mercredi 19 juillet 2023

Certains se servent de la peur irraisonnée de certains Français pour les pousser à de multiples exactions et violences diverses car voulant faire leurs lois et dans cette période ou notre dirigeant est « cul par-dessus tête » selon son expression si élégante de petit bourgeois bon chic bon genre et son gouvernement de pattes cassées depuis 2018 n’a pas trouvé de solution ni simplement rien fait ( et puis quand on a de multiples problèmes de société on ne déjeune pas avec ses ministres on travaille avec !?)

 

Tarn : les folles revendications des saccageurs de pommiers

Dans un communiqué, les auteurs de l’arrachage de 9 000 pommiers dans le Tarn invoquent la « légitime défense » contre les « empoisonneurs ». Un basculement inédit.

LES GOGOS DE CITOYENS AVALENT TOUT MEME L’INSSUPPORTABLE D’EXITES ECOLOS QUI DEVIENNENT MAINTENANT VANDALES DANGEREUX CE QUI MET UNE CORDE DE PLUS A LEURS ACTES DES CETTE ECOLOGIE POLITIQUE QUI NE VEUT QUE LE POUVOIR DANS NOTRE France DE CANIVEAU QUI DRAINE LES NUISANCES DIVERSES ?!

ls avaient senti le mauvais coup venir… Dans la nuit du 13 au 14 juillet, alerté par les services de renseignements, un groupe de gendarmes montait discrètement la garde à Lavaur, dans le Tarn, près des bâtiments du verger de Fontorbe, cible depuis des mois de la vindicte de militants radicaux. Mission manquée : le commando, dans une démarche inédite, a choisi de s'attaquer non pas au matériel, mais directement à la production, arrachant en quelques heures les greffons installés sur une parcelle de trois hectares, à un autre endroit du domaine.

« Trois mois foutus, une récolte perdue », se désolait le lendemain Lucas Crosnier, le directeur (salarié) de ces vergers plantés en 1961 sur la commune, et devenus depuis deux ans l'obsession d'une poignée de riverains et de militants, convaincus que la culture en « vergers écoresponsables » de ces 325 hectares les empoisonne Quelques jours plus tard, un communiqué revendiquant l'action arrivait dans les rédactions de nos confrères de La Dépêche du Midi et du Journal d'ici : « L'avenir se noircit. […] Votre agro-industrie aujourd'hui empoisonne nos familles, nos futurs, répandant des poisons dans notre air, notre eau, nos sols et nos assiettes », écrivent les saccageurs, justifiant s'être fait justice eux-mêmes par la décision de l'agriculteur de repasser en conventionnel la parcelle détruite, qui était jusqu'alors cultivée en bio.

Une « agression », selon eux, « conduisant inévitablement à une défense nécessaire, simultanée et proportionnée. Vous avez créé un peuple en état de légitime défense. Et ce peuple va se défendre, et sauver ses enfants de vos poisons » ! Le message, signé d'un nouveau collectif appelé « Le Chardon », est clair : seule l'agriculture biologique sera désormais tolérée, tout autre mode de production justifiant la destruction.

Le rêve du 100 % bio

Un discours complotiste et, selon Lucas Crosnier, « déconnecté du réel ». D'une part, parce que les vergers bio, contrairement à une idée reçue, utilisent aussi des pesticides : ils reçoivent en moyenne 26,5 traitements par récolte, contre 37 pour les pommes conventionnelles, selon le ministère de l'Agriculture. « Sans dérogation pour pouvoir utiliser des produits comme l'azadirachtine, 120 jours par an, il n'y aurait plus de vergers bio », confie un pomiculteur. D'autre part, car les consommateurs refusent de payer la qualité qu'ils exigent… « La parcelle détruite allait repasser en conventionnel, parce que la production bio ne se vend pas ! Après les premières récoltes, en 2021 et 2022, le marché s'est effondré, et on a dû céder la production sur le marché de l'industrie, à un prix qui ne couvre même pas les charges fixes. J'ai perdu 300 000 euros ! »

Souveraineté alimentaire : la France au bord de la falaiseUne réalité que les militants refusent de voir, et que confirme le président de l'Association nationale Pommes-Poires, Daniel Sauvaitre. « La production de pommes bio va atteindre cette année 180 000 tonnes, alors que les ventes ne dépassent pas 90 000 tonnes. Les Français ne les achètent pas, c'est trop cher ! Et le bio ne se vend pas non plus à l'export. Comment voulez-vous que les pomiculteurs vivent, si on produit le double de la demande ? Les plus en difficulté, aujourd'hui, sont les professionnels en agriculture bio. » Une analyse confirmée par la FNAB, la fédération nationale du bio : sous l'effet de l'inflation, la demande s'effondre, et la part du bio dans les achats alimentaires des Français plafonne à 6,6 %.

Sur la parcelle arrachée, Lucas Crosnier avait greffé des souches de la variété Ladina, réputée résistante à la tavelure, un champignon entraînant le pourrissement des pommes. « Nous faisons au mieux pour utiliser moins de pesticides, mais on ne peut pas exiger 100 % de production bio, si les Français n'en veulent pas ! » Au contraire : les importations de pommes en provenance de Pologne, d'Ukraine, de Turquie, vendues beaucoup moins cher que les pommes conventionnelles françaises, sont en forte hausse.

Le fruiticulteur dans le viseur des écologistes

Le saccage ravive une querelle qui pourrit depuis deux ans les relations entre le pomiculteur et une association, Vaurais Nature Environnement (VNE), rassemblant quelques riverains et des militants anti-pesticides, convaincus de ses mauvaises pratiques et décidés à en faire un exemple. En avril 2021, lors d'un épisode de gel tardif reconnu comme l'une des pires catastrophes agricoles depuis des décennies (il causera 4 milliards d'euros de pertes à l'agriculture française), le responsable du verger avait allumé de grands feux pour protéger ses arbres du gel. Les fumées avaient intoxiqué une vingtaine de riverains, entraînant une forte mobilisation et une plainte du maire LR, Bernard Carayon.

Comment l'Office français de la biodiversité instrumentalise la justice

Un an plus tard, Lucas Crosnier est placé en garde à vue pour avoir utilisé des pesticides « de façon erronée », diront les agents de l'OFB, alors que le Tarn était balayé par un fort vent d'autan. Relevés d'anémomètres à l'appui, l'agriculteur prouvera que le vent soufflait à 15 km/h, soit en deçà des normes autorisées. Aujourd'hui, le dossier est au point mort, aucune charge n'ayant été retenue contre lui. « Mais cette histoire le poursuit », confie au Point le maire de Lavaur, Bernard Carayon, excédé des outrances des militants locaux.

« Plusieurs communes, depuis, se sont dotées d'appareils de mesures, et la société a joué la transparence », recevant les riverains lors de journées portes ouvertes, et affichant ses certifications : le verger de Fontorbe est reconnu de haute valeur environnementale (HVE), il répond aussi au label « verger éco-responsable », et exploite 22 hectares en agriculture biologique. Insuffisant, pour ses opposants… Dont une cinquantaine ont manifesté le samedi 1er juillet, devant la parcelle saccagée, pour dénoncer sa déconversion.

Coalition des luttes ?

« Pour y retourner de nuit quinze jours plus tard et tout détruire, il fallait connaître l'endroit, et être guidé par un local », confie une source proche de l'enquête. Les membres du collectif Vaurais Nature Environnement (VNE), dont certains se sont associés au mouvement Les Soulèvements de la Terre contre le projet d'autoroute Castres-Toulouse, nient toute implication. Le parquet de Castres a ouvert une enquête pour « dégradations en réunion ».

Mégabassines : la stratégie du coup de force

Dans le département, où les actes de sabotage se sont multipliés ces derniers mois, cette radicalisation inquiète : sabotage d'une pelleteuse sur le tracé de la future autoroute A69 entre Castres et Toulouse, incendie de véhicules au siège d'une entreprise participant au chantier… À chaque fois, d'obscurs collectifs ont revendiqué les actions, avec la même rhétorique mêlant anticapitalisme et vagues revendications écolos. Si aucun lien n'est encore établi, cette possible « convergence des luttes » est sérieusement étudiée par les renseignements territoriaux. « Lors de la marche citoyenne organisée devant le verger de Fontorbe le 1er juillet, certaines personnes hostiles à l'autoroute A69 étaient dans le cortège », rapporte le maire de Lavaur, Bernard Carayon.

Un tournant

Les actions, avec ce nouveau saccage, ont en tout cas franchi « un tournant », souligne le politologue Eddy Fougier, spécialiste de l'écologie radicale. « Ces actions rappellent celles des faucheurs d'OGM autrefois, mais elles visaient alors des expérimentations. Désormais, et c'est une nouveauté, les militants ne s'attaquent plus seulement aux outils, aux bâtiments ou aux canalisations, mais aux productions de base, celles de tous les jours ! »

Et si les Français rejettent massivement ces méthodes, comme l'ont montré de récents sondages, « on observe un socle de 10 % à 30 % selon les actions, qui comprennent et approuvent ces violences. Un socle en progression. L'idée que la violence paie, entretenue par certains politiques, se diffuse progressivement ».

Avec, en parallèle, un durcissement des positions de « l'autre camp », celui des professionnels attaqués : « Les agriculteurs, sur le terrain, ont le sentiment que les autorités ne prennent pas ces menaces au sérieux et ne les protègent pas. La maison d'un responsable de France Nature Environnement a récemment été attaquée en Charente-Maritime. On risque de voir monter des actes d'autodéfense. » Autrement dit : l'affrontement général… Et la fin de l'État de droit.

Ces écolos extrémistes illuminés ne valent pas mieux que les casseurs ou vandales qui se défoulent avec violence dans nos villes qui pousse la France vers une anarchie avec en plus un gouvernement et son président qui ne fait rien pour empêcher cela depuis 2018 !?

Il y a trop de Français devenus violents qui veulent faire leurs lois en lieu et place de celles de la Veme république et qui se transforme en voyoucratie violente avec une insécurité grandissante à cause de dirigeants et politiciens de tous bords que nous avons élu et réélu comme des niais apathiques ayant peur du lendemain qui est là à nos portes !?

Alors en France qui va à vau l’eau plus rien ne marche correctement dans notre société et nos vies quotidiennes ou nous ne sommes plus en sécurité mal dirigé mal gouverné et mal protégé car notre pays glisse immanquablement vers des délinquances ou voyoucraties devenant de plus en plus violentes car mal sanctionnées par des lois ou justices inefficaces (et quand elles sont appliquées ce qui n’est pas toujours le cas ?!)

Notre France va devenir un pays de seconde zone infréquentable car plus encadré par des lois que beaucoup ne respectent pas par une justice inefficace en matière de sanctions et un code pénal inadapté !?

Pour le reste on a le malheur d’avoir à la tête de notre pays des dirigeants et gouvernements de tous bords bienpensant donneurs de leçon hypocrites qu’ils veulent donner au monde entier qui ne les écoute plus voir se moquent d’eux (car ils ne savent que bavarder en s’écoutant parler en déjeunant à l’Elysée avec un président qui ne sait même plus choisir ses collaborateurs ou chef de cabinet !?)

Il n’y a pas à s’étonner si notre pays décline mais c’est de la faute des Français car c’est eux qui les élisent et réélisent car ces citoyens privilégiant « leur chacun pour soi et incurables !?

Jdeclef 19/07/2023 11h34CLP

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1 commentaire:

  1. Cà y est la censure arbitraire débile du Point a encore sévie en ne dénonçant pas ses vandales qui on détruit une plantation de pommiers là vraiment on touche el fond de la bêtise de ses modérateurs du POINT mais surtout l'inaction de notre gouvernement et son président qui bavarde et déjeune plutôt que travailler à redresser le pays qui sombre immanquablement à chaque fois que l'on ouvre son media habituel quotidien pour apprendre la confirmation de l'inertie gouvernementale et présidentielle depuis 2018 !? (Et ils en redemandent en plus ces Français lambda !?)

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