mardi 18 juillet 2023

Si les Français masochistes aiment les coups de pied aux culs qu’ils baissent leur pantalon c’est ce qu’ils font de mieux mais surtout qu’ils ne se plaignent pas en attendant peut-être une démocrature qui les empêchera en plus de parler car tout peut arriver quand ils donnent trop de pouvoir à un seul homme (la différence est mince !?)

 


Pourquoi Emmanuel Macron conforte Élisabeth Borne à Matignon (sans surprise !?)

En maintenant sa Première ministre, le président acte l’impossibilité d’élargir sa majorité et choisit le statu quo, au risque de l’immobilisme.

RESULTAT SANS SURPRISE DE LA PART DE CE PRESIDENT CONFIRMANT SON INUTILITE A GOUVERNER LA (petite France !)

on la disait « démonétisée », « cramée », sur un siège éjectable depuis l'épisode calamiteux des retraites. Encore davantage « affaiblie » depuis la subite crise des émeutes durant laquelle elle n'a pas existé. Et pourtant, après des semaines d'hésitation, et à l'approche du terme de la période des « cent jours » qu'il a lui-même décrétée, Emmanuel Macron a décidé d'accorder un sursis à Élisabeth Borne. Au nom de la « stabilité » et du « travail de fond », a justifié l'Élysée, dans un communiqué laconique, lundi soir. Un remaniement à la marge doit être annoncé d'ici la fin de la semaine.

Remaniement : Élisabeth Borne sauvée par les émeutes ? « Le président achète du temps », décode un membre du premier cercle. « Il meurt d'envie de la changer, mais il n'a pour l'instant aucune solution idéale, et son remplacement aurait pu être interprété comme une sanction à l'égard de la cheffe du gouvernement. Renverser Élisabeth Borne, c'était la mettre en accusation. » Autrement dit : après avoir été choisie par défaut l'année dernière, la voilà autorisée à poursuivre sa mission, faute de meilleur joueur sur le banc de touche.

En maintenant l'ex-préfète à Matignon, Emmanuel Macron prend par ailleurs acte de l'échec de l'élargissement de sa majorité, qu'il avait pourtant appelé de ses vœux à la mi-avril. Un rapprochement, voire un accord de gouvernement avec la droite a été un temps sur la table, avant d'y renoncer, faute de bataillons de députés Les Républicains suffisamment prêts à toper pour assurer au président un dispositif politique stabilisé à l'Assemblée. Le statu quo permet toutefois de ne pas déstabiliser la majorité, d'autant qu'une partie de l'aile gauche menaçait de faire sécession en cas de nomination d'une personnalité LR ou ex-LR.

Une simple exécutante

À un profil jugé plus politique, comme Gérald Darmanin ou Richard Ferrand, le chef de l'État a préféré au contraire jouer la continuité et conforter une Première ministre d'exécution, qui ne cultive aucune ambition. Dans une interview au Parisien le 8 juillet, Élisabeth Borne s'est ainsi vantée d' « avoir délivré ». « Elle est sans odeur, sans saveur », se lamente-t-on au gouvernement. En lévitation et suspendue à l'arbitrage présidentiel depuis des semaines, la Première ministre a fortement perdu en autorité sur ses troupes. Le remaniement devrait lui redonner un peu d'oxygène.

« Le président a tiré une conclusion simple des vingt ans écoulés : la fonction de Premier ministre est morte. C'est être hors sujet que de penser qu'un maintien ou un changement de Premier ministre pèse sur le cours d'une histoire qui n'est écrite que par le président Macron. Que Borne parte ou reste, ça ne change rien dans la Ve République Macron. Tout part et ramène au président », expose un conseiller du chef de l'État. Emmanuel Macron veut continuer à exister, et à exister seul, de préférence.

Un an d'Élisabeth Borne à Matignon : le chemin de croixAutre critère jouant en faveur d'Élisabeth Borne : le calendrier. Le locataire de l'Élysée n'a finalement aucun intérêt à changer de Premier ministre maintenant, si tôt dans son second quinquennat, alors que se profile une rentrée particulièrement dangereuse pour l'exécutif. « Pas de nouvel élan, budget compliqué, économies importantes qui ne vont pas plaire aux Français, pas de cap clair », liste-t-on dans un ministère important. Conscient des obstacles à venir, « le président n'a pas voulu griller trop tôt la cartouche d'un changement de Premier ministre », au risque de devoir à nouveau en changer dans moins de six mois. Dans cette logique, autant « user » Élisabeth Borne jusqu'au bout, qui se vit elle-même comme un « fusible ».

Le retour des 49.3 à répétition fait par ailleurs craindre au camp présidentiel le spectre du vote d'une motion de censure qui renverserait le gouvernement. Les Républicains ont réitéré leurs menaces ces derniers jours. Dans cette hypothèse, Emmanuel Macron pourrait alors dissoudre l'Assemblée.

Nouveau départ

Reste une question. Cette confirmation marque-t-elle un nouveau départ pour le couple exécutif ? Depuis les retraites, les relations entre eux se sont fortement dégradées. « Intellectuellement, ça ne colle pas. Il est un artiste littéraire, elle est une ingénieure scientifique. Ce n'est pas son truc, il ne peut pas la supporter, c'est presque physique », décrit un proche du chef de l'État.

« On a un président en roue libre » : Macron et Borne à couteaux tirésSi elle se targue d'avoir fait voter 47 textes au gouvernement en un an en nouant des accords au cas par cas, Élisabeth Borne va se heurter à la difficulté qu'elle s'est elle-même imposée, celle d'avoir recours au 49.3 uniquement pour des textes budgétaires. Or, sur l'épineux chantier de l'immigration, l'exécutif n'a à ce stade pas trouvé de majorité.

 

Cela ne fait que confirmer son inutilité de président qui ne sait pas agir pas choisir pas décider et pas diriger le pays ni le protéger (ce qui correspond à ces Français incurables qui l’on réélu le prenant pour ce qu’il n’est pas !?)

Car mauvais politicien mauvais chef d’état et en plus bavard fat s’écoutant parler pour ne rien dire !?!

Le problème étant que le pays va de plus en plus mal et que les Français ne veulent pas s’en rendre compte préférant faire l’autruche en se mettant la tête dans le sable !?

Et ces Français qui restent les « bien-pensant donneurs de de leçons hypocrites » préférant leur politique du petit chacun pour soi égoïste et se fichant de la France notre beau pays qui glisse dans une ornière qui se creuse pour devenir à terme un puit sans fond depuis + de 40 ans et qui y arriverons avant qu’il ne soit trop tard !?

Car la clique de notre président beau chic bon genre petit bourgeois parvenu se prenant pour un monarque sans couronne eux s’en sortiront toujours car il ne sera pas le 1er d’autres avant lui l’on fait aussi cette mauvaise politique car ils ont toujours eus des citoyens stupides qui les élisent et réélisent à chaque élections présidentielles (inutile de parler de partis politiques de tous bords inutiles ringards et leurs leaders cela dure dans cette Veme république et avant et même après de Gaulle usée devenue monarchique comme sous l’ancien régime ?!)

Car les citoyens n’ont aucun amour propre comme nos dirigeants et gouvernements de tous bords qui se succèdent depuis des décennies septennat ou quinquennat à qui ils donnent trop de pouvoir qu’ils utilisent mal (sauf pour eux) il serait tant de dire la vérité plutôt que bavasser en discours creux et appeler un chat un chat !?)

Jdeclef 18/07/2023 12h22LP

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