Rassemblement
Traoré : la majorité demande des sanctions contre les députés
présents !?
Les
trois présidents des groupes de la majorité réclament des sanctions contre les
députés présents à la manifestation interdite en mémoire d’Adama Traoré.
« PLUS BETE QUE LES FRANCAIS QUE CA TU MEURS »
(et j’en fait partie depuis ma naissance en étant âgé et en fin de vie et
multiples générations donc j’ai honte !?
les trois groupes de la majorité présidentielle à l'Assemblée nationale ont
appelé mardi la présidente de l'institution à
sanctionner les députés de gauche ayant participé au rassemblement interdit en
mémoire d'Adama Traoré. Environ 2 000 personnes, dont une dizaine de
députés LFI et EELV, ont marché samedi à Paris en mémoire d'Adama Traoré, mort
il y a sept ans peu après son interpellation par des gendarmes. Le
rassemblement avait été interdit par la préfecture de police, qui a invoqué des
craintes de troubles à l'ordre public après les récentes violences urbaines.
« L'article 70 alinéa 2 de notre règlement dispose pourtant
que tout membre de l'Assemblée se livrant à des manifestations troublant
l'ordre peut faire l'objet de peines disciplinaires », ont écrit mardi les
trois présidents des groupes du camp présidentiel – Aurore Bergé (Renaissance),
Jean-Paul Mattei (MoDem) et Laurent Marcangeli (Horizons) – dans une lettre
adressée à la présidente Renaissance de l'Assemblée Yaël Braun-Pivet.
« Vous étouffez la démocratie »
« Plus grave, ces députés portaient à cette occasion leur écharpe tricolore
et maintenaient leur présence à une manifestation au slogan de “tout le monde
déteste la police” », poursuivent les trois responsables de groupes, en
citant nommément des députés, à l'instar de la présidente du groupe LFI,
Mathilde Panot, du président LFI de la commission des Finances, Éric Coquerel,
ou encore de l'écologiste Sandrine Rousseau. Ils demandent une saisine du
Bureau de l'institution pour décider d'éventuelles sanctions.
Marche pour Adama Traoré : des Verts pas très clairs
« La course à la sanction de députés de l'opposition est
extrêmement préoccupante. Aucune règle dans notre règlement prévoit de
sanctionner la participation à une manifestation. Ce tournant illibéral doit
s'arrêter », a dénoncé sur Twitter le député socialiste Arthur Delaporte.
« À force d'interdire tout ce qui vous dérange, vous étouffez la
démocratie », a abondé l'écologiste Sophie Taillé-Polian, également sur
Twitter. « On attend toujours leur demande de sanctions pour les sénateurs
LR Retailleau et Eustache-Brinio qui parlent de “régression ethnique” et de
“Français pas vraiment Français” », et « pour le député RN Tanguy qui
parle de “nationalité faciale”. Mais non, eux c'est l'arc républicain », a
fustigé la députée LFI Sarah Legrain, sur Twitter.
En novembre dernier, trente-six députés de la majorité (Renaissance et
MoDem) avaient déjà appelé en vain à des « sanctions » de l'Assemblée
nationale contre les députés participant à des manifestations interdites, en
visant notamment des écologistes ayant participé à un rassemblement à
Sainte-Soline contre un projet de retenue d'eau.
LE POINT cet hebdomadaire
inféodé au pouvoir en place qui ne peut que relater des faits pitoyables sur
des manifestants faisant fi d'interdiction de manifester gouvernemental ne relate que des faits
inintéressants qui montre le peu de valeur des politiques macroniennes ou tout
le monde veut faire ses lois dans un pays qui va à vau l'eau et souligne encore
les incidents et manifestations d'émeutes violentes coutant des centaines de
millions d'euros de dégâts de bâtiments publics ou commerces appartenant à des
Français car fait pour eux et qui sont censés en profiter mais subissant la
double peine car se transformant indirectement en impôts supplémentaires ce qui
laisse à penser que ces Français lambda qui ont élus et réélu leurs dirigeants
pourtant mal protégés et mal gouvernés ne souffrent pas encore trop ni assez de
la situation de la France actuelle !?
Jdeclef 11/07/2023 14h54
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