samedi 29 juillet 2023

On peut parler d’autre chose que de notre président inutile qui ne sert à rien SVP !?

 

Pauvreté, grand âge, planification écologique… Macron a-t-il oublié sa jambe gauche ?!

Le gouvernement reporte sans cesse ces chantiers, pourtant jugés prioritaires. Au risque d’exaspérer les acteurs concernés et élus en première ligne.

LE PRESIDENT TOURNE EN ROND DEPUIS 2017 LES FRANÇAIS SE SONT ENCORE TROMPES COMME ILS LE FONT DEPUIS + DE 40 ANS APRES LE MITTERANDISME QUI ETAIT AUSSI UN ECHEC ET UNE ERREUR TANT PIS POUR EUX !?

La procrastination gagne l'Élysée et Matignon. On ne compte plus la pléthore de reports sur des dossiers de premier plan. Le pacte des solidarités ? Ajourné à septembre prochain – après avoir été annoncé pour janvier, mars, mai, puis juillet. Le grand discours d'Emmanuel Macron sur la planification écologique, initialement prévu le mercredi 5 juillet ? Il faudra encore attendre pour des annonces précises… Quant à la proposition de loi « bien vieillir », son examen dans l'Hémicycle a été reporté… à la rentrée.

L'ancien ministre des Solidarités, Jean-Christophe Combe, s'était engagé à présenter en mai – puis avant le 14 juillet – une feuille de route sur la stratégie de l'exécutif pour faire face au vieillissement de la population. Il n'a rien dévoilé à temps avant son éviction du gouvernement. Le député socialiste Jérôme Guedj, investi sur ce dossier depuis de nombreuses années, ne s'est pas privé de railler ce « ministre qui aura annoncé avec constance des choses qui ne seront jamais venues ».

Arbitrages budgétaires

Cette communication erratique suscite l'incompréhension. « On a le sentiment que ce gouvernement veut éviter de parler de social, regrette Noam Leandri, président du collectif Alerte. C'est comme si le pacte des solidarités n'était pas jugé prioritaire dans l'agenda de la Première ministre. En 2018, le plan pauvreté était porté par le président lui-même, à un haut niveau. On sentait l'envie de faire quelque chose. Là, c'est très léger en termes de portage politique. Beaucoup de ministres de la thématique couverte par le pacte ont changé, ce qui est peu lisible. Et, sur le fond, on craint que ce ne soit qu'une panoplie de petites mesures sans vision très claire. »

Renaissance : le grand jeu des chaises musicales a commencé

Dans une interview accordée à Ouest-France, Aurore Bergé, la nouvelle ministre chargée de ce dossier, a assuré que le plan, structuré autour de la petite enfance, l'emploi et une transition écologique « juste », sera présenté à la rentrée avec Élisabeth Borne. Ce report peut aussi s'expliquer par des tensions sur certains arbitrages budgétaires sur la baisse des emplois aidés, le bouclier énergétique et la hausse des minima sociaux. Jean-Christophe Combe, conformément au souhait des associations, plaidait pour une hausse du RSA au-dessus de l'inflation, mais a essuyé les refus de Bercy et Matignon. Même chose pour Pap Ndiaye, ancien ministre de l'Éducation nationale. « En septembre 2022, il me disait qu'il avait tout un plan ambitieux pour l'égalité des chances à l'école de prêt, mais que Matignon bloquait », rapporte Noam Leandri au Point.

L'Arlésienne du grand âge

Dès 2018, Emmanuel Macron avait promis une grande loi sur la dépendance. Mais le texte a été repoussé aux calendes grecques. Las d'attendre, les députés Renaissance ont déposé, en décembre 2022, une proposition de loi pour « bâtir la société du bien vieillir ». Présenté comme une première étape à un projet plus ambitieux, le texte propose une série de mesures réglementaires sur la prévention de la perte d'autonomie, les signalements de cas de maltraitance et la qualité des prestations dans les Ehpad. Mais il n'a pas été débattu lors de la session extraordinaire de juillet, contrairement à l'engagement du gouvernement. « Je suis très déçue, dit Annie Vidal, députée Renaissance et co-rapporteure du texte. Cette PPL [proposition de loi, NDLR] est utile et comporte des mesures concrètes. Je compte sur l'engagement d'Aurore Bergé. »

« Chez moi, dans le Sud, on appelle ça une Arlésienne ! ironise Jean-Pierre Riso, président de la Fédération nationale des associations de directeurs d'établissements et services pour personnes âgées. On voit bien que l'État considère qu'il y a toujours plus prioritaire que ce sujet. La PPL “bien vieillir” est très modeste. Il faut une loi grand âge plus globale, qui embrasse la question du financement et de la gouvernance des Ehpad. »

Le choc démographique va nécessiter des financements importants et des réformes profondes.Monique Iborra, députée Renaissance

Les parlementaires Renaissance se divisent sur l'attitude à adopter face au gouvernement. « Je ne suis pas une frondeuse, mais là, ça ne va pas, déplore Monique Iborra. Bien sûr, on ne peut pas dire que rien n'a été fait : la création d'une 5e branche de la sécurité sociale, consacrée à l'autonomie, est une avancée. Mais on traite plus le symptôme que la maladie. Le choc démographique va nécessiter des financements importants et des réformes profondes. Malheureusement, certains de mes collègues se contenteraient bien de cette PPL et adhèrent à tout ce que veut le gouvernement. » L'élue de Haute-Garonne a refusé d'être co-rapporteure de la proposition de loi, « une réformette bien trop légère ». Elle plaide pour une réforme de la gouvernance des Ehpad et un allégement du reste à charge pour les résidents.

Les vieux sont des gens comme les autres

Des propositions qui rejoignent celles du rapport rédigé par Christine Pirès-Beaune, députée socialiste, et remis à Élisabeth Borne le 26 juillet. « Mais je demande depuis des années un seuil minimum pour les infirmières et les aides soignantes dans les Ehpad. Et ça, le gouvernement ne l'accepte pas », ajoute-t-elle. « Monique n'a pas compris la philosophie du texte, griffe Annie Vidal, députée Renaissance. Cette PPL n'exclut pas qu'on ait plus tard un projet de loi grand âge. Sur ce coup, elle a été délétère. » Ambiance…

Duel entre sociaux-démocrates et sarkozystes

Toutes ces annonces, qui auraient pu muscler la jambe gauche du macronisme, ont été percutées par les émeutes. Le discours du président sur la planification écologique est encore dans les tiroirs. La question du financement, au cœur des arbitrages politiques, n'a pas encore été tranchée. Avec la hausse des taux d'intérêt et l'augmentation de la charge de la dette, les marges de manœuvre budgétaire sont réduites.

Marc Fontecave : « Pour sauver le climat, il existe d'autres voies que la décroissance »

Lors d'un entretien croisé paru dans les pages de L'Obs, l'économiste Jean Pisani-Ferry et le député Renaissance Éric Woerth ont acté leur désaccord pour trouver ces 60 milliards. Le social-démocrate, ancien rédacteur du programme d'Emmanuel Macron en 2017, face à l'ancien ministre de Nicolas Sarkozy, comme le symbole de deux spectres de la macronie qui n'ont pas grand-chose en commun. Le premier défend l'endettement et une taxe sur les grandes fortunes pour financer la transition écologique ; le second refuse toute hausse de la fiscalité. Favorable aux pistes du rapport Pisani-Ferry, le flanc gauche de la majorité semble s'être résigné : « Il y a un enjeu de justice sociale important. Mais l'aile gauche ne mènera sûrement pas le combat là-dessus car ça ne rentre pas dans la stratégie du gouvernement », confie un collaborateur parlementaire.

Les prochains mois, il va falloir qu’on monte au front, notamment sur la loi immigration. Il ne peut pas y avoir que l’aile droite qui s’exprime.Un député de la majorité

Après les violences urbaines, certains députés attendaient des annonces pour rééquilibrer le discours sécuritaire de l'exécutif. « Les prochains mois, il va falloir qu'on monte au front, notamment sur la loi immigration, raconte un député. Il ne peut pas y avoir que l'aile droite qui s'exprime avec Maud Bregeon ou Charles Sitzenstuhl. »

Projet de loi immigration : fragilisé, Darmanin attend l'heure de la revanche

« La majorité des députés Renaissance sont de centre gauche, souligne Monique Iborra, longtemps encartée au PS. Mais l'identité de la politique que l'on mène a du mal à être identifiée. On donne l'impression de patiner. » L'aile gauche se raccroche à des mesures du quinquennat précédent : hausse de l'allocation adulte handicapé et du minimum vieillesse, les 15 milliards déversés au moment des Gilets jaunes et la politique du « quoi qu'il en coûte »… « Nos mesures sociales ont été éclatées dans différentes politiques qui manquent de lisibilité et d'affichage », regrette Annie Vidal, qui cite comme autant de marques de gauche le remboursement des fauteuils roulants pour les handicapés et la prime pour la rénovation énergétique.

La jambe gauche du président est-elle définitivement amputée ? « Entre ce qu'a fait François Hollande et ce que fait le gouvernement, il y a une continuité. Macron n'est pas de droite, ça, je peux vous le dire », glisse au téléphone Monique Iborra. Comme pour mieux se rassurer ?

Arrêtons Messieurs journalistes ou chroniqueurs politiques comme ces médias de commenter des faits inexistants car n’ayant plus rien à dire de ce petit président fantôme fat imbu de sa personne bon chic bon genre mais politicien opportuniste bienpensant hypocrite voulant donner des leçons au monde entier qui ne l’écoute plus tant ses bavardages incessants creux ne font pas que souler les Français voire se moquer d’eux et mêmes les insulter !?

Qui pendant ce temps-là allant se promener de par le monde dans ce pacifique et ses iles paradisiaques en bavardant pour ne rien dire d’utile s’offrant des pseudo vacances en espèce de circuit touristique il rajoute même des étapes pas prévu au départ comme le Sri Lanka cela ne lui coute rien personnellement car ce sont les Français si naïfs qui lui ont offert et paient car de toute façon il est la jusqu’en 2027 par la réélection d’une majorité relative de Français perdus (enfin ceux qui votent encore car l’abstention est bien là) mais le restant des citoyens est suffisant grâce à cette V eme république obsolète usée qui ne correspond plus à ce qu’attende les Français car cela fait 65 ans et un système électoral à 2 tours qui ne sert qu’à élire ou réélire les mêmes et qui ne profite qu’à des politiciens médiocres de tous bord et ceux déjà au pouvoir !?

Allons faisons comme beaucoup de nos concitoyens dégoutés inutiles de commenter « les carottes sont cuites jusqu’en 2027 mais sans le bœuf mironton » qui va avec à cause de Français d’une niaiserie pathologique incurable qui baisse les bras !?

Merci à eux et bonnes vacances ils auront comme d’habitude des mauvaises surprises à sa rentrée et celles des Français en automne et même avant mais çà ce n’est nouveau !?

JDeclef 29/07/2023 10h36

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire