samedi 29 septembre 2018

Cas typique de violence ou certains veulent régler leur compte en tuant la personne avec laquelle ils étaient en désaccord ?!


Rodez : un homme avoue le meurtre du chef de la police municipale (suite)

Pascal Filoé, directeur général adjoint de la ville de Rodez, avait été agressé jeudi matin à coups de couteau. Il a succombé à ses blessures


Le meurtrier présumé du directeur général adjoint de la mairie de Rodez, poignardé jeudi en plein centre-ville, a reconnu avoir tué Pascal Filoé par « rancœur après la disparition de son chien », a déclaré vendredi le parquet à l'Agence France-Presse. « Le suspect a porté plusieurs coups avec un couteau qu'il s'était procuré quelques jours auparavant », a affirmé Cherif Chabbi, vice-procureur du parquet de Rodez. Par ailleurs, le suspect « a confirmé que c'était le retrait de son chien, la semaine précédente par la police municipale, qui aurait motivé son acte » a-t-il ajouté.
Jeudi, Pascal Filoé, « père de trois enfants » âgé d'une quarantaine d'années et directeur général adjoint de la ville de Rodez, en charge notamment de la police municipale, avait été poignardé en plein centre-ville, vers 10 h 30. L'agresseur présumé avait été interpellé peu après les faits à proximité de l'hôtel de ville. Cet homme de 39 ans, présenté comme marginal, avait menacé à plusieurs reprises des responsables de la municipalité après un différend relatif à son chien, un chien d'attaque de catégorie 2, qui nécessite une autorisation.

Rancœur

« Comme il avait des antécédents (judiciaires), on ne pouvait pas lui délivrer une autorisation pour avoir cette catégorie de chien », a indiqué à l'Agence France-Presse Christian Teyssèdre, maire de Rodez. En avril, « il était venu casser la porte en verre de l'entrée de l'hôtel de ville. Et, depuis, il n'a cessé de nous menacer physiquement. Les menaces étaient régulières », a précisé le maire, qualifiant le suspect de « quelqu'un de particulier ». Dans ses aveux, le suspect « rendait Pascal Filoé responsable », a confirmé vendredi le vice-procureur Cherif Chabbi à l'Agence France-Presse, qui parle de « rancœur après la disparition de son chien ».
L'autopsie en cours à l'institut médico-légal de Montpellier déterminera combien de coups de couteau ont été portés à la victime qui a été frappée « aux bras, à l'abdomen et au bas-ventre », a-t-il ajouté. Le suspect « devrait être déféré au parquet de Montpellier » samedi et une « information judiciaire pour assassinat devrait être ouverte et confiée au pôle de l'instruction de Montpellier », selon le vice-procureur.
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Ceci étant ce meurtrier était déjà dangereux par la possession d'un chien d'attaque qui lui avait été retiré, mais aussi il avait des incidents judiciaires ..?!

C'est cet individu (dit marginal) qu'il fallait enfermer après les menaces qu'il avait proféré envers la municipalité !

Car le maire est un officier d'état civil et officier de police judiciaire, il pouvait porter plainte et avoir recours à la force publique et demander son arrestation pour protéger ses policiers municipaux pour l’empêcher de nuire !

Encore un exemple de trop de liberté mal encadrée pour certains personnages instables, irascibles, voire dangereux !

Sans oublier cette violence quotidienne par des individus de tout âge dans la rue par n'importe qui pour n'importe quoi qui se termine par des drames à l'aide d'armes diverses !

Jdeclef 29/09/2018 09h09LP

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