mercredi 22 février 2023

Si on veut vraiment aider l’Ukraine il ne faut pas faire semblant mais enfoncer le clou dans la planche pourrie POUTINE car maintenant il en va de notre sécurité occidentale Européenne !?

 

Paradoxe ukrainien : victoire sur le papier, défaite sur le terrain ?

Vladimir Poutine, qui se dit certain de gagner la guerre, va-t-il forcer sa chance avant que les Ukrainiens ne reçoivent les armes qui leur ont été promises ?

LES UKRAINIENS QUI SOUFFRENT N’ONT SUREMENT RIEN A FAIRE D’UNE VICTOIRE VIRTUELLE !?

Les promesses de livraisons d'armes à l'Ukraine s'accumulent comme les atouts dans un jeu gagnant. Depuis la décision allemande de lui fournir des chars lourds Leopard 2A6, le 25 janvier, les États-Unis et leurs alliés européens ont renchéri et annoncé tour à tour des livraisons de tanks, de systèmes de défense antiaérienne et de fusées de longue portée. La possibilité d'y adjoindre des avions de chasse est désormais discutée à Londres et à Washington.

La visite éclair du président américain Joe Biden lundi est venue couronner et souligner cette dynamique favorable à l'Ukraine. Le moment de ce voyage inattendu, la veille d'un discours du président russe Vladimir Poutine, et les nouveaux engagements pris par Joe Biden pour un soutien militaire réitéré qui durera « aussi longtemps qu'il le faudra », soulignent la part de bluff de ce jeu de poker. Car il s'agit de montrer les muscles et d'adopter une position intransigeante, comme pour faire oublier les atermoiements passés.

Le discours de Poutine a laissé beaucoup de Russes sur leur faim

Dans son discours à la nation, mardi, Vladimir Poutine n'a pas donné de signe d'apaisement ni ouvert de portes pour de futures négociations. Au contraire, il a seriné ses griefs contre ceux qui arment l'Ukraine et rejeté sur l'Alliance atlantique et les dirigeants ukrainiens toute la responsabilité du conflit. Il a assuré son peuple d'une victoire certaine en même temps qu'il l'a préparé à une escalade, voulue, selon lui, par les alliés de l'Ukraine. Celle-ci espère qu'une fois en possession des armes promises, elle sera en mesure de gagner la guerre – à condition bien sûr que Moscou ne recoure pas à son arsenal nucléaire. Sur le champ de bataille, cependant, la balance penche pour la Russie, qui engrange peu à peu des gains de territoires dans le Donbass.

De nouvelles armes offensives

Jusqu'à présent, les Occidentaux rechignaient à donner des armes offensives à l'armée ukrainienne, mais cela a radicalement changé depuis le début de l'année. Selon Vadym Omelchenko, ambassadeur d'Ukraine à Paris, 321 tanks devraient arriver prochainement en Ukraine. Parmi eux, 31 M1 Abrams des États-Unis, 14 Leopard 2 et 29 Leopard 1 d'Allemagne et 14 Challenger 2 du Royaume-Uni. En outre, une coalition de pays incluant la Pologne, le Canada, le Portugal, l'Espagne, la Norvège, le Danemark et les Pays-Bas travaillent à livrer ensemble d'autres Leopard 2. Ces chars d'assaut modernes sont conçus pour mener des offensives terrestres.

Enfin, les États-Unis ont accepté de fournir à l'Ukraine – une première – des armes balistiques de moyenne à longue portée : les « bombes de petit diamètre lancées depuis le sol » (GLSDB), fabriquées par Boeing et le groupe suédois Saab. Cette bombe guidée planante est augmentée d'un moteur-fusée et lancée à partir de systèmes lance-roquettes tels que le HIMARS américain. Sa portée de 150 kilomètres permettrait aux Ukrainiens de frapper les lignes de ravitaillement et les dépôts d'armes et de munitions bien au-delà de la ligne de front, jusqu'en Crimée par exemple.

Joe Biden en visite à Kiev : la colère des républicains pro-Trump

Les forces ukrainiennes pourraient alors surclasser en précision, en mobilité et en portée l'artillerie russe, qui montre ses limites et dont les stocks de munitions diminuent. Parallèlement, les États-Unis ont commencé à déployer un petit nombre de leurs systèmes de défense antiaérienne Patriot, qui pourraient assurer à l'Ukraine une solide protection antiaérienne, alors que sa DCA arrive déjà à stopper un grand pourcentage des missiles russes. Est-ce pour toutes ces raisons que Volodymyr Zelensky a, dans une interview réalisée dimanche pour le quotidien italien La Repubblica, parlé d'une « guerre qui sera courte » et d'une victoire prochaine ?

Pour Yuriy Sak, conseiller du ministre ukrainien de la Défense, « les Russes, malgré leurs efforts, n'ont rien réussi à obtenir de leurs buts de guerre. Dès que nous aurons tanks et missiles de longue portée, nous pourrons contre-attaquer. C'est une question de mois. Mais compte tenu des discussions quotidiennes que nous avons avec nos partenaires internationaux, nous savons que les armes seront ici en été. Notre victoire viendra dans la foulée, avant la fin de l'année. »

Sur le terrain cependant, et notamment dans l'Est, autour de Bakhmout, les difficultés s'amoncellent pour les Ukrainiens. Les munitions et les forces manquent, tandis que les militaires russes progressent lentement mais sûrement. Les deux adversaires se livrent à une course contre la montre : entre les promesses d'avenir qui sont faites à l'armée ukrainienne et les difficultés qu'elle rencontre actuellement, il y a une fenêtre que l'armée russe peut mettre à son profit pour conquérir des territoires et occasionner de lourdes pertes.

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Il n'y a pas que notre président qui procrastine et attend pour agir fermement contre Poutine qui n'est pas la Russie et son peuple asservi habitué à baisser la tête depuis des siècles et jusqu'à maintenant après leurs tzars et leurs dictateurs Staline Lénine et autres après avec l'union soviétique et la fin de la guerre froide et disparition de l'URSS  mais remplacée par la fédération de Russie et son âme damnée le président Russe actuel ex agent du KGB qui a attendu son heure pour envahir cette pauvre UKRAINE qui se défend ce qu'il n'avait pas prévu mais n'en démord pas de sa victoire dans cette guerre ou il voulait éliminer ce pays trop européen occidental !?

Mais surtout par l’erreur de ces occidentaux qui l’ont laissé faire en Tchétchénie Géorgie depuis 2014 et masser des troupes dans le Donbass ukrainien pour finir par annexer la CRIMEE tout cela sous l’œil des USA et ses satellites et leur OTAN épouvantail car loin de chez eux qui n’a pas empêché ce dictateur Russe de renouveler ces menaces de frappes nucléaires !?

Seuls les Polonais ont montré vraiment leur opposition depuis le début on peu les comprendre avec leur frontière commune à l’Ukraine car ayant souffert du joug russe encore longtemps après car depuis le début et la fin de la 2eme guerre mondiale et la fin de la guerre froide !

Alors que nos dirigeants européens bavardent et traine les pieds bien qu’ayant fait des progrès tardifs pour soutenir l’Ukraine mais pas contre POUTINE !?

Nos dirigeants qui ne nous protègent pas assez n'ont pas encore compris que c'est lui POUTINE qu'il faut éliminer de l'équation car sa guerre Russo Ukrainienne a aussi induit des crises économiques inflationnistes et énergétiques dont souffrent les européens et le monde malgré des sanctions inefficaces de l'U.E. qui ne gênent pas du tout la Russie comme l'a dit le président Russe dans son discours affirmation vérifiée par les instances occidentales !?

À croire qu'on risque ce qui peut arriver une vraie guerre mondiale !?

Jdeclef 22/02/2023 15h09

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