mardi 21 février 2023

L’image et le comble de l’hypocrisie que nous subissons continuellement de nos dirigeants si bienpensant donneurs de leçons de cette pauvre politique internationale et française qu’on distille aux français lambda pour qui ont dit tout et n’importe quoi !?

 

Iran : l’indécision d’Emmanuel Macron agace !?

Ferme dans sa dénonciation du régime, tout comme dans son soutien à l’opposition, le président se veut réaliste et refuse de trancher dans un sens ou dans l’autre !?

LE PROBLEME C’EST QUE CE N’EST PAS QUE L’IRAN QU’IL AGACE MAIS TOUT LE MONDE LES ALLIES OCCIDENTAUX DE LA France ET SURTOUT LES FRANÇAIS EUX-MEMES CAR L’INDECISION EST SON PRINCIPAL DEFAUT VOIRE MEME UNE SORTE DE MALADIE INCURABLE SEMBLE-T-IL ?!

Le contraste est saisissant. En marge, le 10 février, de la conférence de sécurité de Munich, le président de la République Emmanuel Macron rencontre à nouveau la journaliste et opposante iranienne Masih Alinejad, qu'il avait déjà reçue en novembre dernier à l'Élysée, pour la « féliciter, ainsi que tous les membres de la coalition [de l'opposition] pour s'être rassemblés et associés en soutien à la société civile » iranienne. « Je serais très heureux de vous rencontrer tous ensemble », annonce le chef de l'État, qui avait déjà été le premier dirigeant occidental à reconnaître la « révolution » des Iraniennes et des Iraniens contre la République islamique.

Pourtant, dès le lendemain, Emmanuel Macron affirme au cours de cette même conférence de Munich : « Soyons clairs, je ne crois pas une seconde à la théorie d'un changement de régime », répond-il à un chercheur au sujet de Vladimir Poutine. « Nous avons déjà défendu des changements de régime dans de nombreux pays et cela a toujours mené à des échecs. » De la même manière qu'avec la Russie, la remarque du président de la République s'applique parfaitement au régime iranien, avec lequel il n'a jamais souhaité rompre malgré la répression sanglante des manifestations antirégime (au moins 488 morts, dont 64 enfants et 39 femmes, selon l'ONG Iran Human Rights, basée à Oslo).

« Message fort »

Ainsi, en même temps qu'il apportait son soutien public aux opposantes iraniennes le 11 novembre dernier à l'Élysée, le chef de l'État, annonçait sur France Inter son intention de parler « dans les semaines à venir » avec le président ultraconservateur Ebrahim Raïssi, qu'il avait déjà rencontré deux mois plus tôt à New York, provoquant la stupeur des manifestants en Iran. « C'est un message fort de la part du président de la République que de recevoir quatre opposantes iraniennes à l'Élysée, et ce n'est pas une petite chose que de qualifier le mouvement en Iran de révolutionnaire », souligne le député français Hadrien Ghomi, affilié au parti présidentiel Renaissance. « Il faut soutenir les personnes qui se battent en Iran au péril de leur vie pour leur liberté, mais il est également nécessaire de respecter le principe de non-ingérence et de penser à nos otages sur place. »

Pourquoi l'Iran cible la France Cet élu de Seine-et-Marne de 33 ans est à l'origine d'une résolution de l'Assemblée nationale, adoptée à l'unanimité le 28 novembre 2022, réclamant d'accentuer les sanctions contre les responsables iraniens impliqués dans la répression des manifestations, ainsi que la libération des ressortissants français détenus en Iran. Le texte a contribué à l'ajout par l'Union européenne le 23 janvier dernier, de 37 personnes ou entités iraniennes sur la liste des sanctions pour violation des droits humains. « Nous allons dans le bon sens, mais il faut intensifier nos efforts pour que la liste des personnes visées par les sanctions ciblées (interdiction de voyage et gel des avoirs financiers dans l'UE) s'allonge, poursuit Hadrien Ghomi. « Je défends la position du président de la République, mais cela ne veut pas dire que l'on ne peut pas aller plus loin. »

Réalisme froid

Le réalisme froid d'Emmanuel Macron sur l'Iran n'est pas dénué de sens. Cinq mois après la mort tragique de Mahsa Amini pour un voile mal porté, le régime iranien est toujours en place. Mais si le nombre de manifestations de rue contre la République islamique a fortement diminué, la colère populaire reste extrêmement vive et le moindre prétexte est bon pour descendre à nouveau dans la rue. En témoignent les dizaines de rassemblements de protestation qui ont éclaté jeudi soir à travers le pays pour marquer le 40e jour suivant l'exécution par pendaison des manifestants Mohammad Mahdi Karami et Mohammad Hosseini, comme le veut la tradition chiite.

Ainsi, pour raviver la flamme de la révolte aux yeux des Européens, des milliers de membres de la diaspora iranienne se sont réunis lundi 20 février à Bruxelles, où siège la Commission européenne. « Le régime iranien sait par expérience que lorsque l'on fait moins de bruit sur la répression en Iran, l'Europe a pour habitude de revenir vers lui », estime Danial Ilkhanipour, député allemand SPD de Hambourg, présent ce lundi à Bruxelles afin de maintenir la pression sur les 27. « Certains pensent que nous sommes fatigués, mais nous irons jusqu'au bout. L'Europe a beaucoup fait pour les manifestants iraniens, mais il manque un pas essentiel afin de montrer qu'elle se situe définitivement du côté du peuple. »

Curieux argument juridique

Après avoir adopté pas moins de cinq salves de sanctions ciblées contre la République islamique, l'Union européenne est appelée par l'opposition iranienne à frapper le régime en plein cœur, en plaçant sur sa liste des organisations terroristes le corps des Gardiens de la révolution, l'armée idéologique de la République islamique impliquée dans la répression de la population. « Une telle décision serait cruciale sur le plan effectif car elle entraînerait le gel des avoirs des Pasdarans (Gardiens, en persan) en Europe, mais aussi d'un point de vue symbolique, car elle signerait la rupture des relations entre l'Occident et l'Iran, poursuit Danial Ilkhanipour. Cela enverrait un message très clair à Téhéran sur le fait que le régime est totalement isolé du reste du monde et créerait une nouvelle dynamique à l'intérieur du pays. » Une résolution symbolique a déjà été votée en ce sens par le Parlement européen le 19 janvier dernier. Mais le Conseil européen, seul organe habilité à prendre une telle décision, refuse pour l'heure de trancher, se réfugiant derrière un étonnant argument juridique.

Quand des experts de l'Iran sont harcelés en France… et ailleurs « C'est quelque chose qui ne peut être décidé sans un tribunal. Une décision de justice est nécessaire », s'est justifié le 23 janvier dernier Josep Borrell, haut représentant de l'UE pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité. « Vous ne pouvez pas dire : “Je te considère comme un terroriste parce que je ne t'aime pas”. Cela doit être fait lorsqu'un tribunal d'un État membre émet une déclaration juridique, une condamnation concrète. Et ensuite, nous travaillons au niveau européen […]. » L'argument juridique peine pourtant à convaincre.

« Perte de dignité »

« Contrairement à ce qu'affirme Josep Borrell, une condamnation en justice n'est pas indispensable pour intégrer les Gardiens de la révolution à la liste européenne des entités terroristes, au sens de la position commune du 27 décembre 2001, une décision qui engage des poursuites ou l'ouverture d'une enquête sur la base de preuves ou d'indices sérieux, y compris d'un État tiers, suffit à l'inscription », objecte l'avocate franco-iranienne Chirinne Ardakani, membre du collectif Iran Justice, qui travaille à récolter des preuves des exactions du régime iranien en vue de futurs procès. « Cette justification vise plutôt à masquer un manque de volonté politique commune, poursuit la juriste. Chaque pays européen poursuit sa doctrine propre en la matière, ce qui neutralise toute possibilité d'une action à moyen terme. Comme les politiques refusent de trancher le débat, la diplomatie européenne se retranche derrière un argument pseudo-technique. »

Or, parmi les pays européens réfractaires se trouverait notamment… la France. « D'un côté, le président français Emmanuel Macron affirme qu'il est du côté du peuple iranien, et, de l'autre, son pays freine des quatre fers contre la désignation des Gardiens de la révolution comme organisation terroriste car la France veut toujours négocier avec la République islamique », pointe le député allemand Danial Ilkhanipour. « Dans l'absolu, c'est une très bonne chose de vouloir dialoguer avec un pays, mais cela n'est plus possible lorsque, de l'autre côté de la table, se trouvent des gens qui torturent et violent systématiquement leurs opposants. Toutes ces pratiques sont désormais documentées et on ne pourra pas dire qu'on ne savait pas. Si Emmanuel Macron persiste ainsi, alors l'Europe perdra définitivement toute dignité. »

Pas de « rupture »

À Paris, on se défend catégoriquement de vouloir protéger les Pasdarans. « Nous sommes tout à fait conscients du rôle joué par les Gardiens de la révolution et d'importantes sanctions ont déjà été prises, y compris contre leurs leaders, assure une source diplomatique. La ministre Catherine Colonna a clairement fait savoir au conseil des Affaires étrangères de l'Union européenne que nous étions favorables aux sanctions contre les Gardiens de la révolution au titre de leurs violations des droits de l'homme, mais il faut, pour ce faire, obtenir un consensus européen sur la question. »

« Otage française en Iran, ma sœur est coupée du monde » Dans les faits, la France estime en réalité que le classement des Pasdarans sur la liste noire européenne constituerait bel et bien une « rupture » avec la République islamique et ne semble pas prête à franchir le pas à ce stade, alors que la révolte semble faiblir en Iran, et que d'autres dossiers plus urgents et explosifs restent en suspens avec l'Iran. C'est le cas de la crise du nucléaire iranien – en l'absence de négociations pour revenir à l'accord de 2015, l'Iran s'approche chaque jour davantage des capacités à obtenir l'arme atomique –, mais aussi du sort des sept otages français (Fariba Adelkhah, Benjamin Brière, Cécile Kohler, Jacques Paris, Louis Arnaud, Bernard Phelan et un anonyme) toujours aux mains de la République islamique.

Bombe atomique

« Je ne vois pas en quoi se couper de tout contact [avec le régime] fera avancer le dossier des otages d'État, l'issue de la prolifération nucléaire et la question de la désescalade des tensions dans la région, avoue un autre diplomate. Nous réagissons fermement, tant à titre national qu'européen, face à la brutalité de la répression en Iran, tout en exprimant clairement notre solidarité avec les demandes de respect des libertés fondamentales formulées par les Iraniennes et les Iraniens. Cela n'empêche pas, précise la source, qu'il y ait une crise nucléaire et qu'il n'est dans l'intérêt de personne qu'un risque de prolifération émane de l'Iran, ce qui serait un grand danger et que l'on veut empêcher. »

Cette hiérarchisation des crises de la part de l'Élysée et du Quai d'Orsay a le don d'exaspérer certains élus en France. À l'origine d'une proposition de résolution européenne présentée au Sénat le 4 janvier dernier, la sénatrice Nathalie Goulet demandait notamment au gouvernement et à l'Union européenne de placer les Gardiens de la révolution sur la liste des organisations terroristes de l'UE et de mettre fin aux négociations sur le nucléaire iranien. Elle a pourtant rapidement déchanté. « Le projet de résolution final, qui a été voté à l'unanimité avant d'être envoyé au Conseil de l'Union européenne, a été largement amendé, affirme l'élue de l'Orne. C'est un petit pas, mais bien faible par rapport aux enjeux de la révolution iranienne. » Ont été notamment ajoutés à la proposition finale de placer les Pasdarans sur la liste noire européenne les mots « le moment venu », « avec ses partenaires du Conseil de l'Union européenne », et « sur la base de décisions de justice ».

« Le discours ferme du président de la République sur l'Iran n'est malheureusement pas suivi d'actes concrets », poursuit la sénatrice, pour qui la France fait preuve de « schizophrénie » sur l'Iran, voire de « naïveté ». « Les sanctions ciblées contre les Gardiens de la révolution n'ont pas d'effets contre des gens qui passent leur temps à les détourner, juge Nathalie Goulet. Quant à l'accord sur le nucléaire, négocier avec un régime qui triche et enrichit de l'uranium à des degrés si élevés nous place dans la situation du Premier ministre anglais Arthur Neville Chamberlain signant avec Hitler les accords de Munich en 1938. » Scruté de très près à Téhéran, le « en même temps » d'Emmanuel Macron sur l'Iran est interprété, au mieux, comme un signe d'inconsistance en provenance de l'Élysée, au pire, comme un aveu de faiblesse de la part du président français.

----------------------------------------------------------------------------------------------------------------

MACRON et sa procrastination maladive devient dangereuse pour nous peuple FRANCAIS lambda qui lui avons donné trop de pouvoir qu'il ne sait pas utiliser car étant un chef d'état pleutre qui ne mérite même pas ce titre à deux reprises à qui on a fait confiance 2 fois et jusqu'en 2017 !?

On l'a vu déjà avec ce dictateur Russe qui se fiche ouvertement de lui et maintenant avec l'IRAN des ayatollahs !?

Et depuis lui et avant avec ces prédécesseurs la France décline déraille ne prévoit rien marche à reculons avec ces quinquennats et présidents que nous réélisons car vieux briscards connus d'une politique française de cette Veme République usée !?

Nous aussi français lambda de tous bords qui votons ou ne votent plus car écœurés comme moi vieux idiot ou qui n'y croient plus ont déjà la tête sur le billot ou de la guillotine si française qu'on utilise plus heureusement attendant que la lame tranchante tombe !?

Car d'ici 2017 il continuera à débiter ses inepties qui deviennent dangereuses pour notre propre sécurité quotidienne !?

En fait Mr notre président aurait été peut-être été mieux à sa place dans la religion catholique chrétienne à prêcher la bonne parole (qu'on dit quelque fois en boutade pas catholique car hypocrite dégoulinante de bienpensante pour se donner bonne conscience car elle aussi pas sans tache indélébile !)

Le malheur voulant que les hommes soient bons publics depuis des siècles et là les Français ne sont pas les derniers et se font avoir par d'autres hommes plus intelligents qu'eux en les avilissant ou les asservissant leur faisant croire aussi à des chimères mystiques d'âges moyenâgeux mais se servant de leurs intelligences supérieures pour faire le mal !?

Mais faire comprendre cela au commun des mortels Français lambda « messieurs tout le monde » car ne souffrant pas encore assez et si en plus c'est loin de chez eux c'est mission impossible car l'habitude est prise depuis la fin de nos conflits mondiaux un bonheur pour nos dirigeants de tous bords!?

JDECLEF 21/02/2023 13H21

++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire