dimanche 23 septembre 2018

En Corse étant donné que certains iliens règlent leurs comptes en tirant à tout va ce n’est pas nouveau ?!


Corse : Guy Orsoni devant le juge

Victime d'une tentative d'assassinat, Guy Orsoni a été placé en détention. Il est soupçonné d'avoir détenu un pistolet au moment des faits.

Une semaine après les faits, l'affaire rebondit de façon inattendue. Vendredi 21 septembre, Guy Orsoni, victime d'une tentative d'assassinat perpétrée le 13 septembre à Ajaccio (Corse-du-Sud), a été placé en détention dans le cadre de l'instruction menée par la juridiction interrégionale spécialisée (Jirs) de Marseille. En charge de ce dossier en lien avec le crime organisé, la juridiction tente d'éclaircir toutes les circonstances dans le cadre de la tentative d'homicide qui a visé le fils de l'ex-leader nationaliste Alain Orsoni.
Deux personnes ont été entendues par les enquêteurs dans le cadre d'une information judiciaire ouverte le 19 septembre concernant des infractions « qui ne relèvent pas directement de la tentative d'assassinat », assure une source proche du dossier. Guy Orsoni est soupçonné d'avoir détenu un pistolet au moment des faits, qu'il aurait dissimulé en le remettant à un avocat bien connu du barreau ajaccien, après la fusillade survenue le 13 septembre à Ajaccio. Au terme de son audition par les enquêteurs, un mandat d'amener a été délivré à l'encontre de Guy Orsoni, qui devra s'expliquer lundi devant les magistrats de la Jirs, à Marseille, pour un débat en vue d'une mise en examen.
Dans l'attente de son transfèrement dans la cité phocéenne, qui devrait intervenir ce dimanche, le fils de l'ex-leader nationaliste a été placé en détention à la maison d'arrêt d'Ajaccio. D'après son avocat, Me Camille Romani, contacté par Le Point, Guy Orsoni nie les faits qui lui sont reprochés au sujet d'une infraction à la législation sur les armes. « Plutôt que d'investiguer dans l'affaire centrale de la tentative d'assassinat qui l'a visé, l'institution judiciaire focalise sur un non-événement, appuie Me Camille Romani. Dans ce dossier, c'est désormais la victime, encore convalescente, qui risque d'être écrouée, ce qui serait une première dans les annales judiciaires. D'autant que l'arme dont il est question n'a jamais été retrouvée et qu'il n'y a pas eu de riposte au moment des faits. »

Un « pilier » du milieu ajaccien

Dans le même versant de ce dossier à plusieurs tiroirs, l'avocat ajaccien conseil de Guy Orsoni par le passé a été placé en garde à vue puis remis en liberté jeudi soir aux environs de 21 heures au terme de son audition. D'après nos informations, si des perquisitions ont été menées à son cabinet et à son domicile, aucune charge n'a été retenue contre lui à ce stade. Il était suspecté d'avoir récupéré l'arme dissimulée par Orsoni. Entendue pour une « modification de la scène de crime », la robe noire, qui avait répondu à une convocation des enquêteurs, « conteste les faits dans leur intégralité, indique son avocat, Me Antoine Vinier-Orsetti. À aucun moment mon confrère n'a dissimulé une arme. S'il était sur place, c'est parce qu'il se rendait à son cabinet, situé dans la rue où le véhicule de Guy Orsoni a terminé sa course, non loin du palais de justice. C'est d'ailleurs lui qui a appelé les secours. Je ne peux que déplorer que l'énergie de la justice se concentre sur ces inventions, et non pas sur les faits principaux de ce dossier. »
Le 13 septembre, Guy Orsoni, présenté comme un pilier du milieu ajaccien, avait été blessé par balle à l'avant-bras gauche, devant une boulangerie du quartier des jardins de l'Empereur, à Ajaccio, ciblé par un commando de deux tueurs à bord d'une moto de type BMW 1200 GS. Un modèle, tristement connu pour servir aux opérations du crime organisé, qui a poursuivi la victime sur près d'un kilomètre dans les rues d'Ajaccio. Le trentenaire doit sa vie à son véhicule, un 4 x 4 Mercedes classe G noir blindé, qui avait essuyé, selon les enquêteurs, les tirs d'environ 50 balles de calibre 7,62, dont les étuis ont été retrouvés sur place par la police scientifique.
Si Xavier Tarabeux, le procureur de la République de Marseille, saisi du dossier, n'a pu être joint samedi, selon une source proche de l'enquête, les policiers recherchent toujours activement la moto sur laquelle circulait le binôme casqué et ganté qui a fait feu sur Guy Orsoni. Cet autre volet, plus dense, de la tentative d'assassinat de Guy Orsoni, est toujours entre les mains du parquet de Marseille. D'après les informations du Point, il n'a pas fait l'objet, pour l'heure, d'une ouverture d'information judiciaire.
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Notamment certains pseudos indépendantistes bien connus ou se faisant appeler comme tel, cet attentat criminel semble ressembler à un règlement de compte ?!

Il a eu de la chance car d’habitude dans ce genre d’agression criminelle, les auteurs ne ratent pas leurs coups, (mais il était en voiture blindée, car surement craignant pour sa vie et n’ayant pas la conscience tranquille !)

Car la victime n’a pas eu le temps de se défendre avec une arme qu’il avait sur lui pourtant et n’a rien trouvé mieux que de la remettre à son avocat !

(Il est comme un certain BENALLA qui disait lui aussi porter une arme pour se protéger lol) ?!

Cela pourrait prêter à rire, sauf que ces individus sont dangereux et qu’une certaine voyoucratie fait partie de cette belle ile sous le soleil de 330000 habitants comme sa consœur Marseille dans la France continentale en face !

Et son avocat qui pérore en disant que c’est un non événement de se faire mitrailler en pleine rue à l’arme automatique de guerre et de posséder une arme pour faire le coup de feu, c’est tellement normal en Corse ?!

Jdeclef 23/09/2018 09h19 LP

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