vendredi 7 juillet 2023

Les remaniements gouvernementaux sont de la poudre aux yeux pour faire croire aux Français les changements non réalisés par nos présidents qui reprennent les mêmes vieilles recettes usées de cette Veme république obsolète monarchique !?

 

QUE DE TEMPS PERDUS PAR NOS DIRIGEANTS ET SURTOUT LE PRESIDENT POUR FAIRE CROIRE QU’IL CHANGE DE POLITIQUE BORNEE INNEFFICACE !?

MAIS COMME LES FRANCAIS L’ONT REELU IL ENFONCE UNE PORTE OUVERTE JUSQU’EN 2027 !?

LE RESTE N’ETANT QUE DU BLA-BLA MACRONIEN HABITUEL POUR LES FRANÇAIS GOGOS QUI AVALENT TOUT !?

Ce vendredi, Emmanuel Macron et Élisabeth Borne seront ensemble à Ouistreham, dans le Calvados, pour la cérémonie d'hommage national à Léon Gautier, le dernier survivant du commando Kieffer. Les gestes et l'attitude du président de la République à l'égard de sa Première ministre seront scrutés, comme un mois auparavant, le 6 juin, dans ce même département, où ils se rendirent pour le 79e anniversaire du Débarquement, en présence du vétéran.

Ce jour-là, les conseillers et journalistes sur place avaient noté l'absence d'échanges entre les deux têtes de l'exécutif et une relative distance entre eux. À l'approche du terme de la période des « 100 jours », les échos quant à leur relative mésentente et les tractations en vue d'un remaniement, que l'on annonçait inévitable, battaient leur plein.

Plancher sur le fond et ensuite sur les visages

Las, tout porte à croire que la polytechnicienne devrait rester encore quelques mois à son poste. C'est en tout cas le sens des signaux qu'adresse le locataire de l'Élysée. Sans solution de remplacement évidente, le chef de l'État se serait résolu, après les poussées de fièvre nocturnes dans les quartiers, à conserver sa cheffe de gouvernement, à qui il avait déjà mollement renouvelé sa confiance dans les colonnes de La Provence en début de semaine dernière.

On est moins sur le design du remaniement que sur l’urgence de remettre les choses en place.

Non pas qu'Élisabeth Borne ait marqué des points durant la crise – elle a, au contraire, eu du mal à trouver sa place entre Emmanuel Macron, Gérald Darmanin et Éric Dupond-Moretti –, mais son remplacement dans un tel climat serait forcément interprété comme une réaction directe à ces événements. « Vu le contexte, on est moins sur le design du remaniement que sur l'urgence de remettre les choses en place », évacue un conseiller du président. Comprendre : d'abord plancher sur le fond et, plus tard, sur les visages. Pas le moment de déstabiliser le sommet de l'État.

Après le chaos, Emmanuel Macron au pied du murUn retournement de situation qui fait sourire un parlementaire de la majorité. « Le président avait dit à Gérald Darmanin qu'il le nommerait Premier ministre s'il lui ramenait 40 députés Les Républicains. Il s'est démené, Bruno Le Maire a ensuite mis son grain de sel, Gérard Larcher leur a fait comprendre que lui seul pouvait effectivement rallier des parlementaires, les historiques de la macronie ont fait barrage à ce scénario. Élisabeth Borne les a regardés s'entretuer et, à la fin, c'est elle qui ramasse la mise car personne n'est en position », s'amuse-t-il, l'imaginant rester en fonction jusqu'à l'hiver, voire jusqu'aux Jeux olympiques, à moins d'une motion de censure d'ici là.

Borne va reprendre la main sur ses sujets de prédilection

Pourtant, les critiques sur la cheffe de gouvernement dans le premier cercle d'Emmanuel Macron ont subitement repris de plus belle depuis les émeutes. « L'époque n'est pas aux mots tièdes. Elle s'est révélée inexistante et surtout incompatible avec ce genre de crise », éructe un très proche. « Elle est tout ce qu'il y a de plus suffisant et nuisible pour le pays », injurie un historique. Il est vrai que, depuis qu'elle est en poste, la Première ministre n'a jamais cherché à incarner la force régalienne de l'État. Comme préfète de Poitou-Charentes, elle a pourtant par le passé eu à gérer des sujets de maintien de l'ordre.

Mardi, l'ex-conseillère de Lionel Jospin tentera de reprendre la main sur les chantiers liés au travail, son domaine de prédilection. Élisabeth Borne doit recevoir l'intersyndicale à Matignon, une première depuis avril, après l'épisode douloureux de la réforme des retraites. Elle espère à cette occasion montrer qu'elle renoue le dialogue social. Le président, pendant ce temps-là, sera à Vilnius pour un sommet de l'Otan.

« La crise fixe les choses mais ne les fige pas », veut croire un intime du chef de l'État, qui rêve toujours d'une promotion de Gérald Darmanin ou de Sébastien Lecornu comme Premier ministre. Après tout, le locataire de l'Élysée pourrait prendre son monde « à rebrousse-poil » et remanier au moment où on ne l'attend plus.

Gérald Darmanin, la longue semaine du « premier flic de France » De manière quasiment unanime, la gestion du ministre de l'Intérieur pour rétablir l'ordre dans les quartiers a par ailleurs été saluée. Éric Dupond-Moretti, qui est monté au front sur la responsabilité pénale des parents, a quant à lui « sauvé son poste », fait-on observer.

Reste un casse-tête pour Emmanuel Macron : donner un sens à ses « 100 jours d'action et d'apaisement » en dressant un bilan de son opération reconquête, qui s'est fracassée sur les émeutes urbaines. Le tout autour du 14 juillet ou le jour même, la fête nationale étant traditionnellement propice à une communication présidentielle. « Le chef de l'État veut prendre son temps, écouter tout le monde pour établir des mesures qui ne doivent pas générer de divisions supplémentaires », temporise un collaborateur. La fameuse « convalescence » qu'Élisabeth Borne avait elle-même préconisée après l'adoption des retraites… Et qui lui avait valu, à l'époque, une réponse en forme de recadrage d'Emmanuel Macron.


De toute façon ce n’est pas une surprise car ce président en bon procrastinateur ne savait pas par qui la remplacer dans une classe politique de tous bords médiocre et lamentable !?

Car après cette crise sérieuse de jeunes Français issus de certaines populations défavorisées pas de son monde qu’il dédaigne et a insulté et qui se sont révoltés et transformés en voyoucratie hyper violente barbare qui a fait souffrir une majorité de Français lambda !?

Il a réagi comme d’habitude en retard car n’avait rien vu venir par son imprévision pathologique teintée de discours creux sans effet car le feu couve encore sous les braises mal éteintes et nous rentrons dans une période estivale des congés d’été ou des Français ne pensent qu’au soleil et aux plages pour ceux qui peuvent s’offrir des vacances !?

Mme BORNE totalement servile et inféodée à son maitre macronien ne fait que souligner son inutilité de cheffe de gouvernement dont déjà N.SARKOZY avait déjà dit que ses chefs de gouvernements 1ers ministres étaient des collaborateurs là, seulement pour exécuter les ordres de leur patron lui-même incompétent ne sachant pas gouverner ni protéger les Français et la France raillée à l’international que l’on n’écoute plus !?

Pour résumer ces fameux cent jours promis par ce monarque sans couronne sans imagination sera un fiasco qui sera son WATERLOO morne plaine !?

Comme certains Français naïfs peureux l’on réélu Il faudra attendre 2027 mais surtout la rentrée prochaine d’automne toujours houleuse car nos trublions de tous bords se seront refait une santé cet été et ce n’est que reculer pour mieux sauter hélas !?

Jdeclef 07/07/2023 10h26

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