De toute façon les ministres de l’éducation nationale ou de l’enseignement on en change comme de chemise dans cette Veme république et comme on parle de remaniement gouvernemental c’est le bon moment !?

 

Pap Ndiaye : plaidoyer (impossible) pour un ministre à côté de la plaque (par ce qu’il y en avait un de ministre plutôt effacé ce pauvre fonctionnaire sans envergure ?!)

CHRONIQUE. Encore en poste, le ministre est victime d’un « remaniement médiatique ». Et injuste ? Son dossier n’est pas facile à défendre.

LES MINISTRES DE L’ENSEIGNEMENT PASSENT ET ON CHANGE COMME DE VIEILLES CHAUSETTES USEES CAR ILS N’OBEISSENT QU’A LA POLITIQUE DU POUVOIR EN PLACE DE CETTE VEME REPUBLIQUE MACRONIENNE BORNEE OBTUSE !?

Tout le monde le place en tête de liste des ministres remerciés en cas de remaniement. Dans une interview d'Élisabeth Borne publiée ce dimanche, Le Parisien lui demande : « Pap Ndiaye ? Marlène Schiappa ? Peuvent-ils rester ? » En tête de liste, donc, le ministre de l'Éducation nationale ! Et la réponse de la Première ministre, Élisabeth Borne, à portée certes collective, n'est guère encourageante : « Je ne ferai pas de commentaires sur les ministres. Si j'ai des choses à leur dire, je le fais avec eux. Quant à la question de la composition du gouvernement, c'est une question que j'évoque exclusivement avec le président de la République. » D'autres médias évoquent déjà le nom de possibles successeurs, dont le moindre n'est autre que celui de l'ancien chef du gouvernement Édouard Philippe.

Mixité sociale à l'école : que valent les mesures prévues par Pap Ndiaye ?

Pap Ndiaye serait la preuve vivante qu'un brillant intellectuel ne fait pas un bon ministre. Sur tous les sujets, il semble à côté de la plaque. Lors des questions au gouvernement, à l'Assemblée nationale, il ânonne ses réponses comme un sous-chef de bureau convoqué par sa hiérarchie : pas de pugnacité, zéro spontanéité. En déplacement à Marseille, il se tient mutique aux côtés du président même quand il est question d'éducation. Il y avait des ministres sans portefeuille, il est un ministre sans voix sur ses dossiers. En revanche, et c'est peut-être la seule fois où sa parole a été abondamment relayée depuis un an qu'il est en poste, il se montre disert pour dénoncer une chaîne de télévision et une station de radio qu'il considère comme dangereuses car d'extrême droite. Pap Ndiaye peut avoir sur ce sujet l'opinion qu'il veut, c'est son droit le plus absolu. Mais une telle saillie est déplacée de la part d'un ministre de l'Éducation nationale, surtout quand il est inaudible sur ses propres dossiers.

Niveau de lecture à l'école : le faux satisfecit de Pap Ndiaye

L'audace du désespoir ?

La rémunération des professeurs revalorisée ? Sa présentation du dispositif était à peu près aussi claire que celle d'Élisabeth Borne sur la réforme des retraites. Plus ils entraient dans le détail, plus les syndicats pouvaient montrer que le diable est dans les détails… dissimulés bien sûr. Le grand plan mixité scolaire qui devait être le point d'orgue de son passage rue de Grenelle ? Réduit à sa plus simple expression, après une mise en accusation de l'enseignement privé particulièrement malvenue – ses enfants sont scolarisés dans l'une des écoles les plus huppées de l'Hexagone. Le suicide de Lindsay, une jeune fille de 13 ans que le harcèlement de ses camarades de collège a poussée au suicide ? Le ministre ne s'est pas déplacé pour rencontrer les parents en détresse, n'a semble-t-il même pas décroché son téléphone pour leur parler, et les a reçus tardivement au ministère dans des circonstances qui ne les ont pas convaincus de sa « sincérité », selon leurs propres mots.

Éducation nationale : quand Pap Ndiaye agace le mammouth

Même les points positifs de son bilan semblent évaporés. Le budget de l'Éducation nationale, augmenté de plus de 6 % ? On sait bien que le mammouth, contrairement aux dires syndicaux, ne souffre pas de sous-financement. La réintroduction des mathématiques au lycée ? Une simple réparation. La paix avec le monde enseignant ? Considérée comme un signe de faiblesse.

Le dossier de Pap Ndiaye semble donc indéfendable. Peut-être a-t-il voulu, avec son commentaire apparemment maladroit sur deux médias, tenté de sauver son poste avec l'audace du désespoir : qui virerait, par les temps qui courent, un ministre qui dénonce l'extrême droite ? Mais sa meilleure chance de s'en sortir, c'est peut-être le caractère du président : Emmanuel Macron déteste qu'on lui dicte ses choix. Plus on tape sur Pap Ndiaye, plus on lui rend service.

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Le président avec ce ministre a fait un mauvais choix (mais en a fait-il de bons on les cherche dans tous les domaines...?)

Ce n'est que la suite de la gestion médiocre de ses gouvernements macroniens choisi par lui depuis 2017 et malgré sa réélection chance qu'il n'a pas su saisir de toute façon il s'en fiche car réélu jusqu’en 2027 il se sera bien amusé sur les dos des Français lambda qu’il dédaigne en plus !?

Ces citoyens lambda qui ont le même défaut que lui ne pas savoir bien choisir leurs dirigeants de tous bords et politiciens mais eux ils sont incurables car cela fait + de 40 ans que cela dure !?

Mais hélas ce n’est pas comme cela qu’on dirige un pays qui continue à se dégrader que ce soit en politique intérieure et internationale et dont le vernis déjà écaillé depuis avant 2017 et avant déjà ancien craque (mais jusqu’à quand après 2027) dans une situation mondiale tendue devenant de plus instable !?

Le pire peut être étant que les Français font l’autruche en ne voulant pas s’en rendre compte malgré ces dernières alertes sérieuses depuis que ce président petit bourgeois parvenu d’un autre monde pas celui des Français lambda est au pouvoir et remontant même avant ses quinquennats qui se ressemble bien que son second mandat ne soit pas terminé et pour l’instant se méfie du 14 juillet notre fête nationale avec un feu qui est toujours présent sous les braises pas encore complètement éteinte et qui peut se rallumer pas forcement tout de suite mai plus tard car l’insécurité de ces trublions divers est toujours présente !?

Naturellement il ne pouvait reporter ou annuler la commémoration de notre fête nationale du 14 juillet car cela aurait été sa perte irrémédiable mais qui sanctionnera néanmoins son inaction de chef d’état faux monarque sans couronne depuis 2017 !?

Jdeclef 12/07/2023 16h55

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