mardi 25 juillet 2023

Le président : quelle ineptie cette expression de « maitre des horloges » que l’on attribue à notre chef d’état voulant etre un monarque sans couronne de l’ancien régime dont on n’arrive pas à se débarrasser par notre histoire monarchique ancienne de 2000 ans mais qui devrait retrouver la clef de cette horloge ou la remonter car éternellement en retard en la remettant à l‘heure en essayant de moins parler pour ne rien dire d’utile mais agir pour le bien de la France et des Français ce qu’il ne sait pas faire semble-t-il ?!

 

« Une intervention salade niçoise » : Macron et le risque d’être inaudible

DÉCRYPTAGE. En s’adressant en plein cœur de l’été depuis la Nouvelle-Calédonie, dix jours après le 14 Juillet, le président a essayé de changer les codes. Un pari risqué.

Par Sébastien Schneegans

Emmanuel Macron s'est exprimé à la télévision depuis la Nouvelle-Calédonie. © LUDOVIC MARIN /

Emmanuel Macron n'aime rien tant qu'être le « maître des horloges. » Le chef de l'État aurait pu se prêter à la traditionnelle interview du 14 Juillet, mais, après avoir un temps hésité sur le choix du format, il a décidé, à la dernière minute, de s'adresser aux Français dix jours plus tard, depuis la Nouvelle-Calédonie, où il est en déplacement cette semaine. En plein cœur de l'été, au moment où les Français partent ou rentrent de vacances et depuis le territoire le plus éloigné de la métropole, à quelque 17 000 kilomètres de Paris.

Par conséquent, l'entretien a dû être réalisé en duplex, avec un léger temps de décalage entre les questions et les réponses du président – les deux présentateurs des journaux de 13 heures de TF1 et de France 2, Jacques Legros et Nathanaël de Rincquesen, n'ayant pas eu le temps de se rendre à Nouméa. Cette distance et ce temps de latence donnaient à cette intervention télévisée un air de visioconférence estivale.

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Pédagogie par la répétition

Mais ce cadre inédit et ce timing audacieux – s'exprimer après ou avant le 14 Juillet, c'est s'exposer au risque d'avoir une faible audience – permettent également de créer un effet de contraste avec les (nombreuses) précédentes interventions du président de la République, la dernière datant du dernier conseil des ministres, il y a seulement trois jours. « En choisissant de s'exprimer un 24 juillet depuis Nouméa, sur un ton assez solennel, il casse une routine de communication qu'il avait installée, observe Isabelle Veyrat-Masson, spécialiste de la communication politique et directrice de recherche au CNRS. Toutefois, le président sait qu'il ne renversera pas la table. C'est juste un nouveau point d'étape, un moment qui permet de répéter les acquis du gouvernement et de mettre en avant ses résultats. »

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Sur le fond, rien de nouveau. Le président de la République a peu ou prou répété ce qu'il dit depuis plusieurs mois : le gouvernement est au travail, les résultats sont là et la Première ministre, Élisabeth Borne, a sa confiance, les « 100 jours » sont un succès, etc. « Il y a eu parfois des jours avec et il y a eu aussi des jours sans, mais le gouvernement a avancé, décidé, fait passer des textes, été efficace, ce qui justifie ce choix de confiance pour Madame la Première ministre », a-t-il notamment déclaré.

Macron-Borne : qui tient vraiment l'autre ? « La stratégie, depuis plusieurs mois, semble consister à répéter constamment la même chose, en espérant que cela finisse par avoir un impact sur l'opinion. Il fait de la pédagogie par la répétition. Mais pour que le message soit reçu, encore faut-il afficher des priorités et fixer un cap clair. Or, que retient-on de cette intervention ? » pointe Isabelle Veyrat-Masson.

​ C’est une intervention salade niçoise : c’est bon, c’est de saison et on y trouve de tout, mais ça ne résout pas les problèmes.Philippe Moreau-Chevrolet

« C'est très scolaire et, comme toujours, fourre-tout. Il a parlé des 100 jours, de la police, de l'éducation, de l'inflation, de la planification écologique, de la hausse des prix de l'électricité et j'en passe. C'est une intervention salade niçoise : c'est bon, c'est de saison et on y trouve de tout, mais ça ne résout pas les problèmes. Il donne l'impression de botter en touche en attendant la rentrée », abonde Philippe Moreau-Chevrolet, professeur en communication à Sciences Po.

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Le chef de l'État a veillé à tenir un discours très consensuel, contournant, par exemple, la polémique sur les propos du directeur général de la police nationale, Frédéric Veaux, dans les colonnes du Parisien – ce dernier souhaite la libération d'un policier de la BAC de Marseille incarcéré dans le cadre d'une enquête sur des violences policières commises en marge des émeutes. Il s'en est tenu à son « en même temps », affirmant qu'il fallait « entendre cette émotion » des policiers, dont plus de 900 ont été blessés pendant les émeutes, tout en rappelant que « nul en République n'est au-dessus de la loi. »

« Il ne dit rien d'engageant. Il prépare le terrain pour un été tranquille. Alors que Chirac et Mitterrand avaient réagi assez rapidement et vivement lorsqu'un DGPN [directeur général de la police nationale, NDLR] faisait une telle déclaration, Macron refuse de prendre clairement position. C'est assez étonnant », souligne Philippe Moreau-Chevrolet.

« L'ordre, l'ordre et encore l'ordre »

Alors qu'on attendait qu'il dresse un bilan complet de ces émeutes, Emmanuel Macron s'en est tenu à son diagnostic, largement partagé car convenu sur le fond : cette crise a témoigné d'une crise de « l'autorité » à laquelle il faut répondre par « l'ordre, l'ordre et encore l'ordre ». Et d'estimer que l'ensemble de la nation – pas uniquement l'État, mais également les familles, les collectivités locales, les associations, etc. –, devait apporter une réponse collective à ces « difficultés ». Et le président de rappeler que ces émeutes n'ont duré « que » quatre nuits, alors que celles de 2005 avaient duré plus de trois semaines.

Mort de Nahel à Nanterre : pourquoi les banlieues s'enflammentEmmanuel Macron ne s'est pas davantage prononcé sur le récent remaniement. Tout juste s'est-il borné à accorder quelques bons points à son ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, qui espérait une promotion à Matignon. « Il a banalisé son remaniement et banalisé cette intervention. On n'en retiendra certainement pas grand-chose mais cela a au moins permis de montrer qu'il était à pied d'œuvre pour préparer la rentrée », conclut Isabelle Veyrat-Masson.

Ce président de cette Veme république devenue monarchique usée obsolète ne rempli plus le rôle de soutien de la France et des Français depuis 65 ans mais surtout depuis + de 40 ans et l’après MITTERAND qui avait lui aussi raté ses 2 septennats !?

De ses défauts à par l’inaction dû à sa procrastination pathologique qui semble incurable c’est le plus grand bavard s’écoutant parler dont il ne sort rien dans la réalité concrète pour le pays et ses concitoyens !?

Cette dernière intervention télévisée aux antipodes de la France en est la preuve il ressasse ses propos déjà entendus !?

Mais surtout avec une bonne couche de bienpensant hypocrite donneur de leçons hypocrites qu’il veut donner à tout le monde car il ne manque pas d’air et d’aplomb et à l’international personne ne l’écoute plus !?

Et donc comme il a été réélu par défaut par des Français qui peut être craignaient le lendemain qu’il ne pourra pas changer ne sachant pas le faire à part ce « y’a qu’à faut qu’on » ou il regarde la France sombrer depuis des décennies avant lui qui n’a fait que prendre la suite ?!

A son crédit bien élevé avec une intelligence qui peut leurrer certains Français qui avalent tout qu’il utilise mal qui présente bien son bon chic bon genre parlant plusieurs langues qui lui sert notamment à discourir et converser avec le reste des chefs d’états mondiaux (qui ne l’écoutent pas et même se moquant de lui) et lui font croire qu’il a raison et les autres torts sans oublier certains médias français qui le défendent en censurant les internautes qui ont le courage de le critiquer car en désaccord avec sa politique ou les autres qui ne se sont pas rendu compte avec cette V eme république avoir donné trop de pouvoir à nos dirigeants de tous bords !?

« Les carottes sont cuites » jusqu’en 2027 mais les Français l’ont mérité !?

PAUVRE France ET FRANÇAIS LAMBDA DE PEU……

Jdeclef 25/07/2023 10h30

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