mercredi 26 juillet 2023

Désolé de le dire notre pays devient in sécuritaire et dangereux par cette voyoucratie délinquance violente partout soulignée par ses dernières émeutes car c’est le désordre qui prime ou certains veulent faire leurs lois en lieu et place de celles de la république qu’il ne respectent pas !?


 

L’ordre, c’est la France (ou plutôt le désordre car la différence est faible !?)

CHRONIQUE. Depuis son deuxième mandat, Emmanuel Macron restaure délibérément le parti de l’ordre, dans la plus pure tradition des chefs d’État.

NOTRE PRESIDENT NE RESTORE RIEN IL BAVARDE EN S’ELOIGNANT LOIN DES FRANCAIS METROPOLITAINS POUR EVITER LEURS REPROCHES POUR SON INACTION PATHOLOGIQUE ?!

Le pire étant qu’il continue à se moquer d’eux avec ses discours soulants et alambiqués que certains avalent si facilement !?

Le président de la République, Emmanuel Macron, a répété qu'il fallait redonner « de l’ordre, de l’ordre et de l’ordre », après les émeutes qui ont frappé la France. 

Quand il est employé par le président de la République, l'ordre n'appartient pas au champ lexical de la répression, mais à celui de la légitimité. Il ne doit pas s'entendre « contre » les individus, mais « avec », en faveur de la société et de son épanouissement, pour la plus grande gloire de la légalité. L'ordre est, tôt ou tard, l'immanquable rendez-vous pour un chef d'État français. De sa capacité à le garantir, à se l'approprier et à en faire un point de distinction dépendent sa postérité et sa longévité.

Emmanuel Macron a décidé, dans l'interview donnée lundi 24 juillet, de parier dessus une nouvelle fois : il n'a peut-être pas l'instinct de la sympathie, mais il a celui de la victoire. En quoi il surpasse l'intégralité de ses concurrents depuis six ans.

« Une intervention salade niçoise » : Macron et le risque d'être inaudibleL'État se pense et se construit par un autoritarisme justifié par la légitimité. Du règne de Philippe le Bel au mandat du général de Gaulle, des générations d'intellectuels ont écrit des milliers de pages pour justifier le bien-fondé de la suprématie du pouvoir exécutif. Des ministres au service de la monarchie ont lutté contre les « grands » du royaume, combattu l'autorité du pape, levé l'impôt pour financer les guerres, pacifier les provinces, bref ont fait preuve d'un pragmatisme commandé par un intérieur supérieur, celui de l'État, lequel se confond avec le premier de ses serviteurs. Pas pour le plaisir de lustrer une couronne, mais au nom d'une conception de la puissance.

L'État ne câline pas, il contraint

Tout s'est passé comme si une filiation disons mystique liée à l'ordre public avait traversé les régimes politiques, y compris d'ailleurs la Révolution française qui, pour s'être débarrassée du roi, n'en a pas moins abouti au rétablissement d'un exécutif fort et centralisé. Napoléon Bonaparte était obsédé par l'ordre public, il pensait du reste que la République n'avait de sens qu'ordonnée autour de ce dernier. Louis-Philippe ne s'y trompe pas en confortant la bourgeoisie dans ses droits et en sécurisant l'économie.

Émeutes : la France entre dans le Moyen ÂgeLouis-Napoléon Bonaparte, après deux coups d'État manqués, se rend à l'évidence : il lui faut rallier le parti de l'ordre, à savoir l'élite de la monarchie de Juillet, incarnée par le comité de la rue de Poitiers, dont Adolphe Thiers est un des leaders. Le neveu de Napoléon Ier a, certes, fait la promotion de son empathie envers les classes populaires, mais son manifeste de candidature à la magistrature suprême n'était pas progressiste. Il constituait, au contraire, l'archétype d'un programme conservateur destiné à rassurer la majorité. Comme nous savons, il remporta les élections de 1848 avec une avance considérable. La IIIe République elle-même, en dépit du parlementarisme, érigera la République en forteresse : jacobine, centralisée, martiale. Même ses hommes politiques de gauche se montreront intraitables avec l'autorité.

Bref, en France, l'État n'est ni une entité accommodante ni une forme à géométrie variable : il ne câline pas, il contraint. Le général de Gaulle lui-même reviendra à l'occasion d'une crise de l'autorité, à savoir juste après la tentative de putsch des généraux à Alger, en mai 1958. Il traitera ces officiers supérieurs avec un dédain souverain et assuré. De Gaulle n'avait pas toutes les qualités, mais il savait où était la France et où elle n'était pas.

L'ordre n'est pas un choix, mais une identité

Cela étant, cette apparente intransigeance a des contreparties vertueuses. La primauté de l'ordre implique pour les soldats, les policiers, les forces de toutes sortes, qu'ils ne quittent pas leur caserne sans autorisation. De même, si la police est essentielle à l'autorité de l'État, elle se conforme à la Constitution. C'est le sens des protocoles de la République, où les premières personnalités, le président de la République, celui de l'Assemblée nationale, par exemple, sont entourés de militaires lors de moments solennels. Ces derniers les environnent, mais toujours au garde à vous afin de signifier leur soumission au pouvoir civil, détenteur de la légitimité dont découle le droit d'employer la force.

Police : « Il faut arriver à protéger l'organe qui nous protège » Depuis son deuxième mandat, Emmanuel Macron restaure délibérément le parti de l'ordre en sachant le pari lucratif. Quant à certains de ses détracteurs issus de la Nupes, ils persévèrent, avec un aveuglement confondant, dans le cabotinage et les facéties. S'ils n'avaient pas oublié leur histoire de France, ils sauraient que l'ordre public, privé, familial, politique, militaire, républicain n'est pas un choix, mais une identité.

Ah bon !? Comme dit notre petit président grand donneur de leçons qu’il n’applique pas à lui-même préférant visiter nos ex possessions de notre ancien empire colonial qui ne demande qu’à accéder à l’indépendance réelle et qui coute une fortune à la France !?

Préférant profiter de son statut de monarque sans couronne que lui ont donné ces Français qui l’ont même réélu ce qui est incompréhensible grâce à ce système électoral de cette Veme république à deux tours qui dessert les Français mais favorise ces politiciens dirigeants de tous bords d’une médiocrité lamentable avec en plus trop de pouvoir que lui ont donné certains Français car avec une majorité relative qui lui convient comme il l’a admis lui-même faisant passer des bribes de lois diverses grâce à cette Veme république monarchique usée et obsolète depuis 65 ans !?

D’ailleurs il veut changer la constitution pour la nouvelle CALEDONIE pendant qu’il y est ? Pourquoi pas celle de la France ce Mr bavard irresponsable !?

Mais puisque nous entrons dans cette période de pré J.O. de PARIS en juillet 2024 ou les Français ne sont pas rassurés sur l’insécurité grandissante dans notre pays mal maitrisée surtout depuis les dernières émeutes de certains trublions hyper violents qui ont mis la France à sac en la vandalisant (facilement) !?

Donc pour les parisiens ou les habitants d’IDF ou autres qui voudraient assister de près à ces défilés des sportifs ou délégations mondiales il serait préférable pour leur sécurité qu’ils regardent cela à la télévision sur grand écran gratuitement car retransmis intégralement par les multiples chaines ou réseaux sociaux de plus cela leur fera faire des économies pour eux car les billets sont chers et contingentés et pas moins risqués que leur présence sur les berges de la Seine !?

Jdeclef 26/07/2023 10h28

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1 commentaire:

  1. Avec en plus une censure arbitraire moyenâgeuse et hypocrite ce cet hebdo LE POINT et sa rédaction inféodée au pouvoir en place ne respectant pas la liberté d'expression dans notre pays encore libre (mais pour combien de temps ?) le pays ne peut qu'aller à vau l'eau et plus mal dans cette macronnie monarchique d'un autre âge remontant aux croisades par cette Veme république usée vielle de 65 ans plus au fait du monde instable actuel hyper tendu !?

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