Émeutes après la mort de Nahel : le jeu dangereux des
Insoumis ?!
Plusieurs
élus LFI ont refusé d’appeler au calme après les premières nuits d’émeutes, ce
qui a déclenché les critiques de leurs partenaires de la Nupes.
IL N’Y
PAS QUE LES RESEAUX SOCIAUX POUBELLES QUI SONT DANGEREUX LES PARTIS POLITIQUES
LFI NUPES MELENCHONISTES LE SONT AUSSI ?!
la Nupes vacillait depuis quelques semaines. Certains de ses membres en
appelaient à une nouvelle étape, conscients que la mainmise de LFI sur cet
attelage né dans l'urgence après la présidentielle ne pouvait durer. Depuis la
mort de Nahel, mardi, une autre étape a été franchie, mais pas celle souhaitée.
Les déclarations des élus Insoumis, en particulier celles de Jean-Luc
Mélenchon, provoquent l'incompréhension dans les rangs de la Nupes. « Je
ne comprends pas », confie un ténor du PS, pourtant partisan convaincu de
la Nupes.
Jean-Luc Mélenchon, comme souvent, a donné le ton. Dès mercredi, le leader
des Insoumis fixe la ligne : il en appelle à la justice plutôt qu'au
calme, comme si l'un et l'autre étaient incompatibles, comme si la première
était plus urgente que le second. « Les chiens de garde nous ordonnent
d'appeler au calme. Nous appelons à la justice », tweete-t-il. David
Guiraud, député LFI du Nord, lui emboîte le pas, et va plus loin :
« Ce sont les policiers qui doivent se calmer […] Moi, je n'appelle pas au
calme, j'appelle à la justice. »
Vendredi, Jean-Luc Mélenchon freine très
légèrement. Il demande aux « plus jeunes » (pourquoi seulement
eux ?) d'épargner écoles, gymnases et bibliothèques, ce qui semble être un
blanc-seing pour les autres bâtiments privés ou publics, comme les
commissariats de police. « Il a rectifié parce que ses amis ont dû lui
demander de le faire. Mais les autres [bâtiments, NDLR], on s'en
fout ? » se fâche un des principaux leaders de la gauche.
Émeutes après la mort de Nahel : veut-on vraiment la
guerre civile ? Alma Dufour, députée de
Seine-Maritime, va encore plus loin, assurant qu'en la matière « la fin
justifie les moyens ». Autrement dit, la violence est fructueuse ; il
faut donc l'encourager. Une position partagée par Isabelle d'Artagnan.
L'historienne, responsable de l'institut de formation La Boétie, lié à LFI,
rappelle que « la République a été fondée par des émeutiers détruisant des
bâtiments publics ». Elle fait référence à 1789, comme si la République
de 2023 était comparable à une monarchie de droit divin.
À gauche, quelques voix discordantes se sont élevées. François Ruffin a
comme souvent fait entendre un point de vue légèrement différent. « Pour
les policiers comme pour les citoyens, enquête et justice », a déclaré le
député de la Somme. Une position plus équilibrée que les diatribes univoques de
la plupart des élus Insoumis – dès la mort de Nahel, le député Thomas Portes
condamnait sans aucune nuance le policier responsable du tir mortel –, qui a
valu à Ruffin des critiques de son propre camp. Antoine Léaument, par exemple,
a dénoncé des propos « mi-chèvre mi-chou ».
On a un désaccord profond avec ceux qui
n’appellent pas au calmeBoris Vallaud, président du
groupe PS
Les alliés de LFI au sein de la Nupes ont, de façon souvent plus tranchée,
critiqué les propos des Insoumis. Fabien Roussel, comme souvent, n'y est pas
allé par quatre chemins. Le leader communiste a directement visé Mélenchon,
avec lequel les rapports sont tendus. « Condamnation absolue des violences
qui ont lieu cette nuit. Quand on est de gauche, on défend les services
publics, pas leur pillage », a tweeté le député PCF. « C'est un
rappel à l'ordre », confie au Point Fabien Roussel.
Olivier Faure a, de son côté, condamné sans équivoque la violence. « À
aucun moment, la violence ne peut, ne fera et ne remplacera la justice »,
a écrit le Premier secrétaire du PS. Une position explicitée par Boris Vallaud,
le patron des députés socialistes. « Je considère qu'on peut à la fois
comprendre l'émotion et la colère créées par cet événement gravissime, et
appeler à la justice et au calme. On a un désaccord profond avec ceux qui
n'appellent pas au calme », dit au Point le député PS des Landes.
Émeutes en banlieue : Borloo ou la revanche du
« mâle blanc » La plupart des responsables
politiques de la Nupes évitent pour l'heure de critiquer trop ouvertement
Jean-Luc Mélenchon et les élus Insoumis. L'heure n'est pas au règlement de
comptes. La politique reprendra le dessus lorsque les émeutes cesseront. La
Nupes pourrait alors vaciller un peu plus.
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Rien que ce parti dit d'extrême
gauche LFI dont le nom « insoumis » représente ce qu'ils sont des trublions
devenant incontrôlables avec un leader MELENCHON qui se dit anti extrême gauche
bien que là pour attiser indirectement les exactions ou manifestations diverses
quelque soit violentes en changeant l’intensité de ses propos car là les évènements
ont dépassés les bornes du supportable le comble d’un vieux politicien ex PS de
cette gauche moribonde aboyeur de foire inutile et mal élevé comme ces jeunes
adolescents devenus casseurs ou vandales et voleurs qui ont voulu profiter du « chacun
pour soi » défaut de notre société
française de citoyens lambda qui n’arrive plus à canaliser cette jeunesse dont
ils sont responsables et qui devrait prendre sa retraite car ne vivant que pour
semer le trouble dans notre pays qui n’a pas besoin cela dont il prend plaisir
par distraction perverse qui ne sert à rien !?
Qu’il ne se plaigne pas car
si nous étions dans un pays totalitaire ou démocrature comme on en voit dans d’autres
grands pays (comme la Russie Poutinienne par exemple il serait déjà en prison ?!)
On n’en est pas loin si cela
devenait plus grave et s’aggravait car là on l’aurait cet état d’urgence que
beaucoup de bienpensant hypocrite réclament voir pire dans un état devenant
policier !?
(Heureusement les congés d’été
et la belle saison vont peut-être éviter cela dans les semaines à venir car
compter sur notre président bavard pour calmer ce jeu pervers il ne faut pas y
compter car il ne sait pas gouverner ni protéger le pays !?)
Jdeclef 02/07/2023 13h23LP
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On a trop tendance à croire
que les policiers sont là pour cela pour nous protéger mais en ne gênant pas
trop nos libertés mal encadrées et que beaucoup détestent car gênant quand même
les trafics et violences diverses voire criminelles de la voyoucratie bien
présente ?!
Nîmes :
un policier de la BAC sauvé par son gilet pare-balles ?!
Une
balle a été tirée, pendant les violences urbaines à Nîmes, sur un policier de la
brigade anticriminalité (BAC). Il est sauvé par son gilet pare-balles.
DE TOUTE FACON CASSER DU FLIC EST UN SPORT NATIONAL POUR CERTAINS ALORS
IL FAUT BIEN QU’ILS SOIENT AU MINIMUM PROTEGES CONTRE DES TUEURS ?!
IL a ressenti une vive douleur, comme s'il avait un caillou au niveau des
côtes », raconte Rémy Alonso, secrétaire départemental du syndicat de
policiers Alliance dans le Gard. Dans la nuit du vendredi 30 juin au
samedi 1er juillet, un policier de la brigade anticriminalité
(BAC) de Nîmes essuie, sans le savoir, un tir à balle réelle. Le fonctionnaire
intervient dans le quartier prioritaire de Pissevin-Valdegour, à Nîmes, à
proximité du bâtiment de la direction départementale des territoires et de la
mer, dont des émeutiers ont incendié et détruit le rez-de-chaussée. « Il a
déposé son gilet pare-balles au service et il est rentré chez lui, poursuit le
syndicaliste. C'est en revenant au service qu'il s'est rendu compte qu'il y
avait un trou dans la housse du gilet, et une ogive à l'intérieur. C'est un tir
qui aurait pu être mortel. »
Émeutes après la mort de Nahel : le jeu
dangereux des Insoumis
Le policier écope au final, grâce au gilet, d'un simple bleu. La procureure
de la République de Nîmes, Cécile Gensac, a ouvert une enquête en flagrance
pour « tentative d'assassinat sur personne dépositaire de l'autorité
publique ». Cette enquête a été confiée à la police judiciaire de
Montpellier et à son antenne de Nîmes. Elle confirme que « le port du
gilet pare-balles a permis d'éviter que le policier victime ne soit grièvement
blessé par le projectile l'ayant atteint ». Et ajoute qu'une
« radiographie a permis de confirmer la présence d'une munition dans le
gilet pare-balles « . Elle ne précise pas le calibre de cette munition,
qui pourrait être une balle de 9 millimètres, un calibre » qui peut
rentrer et faire du chemin à l'intérieur », souligne Rémy Alonso.
« Le tir devait être à plus de 20 mètres », estime Rudy
Manna, porte-parole national du syndicat. Les images des caméras de
vidéosurveillance montreraient, pendant ces violences, des individus armés d'un
fusil de chasse et d'une arme de poing. Selon le syndicaliste gardois, « c'est
la première fois qu'un policier est touché par un tir à balle réelle à
Nîmes ».
Tirs de mortiers et voitures incendiées
Lors de cette
nuit de violences, la 4e en France, et la plus forte dans la
préfecture du Gard, 11 véhicules et plusieurs commerces, dont un
opticien, un bureau de tabac et une agence bancaire ont été incendiés dans le
même quartier. Trois policiers ont été légèrement blessés. Dans la même nuit,
la brigade de gendarmerie de Quissac, commune rurale de 3 300 habitants
située à 30 kilomètres de Nîmes, et le commissariat d'Alès ont été attaqués
par des tirs de mortier, qui n'ont pas fait de victimes. Dans la nuit de samedi
à dimanche, les violences ont baissé d'un cran dans le département, avec tout
de même 19 véhicules incendiés…
Rudy Manna, porte-parole national d'Alliance, estime que les violences
contre les forces de l'ordre « montent en puissance. Hier encore, à Marseille,
un collègue a été blessé par un tir de mortier. Il a pris un feu d'artifice
entre le nez et le front, ce qui a provoqué une fracture du nez et un tympan
explosé. À 3 centimètres près, il perdait son œil. Une armurerie a été
pillée et sept fusils volés. Les fonctionnaires de police se demandent ce qu'il
va se passer : est-ce que ces armes vont être utilisées contre eux ?
À Marseille, sur 35 interpellations, un seul a évoqué Nahel. C'est
juste de l'opportunisme pour piller et agresser les policiers, le bras armé de
l'État, dans ces endroits où, à part eux, plus personne ne va ».
Tant mieux pour ce policier
et que les gilets par balle existent et protègent (un peu) la vie des forces de
l’ordre et ses agents car cela prouve simplement qu’on a tiré sur lui ou ses collègues
pour blesser voire tuer et c’est cela le plus grave !?
Car tout dépend de l’arme à
feu et du calibre utilisé contre ses agents car cela prouve simplement qu’on a
tiré sur lui ou ses collègues pour blesser voire tuer et c’est cela le plus grave !?
Car on a signalé des vols d’armes
à feux diverses fusils ou autres dans des armureries et (aussi ces fameuses kalachnikov
déjà utilisées pour des règlements de comptes entre truands tirant du 7.62 mm
de guerre notamment à MARSEILLE ou dans le sud est habituellement !?)
En France pays trop libre
car mal encadré par des lois inefficaces sur les armes ou simplement les fusils
pour la chasse sont autorisés avec certaines règles et ou le tir dit sportif
dans des stands de tirs soi-disant encadrés par des règles strictes ou les utilisateurs
tout types d’armes diverses en fabrique même leurs munitions et en les
entreposant chez eux à leur domicile avec leurs armes car ayant des permis ?!
On n’est pas si loin des
armes en vente presque libres aux USA et leur possession et utilisation dans certains
états !?
Justement il vient de se produire
à BALTIMORE encore une fusillade qui vient de faire 2 morts et 27 blessés !?
Donc pour résumer suite à
cet incident hyper grave contre ce jeune adolescent inexcusable d’un policier
trop prompt à avoir utiliser son arme ?!
On peut supposer que ce
policier touché par cette balle (perdue) soit enclin à riposter et là c’est l’escalade
de cette règle de légitime défense dont ces hommes sont tentés de plus utiliser !?
Car de nombreux français ont
encore dans leurs tiroirs de vieilles pétoires héritées de leurs pères ou grands-pères
dû aux dernières guerres !?
Et surtout les hommes ne
sont pas beaux et gentils dans un monde qui n’est pas de bisounours ou « le
chacun pour soi prime » !?
JDeclef 02/07/2023 15h27
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