mardi 25 juillet 2023

Le miracle des faits divers latents dans notre France ou l’insécurité quotidienne devient courant de cette délinquance ou voyoucratie devenant dangereuse que nos autorités dites régalienne ne savent plus gérer car corsetés par la bienpensante des donneurs de leçons hypocrites qui nous gouvernent ?!

 

Jeune femme défigurée à Toulouse : « Un coup de sang qui a fini dans le sang »

Balafrée par un tesson de bouteille et rouée de coups par un groupe d’adolescents à Toulouse, Anissa, 19 ans, est une nouvelle victime d’un contexte d’ultraviolence.

Notre gouvernement et nos dirigeants depuis des décennies croient que tout le monde est « beau et gentil » en France alors que c’est le contraire avec cette voyoucratie et délinquances diverses car eux sont enfermés dans leur tour d’ivoire de bienpensant faisant de la mauvaise politique qui nuit au peuple dont certains livrés à eux-mêmes veulent faire leurs lois !?

D’ailleurs la racaille qui devait soi-disant être karcherisée par un de nos ex ministre de l’interieur devenu président de notre république se porte bien !?

Par notre envoyée spéciale à Toulouse, Alice d'Oléon

L'agression d'Anissa, 19 ans, défigurée par une mineure, s'est déroulée dans la nuit de mercredi 19 au jeudi 20 juillet 2023 sur la place du Capitole à Toulouse (Haute-Garonne) © Charly Triballeau/AFP

La ville est rose et les accents chantants. En milieu d'après-midi, la place du Capitole, dans le centre-ville de Toulouse, fourmille de touristes et de passants qui flânent sous le ciel chargé de cette fin juillet. L'air est moite et les glaciers ont du succès. La place est bordée de boutiques et de cafés qui ne désemplissent pas. Difficile d'imaginer la scène qui s'est déroulée ici il y a quelques jours et le déchaînement de violence inouïe qui a défiguré une jeune femme.

Alors qu'ils flânaient dans la nuit tiède, mercredi 19 juillet, en rentrant de soirée aux alentours de 3 heures du matin, Anissa, Dorian et deux de leurs amis, tous âgés de 19 ans, se sont fait sauvagement agresser sur cette fameuse place par un groupe d'adolescents.

Le début de l'altercation a lieu à la sortie du métro : « Demande de cigarette, échanges de regards, propos mal interprétés », retrace le procureur dans un communiqué. Le ton monte, Anissa et ses amis décident de s'éloigner mais le deuxième groupe les suit jusque devant l'hôtel de ville, où une rixe éclate en face du restaurant McDonald's qui a fermé quelques heures auparavant, comme tous les autres établissements alentour.

Les coups pleuvent. Dorian est à terre, frappé à multiples reprises, il regarde son amie se faire tabasser sans pouvoir intervenir. L'une des assaillantes, une jeune de 14 ans, brise une bouteille et se rue sur Anissa qu'elle frappe avec le tesson tranchant. Anissa est lacérée de toute part. « Il faut imaginer beaucoup de sang et des lambeaux de peau », insiste l'avocate des deux victimes, Hélène Pronost.

Dans son cabinet installé à quelques encablures de la place du Capitole, l'avocate souligne l'état encore très fragile des deux jeunes gens, profondément affectés, aussi bien physiquement que psychologiquement. Anissa « fait des cauchemars tout le temps, elle ne sort pas de chez elle », Dorian est très accablé et « il est impossible, à ce jour, d'évaluer quelle sera l'ampleur de leur traumatisme ».

Anissa, inscrite dans une agence de mannequinat locale, était en pleine phase de shooting pour son book, explique son avocate. « Il faut espérer pour elle que ce ne sera pas disgracieux mais elle portera quand même les stigmates de cette attaque pour le restant de sa vie », avance-t-elle.

« Chemin de croix »

Comme en écho à la statue du Christ entourée d'hortensias que l'on aperçoit depuis sa fenêtre, l'avocate décrit « le chemin de croix » que traversent les victimes d'agression. Revivre la scène encore et encore en se soumettant à de multiples constats et auditions est une période douloureuse et ses clients sont en plein dedans.

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Ce qui explique pour partie leur refus de parler à la presse, précise-t-elle : « Ils en sont encore à passer des IRM, c'est trop précipité. » Les parents des deux jeunes gens ont missionné l'avocate pour qu'elle verrouille l'accès à leurs enfants. Ni Anissa ni Dorian ne répondent aux messages envoyés sur leurs profils Twitter ou Instagram, surtout depuis que la polémique a enflammé la toile.

De fait, alors qu'elle venait tout juste d'être soignée en ambulatoire à l'hôpital de Purpan, la jeune femme prend en photo ses cinquante points de suture et ses innombrables lésions pour les publier sur son fil Twitter, où la vue de son visage tuméfié ne manque pas de susciter les réactions.

« Violence sauvage et barbare »

Très vite, la question affleure : pourquoi ? Comment expliquer une telle barbarie ? La Dépêche du Midi, qui révèle l'information le 21 juillet, fait état d'un « motif futile » à l'origine de l'escalade : la tenue vestimentaire d'Anissa « n'était pas correcte », selon l'un des agresseurs. C'est la thèse que relaie également Dorian dans le texte qui accompagne la cagnotte en ligne qu'il a lancée pour rendre « justice à Anissa », agressée « pour une tenue dite “vulgaire” ».

Un motif qui n'est en revanche pas du tout corroboré par les conclusions de la police, insiste une source proche de l'enquête. Aucun témoin n'a fait référence à la tenue vestimentaire de la jeune femme. L'avocate des victimes abonde en ce sens : « À ma connaissance, il s'agit de violence gratuite qui ne peut être expliquée. Un coup de sang qui a fini dans le sang », résume Hélène Pronost.

Mais la machine est lancée. Très vite, la question des origines des agresseurs enflamme Twitter lorsqu'Anissa poste un message à ce sujet : « Malheureusement, encore une fois, des Maghrébins, et pourtant j'en suis aussi une, et ça me déchire le cœur de devoir dire que ce sont des gens de ma communauté qui m'ont fait ça. » Elle se rétracte cependant bien vite devant l'ampleur du tourbillon médiatique et politique qui s'ensuit.Un homme condamné à un an de prison ferme pour des appels à l'émeute sur Snapchat

Émilion Esnault, adjoint au maire de Toulouse et chargé de la police municipale, s'émeut sur Twitter : « Cette violence sauvage et barbare est inacceptable ! » ; le maire de la ville, Jean-Luc Moudenc (LR), apporte immédiatement son soutien aux victimes de ces « violences inqualifiables », tout comme la députée LFI Danielle Simonnet qui dénonce une « agression sexiste d'une violence inouïe », ou le premier secrétaire du PS, Olivier Faure, qui partage le lien vers la cagnotte lancée par Dorian. « Quelle que soit la cause, elle est terriblement disproportionnée par rapport à la scène de violence qui a suivi », constate l'avocate des victimes.

« Acharnement »

Sur la place du Capitole, au Grand Café Albert, dont la terrasse s'étend sur la moitié de l'esplanade, les serveurs ont entendu parler de l'affaire. L'un d'entre eux est un « copain de soirée » de Dorian, qui le décrit comme un jeune homme sans histoires « pas du tout bagarreur ». Mais personne n'était sur place au moment des faits. Tous les autres cafés étaient aussi fermés à cette heure tardive. Mais tous s'étonnent de voir une telle escalade de violence éclater devant la mairie où les caméras de vidéosurveillance quadrillent la place.

C'est d'ailleurs grâce aux images de vidéosurveillance que la police municipale a été alertée cette nuit-là. À l'arrivée des forces de l'ordre, le calme est vite revenu et quatre agresseurs ont été interpellés, tous connus des services de police : deux filles âgées de 14 et 16 ans et deux garçons de 16 et 17 ans. Trois d'entre eux sont placés sous surveillance judiciaire et celle qui a porté les coups de tesson est placée en détention provisoire.

« J'étais ligoté » : Donnarumma raconte le calvaire qu'il a subiEn cause, la gravité des faits, des circonstances aggravantes de « réunion » et d'« utilisation d'arme » mais aussi ses antécédents. Âgée d'à peine 14 ans, elle est considérée comme trop dangereuse pour ne pas être incarcérée. Elle devra répondre de ses actes le 17 août devant le tribunal pour enfants de Toulouse.

« Comment des mineurs peuvent-ils être aussi violents ? » s'insurge Hélène Pronost. « C'est ce geste répétitif d'acharnement qui fait aussi que la violence de cette scène est extrême », précise l'avocate, pour qui cette agression serait restée sous silence si les auteurs n'étaient pas tous mineurs. Quelques semaines seulement après les émeutes urbaines qui ont émaillé le pays où des jeunes, parfois très jeunes, ont saccagé, pillé et détruit, « le contexte social a forcément son importance », souligne-t-elle.

C’est bien le président qui a dit l’ordre l’ordre et l’ordre ?!

Plutôt blablabla…

Il a oublié l’insécurité insécurité et insécurité flagrante mais comme il n’aime pas s’occuper du régalien police justice il a oublié celle -ci etc…

On se demande d’ailleurs à quoi il veut ou peut s’occuper à part bavarder ?!

Et surtout les répressions qui devraient être induites et sévères par cette même justice et son code pénal inadapté avec ces castes de magistrats en mentaux rouge à col d’hermine d’une autre époque qu’il faudrait vraiment reformer et dépoussiérer !?

Le bon gros ministre de la justice à obtenu une rallonge budgétaire substantielle bon point pour la justice mais déjà absorbée par la pénitentiaire gouffre sans fond car les prisons sa coute et le nombre d’incarcération n’est pas à la hauteur car pas appliqué totalement avec le retard accumulé cela ne suffit pas car il faut plus d’effectif et une refonte drastique du code pénal en matière de sanction car tant que la voyoucratie n’aura pas peur de la police de la justice et des sanctions sévères et surtout appliquées ces drames exemples de l’insécurité quotidienne présente en France perdurera !?

Jdeclef 25/07/2023 13h15

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