qui sont tous allés plus loin. Un exemple est particulièrement parlant : le Portugal, à la rigueur budgétaire autrefois incertaine, et où l'âge de la retraite est désormais de 66 ans et 4 mois, en application d'une réforme votée en 2007 sous un gouvernement… socialiste. Les dernières cigales, c'est nous !

L'idée de l'insularité de la France (en tout cas métropolitaine), particulièrement absurde d'un point de vue géographique, n'est néanmoins pas une idée neuve. Anatole France l'avait déjà avancée dans un roman historique parodique intitulé L'Île des pingouins, publié en 1908. L'écrivain avait conçu un scénario inverse, puisque son récit - miroir déformé de l'histoire de France - se déroule d'abord dans une île avant que celle-ci ne soit remorquée puis arrimée au continent. La « Pingouinie » (on pense aux manchots de notre dessinateur Xavier Gorce !), avait toutefois pris, par décret, le nom d'« insule ». La « seule insule de tout l'univers ».

Revendications délirantes. Cultivant sa singularité, notre « insule » française d'aujourd'hui semble tentée par le grand large. Le débat sur les retraites tourne beaucoup autour des revendications les plus délirantes, comme celles de Marine Le Pen, Jean-Luc Mélenchon ou Sandrine Rousseau, cette dernière brillant spécialement avec son « droit à la paresse ». En face, on soutient mollement une réforme plutôt modeste. Une pointe de résignation, peut-être ? Bien peu semblent avoir envie de se faire traiter d'affameurs, voire d'assassins.

« Les modérés s'opposent toujours modérément à la violence », écrivait d'ailleurs Anatole France dans L'Île des pingouins… Il est ainsi frappant de constater que les partisans de la réforme - au moins dans son principe - s'abstiennent le plus souvent de présenter des arguments pourtant évidents, comme celui de la dette publique, qui va dépasser bientôt les 3 000 milliards d'euros, et du risque de sanction des marchés.

Cette mésaventure est pourtant arrivée il y a quelques mois à l'un de nos voisins dont le caractère insulaire, lui, est plus patent : le Royaume-Uni. Le « mini-budget » présenté en septembre par la Première ministre Liz Truss, jugé grossièrement irréaliste, provoqua la chute de la livre, puis, en quelques semaines, celle de la résidente du 10 Downing Street. Nul doute que si la France n'était arrimée à la monnaie continentale, plusieurs gouvernements seraient tombés chez nous ces dernières décennies.

Houellebecquisme économique. Il est également curieux que le chiffre record du déficit commercial en 2022 - 164 milliards d'euros - ne prenne pas plus de place dans les débats, tout comme la question de la compétitivité. Ces raisonnements semblent avoir peu de poids dans un pays apparemment séduit par le houellebecquisme économique et l'hypothèse défendue il y a treize ans par l'écrivain dans La Carte et le Territoire selon laquelle la France se coulerait dans un modèle désindustrialisé, vivant essentiellement du tourisme asiatique.

Cette image bucolique d'un pays qui profite de la vie n'est pas sans charme. Elle a d'ailleurs été vantée la semaine dernière dans le Financial Times par un chroniqueur de renom, Simon Kuper, sous la forme d'un billet soulignant la formidable espérance de vie à la retraite dans notre pays et jugeant cette spécificité seulement « modestement » au-dessus de nos moyens. Sauf que, venant d'un journal qui a fustigé la démagogie de Liz Truss, on se demande dans quelle mesure cet hommage ne nous renvoie pas à un statut d'attraction pittoresque. Le modèle houellebecquien, c'est bien pour les autres…

Évidemment, les jeux ne sont pas faits. On peut toujours se dire que, en réduisant les dépenses par ailleurs - c'est, semble-t-il, l'intention de l'exécutif -, le pays ne prendra pas trop le large, en attendant une inévitable nouvelle réforme des retraites, dans quelques années. De ce point de vue, le roman français des retraites manque un peu de suspense : on sait déjà qu'il y aura une suite.

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L'article du Point montre pour qui cet hebdo dit d'information à idées orientées roule :

Le pouvoir en place avec ces modérateurs bornés qui font tourner leur logiciel de censures arbitraires moyenâgeuse s'en réfléchir car pour cela ils ne sont pas en retard inféodés à leur rédaction qui les rémunèrent car tout le monde à le droit de vivre pour remplir sa gamelle journalière comme tous Français lambda mais qui ne respecte pas toujours la liberté d'expression inscrite dans notre constitution !?

Il faudrait que ces Français lambda ou gens de peu qui se sont réveillés il y a 234 ans par leur révolution invention très française de ces frondeurs qui ont mis a bas l'ancien régime dont on n'arrive pas à se débarrasser car en plus donnant trop de pouvoir à nos présidents surtout en 1989 après Mitterrand qui avait fait croire au Père NOEL aux Français qui avalent tout pour se faire élire mettant nos départs en retraites à 60 ans une utopie dévastatrice qui nous revient en pleine face avec nos dirigeants pas que le président actuel qui a pris la suite de ces prédécesseurs se prenant pour un monarque sans couronne bienpensant donneur de leçons bavard s'écoutant parler pour ne rien dire ayant raté son 1er quinquennat et le second prend le même chemin en essayant de rattraper un retard qui se creuse chaque jour ce qu'il ne pourra faire avant 2027 et qui passera la patate chaude à son successeur dans notre pays qui marche à reculons et s'enfonce dans un trou dont on ne voit pas le fond !?

C'est la faute des Français qui votent si mal depuis 40 ans qui regardent leurs nombrils du chacun pour soi avec un relent pernicieux de démocratures qui grandissent comme dans d'autres grands pays et qui nivèleront le reste de nos libertés mal encadrées nous faisant revenir des siècles en arrière de cette V eme république obsolète devenue monarchique !?

Pauvre France pour les Français âgés qui ont vu comme moi leur pays régresser !?

Je vote depuis 60 ans le bilan de la France est déplorable !?

Jdeclef 09/02/2023 12h23

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