mercredi 12 septembre 2018

Ce que l'on constate dans notre FRANCE des palabres sans fin c'est que l'on coupe les cheveux en quatre et que l'on perd du temps précieux à des problèmes plus utile!




Les palinodies de Monsieur Benalla


En refusant de se rendre devant la commission d'enquête du Sénat, avant de changer d'avis, l'ancien garde du corps a rajouté de la contradiction à la contradiction.

Le feuilleton de l'été risque de se poursuivre à l'automne. Alors qu'elle reprend ses travaux sur l'affaire Benalla, la commission des Lois du Sénat, dotée pour six mois, depuis le 23 juillet 2018, des pouvoirs de commission d'enquête, a frappé fort. Ce ne sont pas les trois auditions prévues ce mercredi 12 septembre qui défraient la chronique. Certes, les sénateurs auront des questions intéressantes à poser au chef de cabinet du président de la République, François-Xavier Lauch, au général Éric Bio-Farina, commandant militaire du palais de l'Élysée, et au commissaire Maxence Creusat, mis en examen pour avoir transmis la vidéo des événements du 1er mai à Alexandre Benalla.
Mais la nouvelle polémique dont se serait bien passé l'Élysée, c'est Alexandre Benalla lui-même qui l'a installée, bien aidé il est vrai par la garde des Sceaux Nicole Belloubet. Il commence par annoncer qu'il ne déférera pas à la convocation de la commission. Motif invoqué : l'enquête judiciaire en cours. Or, s'il ne peut témoigner sous serment sur des faits pour lesquels il est mis en examen, rien n'empêche les sénateurs de l'interroger à leur guise sur les nombreuses contradictions qui émaillent ses déclarations : était-il un simple organisateur des déplacements présidentiels ? Pourquoi, dans ce cas, disposait-il d'une arme ? Et quelle légitimité avait-il pour réorganiser les services de sécurité de l'Élysée ?

Gaffes en série

Pour ne rien arranger, Nicole Belloubet soutient cette position intenable : « Il ne peut pas y avoir d'interférences entre la commission d'enquête et l'information judiciaire, dit-elle en marge du séminaire des députés LREM à Tours. C'est la raison pour laquelle Alexandre Benalla n'a pas encore répondu à la commission d'enquête du Sénat. » Le problème, que cette fine juriste, ancienne membre du Conseil constitutionnel, ne peut ignorer, c'est qu'une commission d'enquête parlementaire dispose d'un droit de citation auquel il est impossible de se soustraire. Celle-ci peut même recourir à la force publique pour convaincre les récalcitrants, qui s'exposent par ailleurs à de la prison ferme assortie d'une amende. On imagine l'ex-ange gardien du chef de l'État arriver au Palais du Luxembourg encadré par deux gendarmes !

Mais dans la soirée de mardi, Alexandre Benalla semble revenir à la raison. Il annonce qu'il se rendra, « contraint », devant les élus de la haute Assemblée. Mais attention, pas question pour lui de répondre à des questions ayant trait à la défense nationale. Et une contradiction de plus ! Comment, en effet, une personne chargée d'organiser des déplacements pourrait-elle détenir des secrets d'État ? On ne peut s'empêcher de se demander comment un homme hier si proche du pouvoir suprême peut être aujourd'hui aussi mal conseillé !
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Ce (Mr) BENALLA n'est qu'un gros bras à petite cervelle employé à tort comme gorille par le choix du président qui lui a admis son erreur !

A part cela on ne peut sanctionner le président (intouchable) qui s'est comporté comme un monarque sans couronne absolu de l'ancien régime, d’un mauvais choix inutile !

Quant à ce BENALLA (sorti de nulle part) inconnu avant cet incident regrettable et qu’il soit jugé, condamné s’il y a lieu et disparaisse définitivement des services de l’état dans l’anonymat !

Il est évident que cet individu avait trop de pouvoir dans la soi-disant mission qu’il devait faire et qui lui ont monté à la tête il faut donc le remettre à sa place car amplifié inconsidérément semble-t-il par des responsables de l’Elysée peut être pour plaire au président !

C’est une erreur du président et des services de l’ELYSEE donc de la présidence, soit une erreur importante pour ne pas dire plus, car cela a troublé la marche de notre pays et du gouvernement et çà ce n’est pas pardonnable !

Et cela continue indirectement par ses commissions d’enquêtes qui perdure alors qu’il y a des sujets plus importants à traiter plutôt que cette affaire lamentable pas à l’honneur de l’auteur des faits, mais aussi du président et des ses services à l’Elysée !

jdeclef 10/09/2018 10h54

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