lundi 24 juillet 2023

Quoi de mieux que d’aller se promener aux antipodes de la France métropolitaine pour parler comme d’habitude pour ne rien dire d’utile et fuir la foule des trublions lambda métropolitains !?

 

Remaniement, statut de la Nouvelle-Calédonie... Macron va s'exprimer ce lundi

Après la séquence des cent jours d’apaisement et un remaniement ministériel, le président de la République va répondre à une interview à 13 heures depuis Nouméa.

Un discours de plus dont on a trop l’habitude que certains gogos habituels avaleront car hélas incurables et peut être trop gâtés car ne souffrant pas assez de nos problèmes pourtant nombreux de notre société française malade !?

La prise de parole d'Emmanuel Macron est très attendue, la première depuis l'annonce des cent jours d'apaisement.  © LUDOVIC MARIN / AFP

Il avait choisi de ne pas s'exprimer le 14 juillet, comme le voulait la tradition, mais Emmanuel Macron prendra bien la parole ce lundi 24 juillet, sous la forme d'une interview pour les journaux de 13 heures de TF1 et France 2 en direct de Nouméa. Le président de la République lancera, via cet entretien, le coup d'envoi de son déplacement en Nouvelle-Calédonie puis dans le Pacifique.

Le chef de l'État arrive à la toute fin des « cent jours d'apaisement, d'unité, d'ambition et d'action » qu'il s'était donnés mi-avril pour relancer son second quinquennat après la crise des retraites, et va donc en tirer le « bilan » promis à l'époque. Il doit aussi « dresser les perspectives de la rentrée », selon son entourage.

Un exercice esquissé lors d'un long propos liminaire au conseil des ministres de vendredi, exceptionnellement retransmis en direct à la télévision, lorsqu'il a, fait rare, réaffirmé « avec clarté » sa « confiance » à sa Première ministre Élisabeth Borne et plaidé pour « la continuité et l'efficacité ». Dans ce discours parfois fourre-tout, le président a assuré suivre « à marche forcée » un « cap clair » : « l'indépendance du pays » sur les plans économique et stratégique.

Il a promis de dévoiler à la rentrée la planification écologique repoussée à plusieurs reprises, d'apporter une « réponse complète et profonde » aux émeutes de fin juin et d'élaborer le budget 2024 en suivant un « cadre exigeant ». Autant de mots d'ordre qui seront déclinés lundi matin par Élisabeth Borne, qui réunit à Matignon l'essentiel de son gouvernement remanié pour une séance de travail.

Dans la foulée, M. Macron pourrait-il faire des annonces concrètes pour redonner un peu de souffle à ce mandat chaotique, handicapé dès le début par l'absence de majorité absolue à l'Assemblée nationale, comme l'illustrent les difficiles négociations politiques avec la droite autour du projet de loi immigration ?

« Déjà en situation d'épuisement »

« Le problème, c'est que nous ne sommes qu'à un an du début du quinquennat et qu'il est déjà en situation d'épuisement », a estimé dimanche le député socialiste Jérôme Guedj sur BFMTV. Emmanuel Macron « n'imprime plus aujourd'hui, il ne fournit pas de cap, il ne fournit pas d'orientation » et « il y a un décalage gigantesque avec l'urgence sociale, la relance économique, l'urgence écologique qui s'exprime dans le pays ».

La prise de parole du chef de l'État avant la pause estivale était attendue, mais l'Élysée a tergiversé jusqu'à la dernière minute sur la forme qu'elle prendrait. Le 17 avril, en décrétant les « cent jours », Emmanuel Macron avait donné rendez-vous aux Français le 14 juillet pour « un premier bilan ».

« Indépendance », « efficacité », « fierté » : le cap d'après-remaniement annoncé par Macron

Mais, le jour de la fête nationale, alors que le pays venait de traverser quelques nuits d'émeutes d'une violence inédite après la mort du jeune Nahel, tué par un policier à bout portant lors d'un contrôle routier, le président avait finalement renoncé à parler.

Il a préféré d'abord remanier son gouvernement, ce qu'il a fini par faire la semaine dernière, au terme d'un long suspense et comme à contrecœur, confirmant le maintien de sa Première ministre Élisabeth Borne par un SMS de ses conseillers aux journalistes et évoquant de simples « ajustements ».

Puis la piste d'un entretien dans la presse régionale, « ou » d'une lettre aux Français, a circulé. Jusqu'à ce que l'Élysée opte pour l'interview au 13 heures, en pleines vacances d'été, réalisée en duplex depuis l'autre bout du monde, quasiment à sa descente d'avion après un vol de vingt-quatre heures et plus de 16 000 km – au risque de voir les sujets de politique hexagonale écraser les enjeux de sa tournée en Océanie.

Nouvelle-Calédonie : Macron en visite pour évoquer le futur statut du territoire

« Jolie manière de boucler une boucle », salue en tout cas un proche d'Emmanuel Macron. La référence n'est pas à l'allocution solennelle du 17 avril, mais à l'interview donnée le 22 mars aux mêmes chaînes et à la même heure juste après l'adoption au forceps, avec le décrié article 49.3 de la Constitution, de sa réforme contestée des retraites. Ce jour-là, le président s'était dit sans regret, prêt à « endosser l'impopularité » de la retraite à 64 ans, s'attirant des accusations de « mépris » de la part des oppositions.

Après l'entretien, la visite en Nouvelle-Calédonie pourra vraiment commencer mardi.

Notre président grand voyageur et surtout grand bavard nous soulant de ses discours ressassés creux depuis 2017 et qui bien sûr ne s’est pas calmé depuis sa réélection par défaut de Français sourds aveugles simplement idiots ou pleutres ayant peur du lendemain avenir qu’il ne rendra pas meilleur  car pour lui quoi de mieux il ne sait que faire cela discourir et donner des leçons dans le monde entier qui d’ailleurs ne l’écoute plus donc « RIEN » comme bienpensant donneurs de leçons  hypocrite même  ne sachant pas protéger les français lambda dans leurs vies quotidiennes car il a avoué ne pas avoir vu venir ces émeutes venir et ce voyage de 16000 km en avion une pierre  de plus dans  le jardin des écolos politiques illuminés qui voudrait rationner les voyages aériens car le avions sont grands consommateurs de kérosène !?

Quant à l’insécurité intérieure et extérieure de la France elle est aux abonnées absentes car déjà bien présente dans la vie quotidienne des français lambda car il réarme enfin notre armée en pleine de confiture de matériel militaires pour simplement nous défendre à grand coups « de quoi qu’il en coute » bidon tardif par son imprévoyance et sa procrastination maladive !?

Avec en plus certains médias qui censurent les protestations justifiées en ne respectant pas la liberté d’expression inscrite dans notre constitution de certains internautes qui ont le courage de dire ce qu’ils pensent car n’ayant pas correctement choisi leurs dirigeants dans une classe politique d’une médiocrité remarquable ce qui donne un pays qui va à vau l’eau dans des évènements qu’ils ne maitrisent plus !?

Jdeclef 24/07/2023 12h56

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1 commentaire:

  1. Censure habituelle débile du POINT hebdo inféodé par sa rédaction au pouvoir en place donc sans valeur car NE respectant pas la liberté d'expression ce qui tourne ce media en ridicule irrécupérable borné car ce commentaire passe sur d'autres médias même mondiaux qui les diffusent logiquement car nous sommes en France pays LIBRE qui doit sortir des ses institutions moyenâgeuses !?

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