dimanche 23 juillet 2023

L’Amérique des USA OTANIENNE s’est fait piéger par Poutine et sa Russie asservie à sa botte comme l’était l’ex URSS d’après la guerre froide et cette Europe occidentale qui croyait à une paix éternelle dans un monde de bisounours gogos ou l’argent est roi !?

 

Ce que l’Amérique pense vraiment de la guerre en Ukraine ?!

Les États-Unis adoptent une position moins passionnée que l’Europe vis-à-vis de la Russie. Peut-être devrions-nous nous en inspirer.

DE TOUTE FACON L’EUROPE ET LA France EST A LA REMORQUE DES USA POUR SA DEFENSE ET ELLE COURE MAINTENANT POUR SE REARMER COMME NOTRE PAYS ET NOTRE PRESIDENT QUI EST CHEF DE NOS ARMEES UNE FUMISTERIE DE PLUS DE NOTRE CONSTITUTION DE CETTE VEME REPUBLIQUE MONARCHIQUE MAIS QUI N’Y CONNAIT RIEN EN MATIERE MILITAIRE ?!

(Et on se demande entre autres chose pour gouverner diriger et protéger les Français !?)

je viens de passer plusieurs semaines aux États-Unis. En ce qui concerne la guerre en Ukraine, j'ai été frappé de la différence d'ambiance qui y règne par rapport à l'Europe.

Géographie oblige, le conflit y est beaucoup moins présent, que ce soit dans les médias ou dans les conversations de tous les jours. On éprouve de la sympathie pour les Ukrainiens, mais à aucun moment je n'y ai senti la passion que l'on ressent parfois de ce côté-ci de l'Atlantique. L'impression générale est que les États-Unis font ce qu'il faut, mais je n'ai jamais entendu un interlocuteur proposer d'aller plus loin dans cette voie. D'ailleurs, perce quelquefois un doute sur le fait que les intérêts des États-Unis y soient en jeu. Ce pays est vacciné pour un certain temps contre les aventures extérieures.

Rapport de la CIA : Russie, « la plus grande menace depuis des décennies »

Par ailleurs, la volonté de défendre l'Ukraine dépend du parti auquel on adhère. La moitié des républicains accepteraient que l'Ukraine fasse des concessions territoriales pour mettre rapidement fin à la guerre, alors que 79 % des démocrates sont prêts à prolonger celle-ci pour éviter ce dénouement. La division est évidente lorsqu'on écoute les dirigeants de l'opposition. Ce n'est pas seulement Trump mais toute la garde montante de son parti qui manifeste son scepticisme sur la nécessité de soutenir l'Ukraine.

Seuls les républicains, « à l'ancienne », tiennent un autre discours, mais « les électeurs ne sont pas de leur côté », a affirmé un sénateur trumpiste, Hawley, du Missouri. Dans ce contexte, beaucoup pensent qu'il serait difficile de faire voter, en pleine année électorale, un nouveau paquet financier en faveur de l'Ukraine après l'épuisement des 50 milliards accordés, dont 40 ont déjà été dépensés. « C'est aux Européens de le faire », ai-je souvent entendu.

« Victoire totale » ?

Si on se tourne maintenant vers les experts, les journalistes et les membres de l'administration, j'avais déjà noté que le chef d'état-major de l'armée américaine avait déclaré à deux reprises qu'il ne pensait pas que les Ukrainiens pourraient recouvrer les territoires perdus cette année, mais j'ai été frappé de constater que la plupart de mes interlocuteurs m'ont dit ne pas croire à une « victoire totale » de l'Ukraine ni estimer d'ailleurs que ce devrait être l'objectif de la politique américaine. Les Russes se sont enterrés derrière plusieurs lignes fortifiées et pratiquent cette défensive pour laquelle ils ont toujours été doués. Ils ont tiré les leçons de leurs échecs et font payer cher à leur ennemi le moindre progrès.

Les Américains n'excluent pas qu'ici ou là, les Ukrainiens puissent réaliser des percées locales qui leur permettent d'avancer de plusieurs dizaines de kilomètres, mais ce ne serait, en aucun cas, décisif et le coût en hommes et en matériel en serait extrêmement lourd. Les mêmes combats reprendraient un peu plus loin. À leurs yeux, l'hypothèse la plus probable reste la poursuite de la guerre pour de longs mois, voire des années, avec son cortège de morts et de dévastations. Or, ils ne veulent pas d'un embourbement dans un conflit en Europe. Leur priorité n'est pas là, elle est en Asie. Elle a pour nom la Chine.

Dans ce contexte, ils apportent leur soutien à l'offensive en cours non comme une étape vers une victoire mais comme un moyen d'améliorer la situation de l'Ukraine dans la perspective d'une éventuelle négociation avec la Russie, puisque les termes refléteraient le rapport des forces sur le champ de bataille.

Négociation ne veut pas dire capitulation

D'ailleurs, les Américains ont, certes, aidé massivement le pays agressé mais, on ne l'a pas assez souligné, ils l'ont fait avec retenue sur les types d'armes transférées malgré les demandes ukrainiennes et les pressions de certains Européens. Ils n'ont cédé que pas à pas comme on l'a encore récemment vu avec les F16. Mais c'est le récent sommet de l'Otan qui illustre le mieux cette détermination à ne pas se laisser entraîner dans une escalade. Ils n'ont pas hésité à s'opposer à toute automaticité de l'entrée de l'Ukraine dans l'organisation, quitte à refuser de suivre leurs alliés européens et à provoquer le mécontentement public de Zelensky. En effet, ils savent qu'elle aurait risqué de susciter l'intransigeance russe et de fermer la porte à toute négociation. Ils n'ont par ailleurs jamais pris explicitement position sur la Crimée.Guerre en Ukraine : ce que changent les F-16 et les missiles ScalpC'est une évidence, vu des États-Unis, que Joe Biden veut se sortir de ce conflit le plus rapidement possible, autant par préoccupation stratégique de répondre au défi chinois que par souci d'éviter de mener une campagne électorale en temps de guerre. Ce n'est pas un hasard si des contacts officieux ont été récemment conduits avec la Russie par l'intermédiaire de personnalités dont nul ne peut croire qu'elles s'y soient aventurées sans l'aval intéressé de la Maison-Blanche. Comme nul, en Occident, n'imagine la poursuite de la guerre contre la volonté des États-Unis ou même sans eux, les Européens devraient peut-être sortir du registre des vœux pieux et en venir à une analyse réaliste de la situation et à la conclusion de la nécessité de tout faire pour ouvrir le plus rapidement possible une négociation. Négociation ne voulant en aucun cas dire capitulation…. Après tout, essayer ne coûterait rien.

La question est mal posée comme d’habitude par le POINT et sa rédaction inféodée au pouvoir en France !?

Car c’est au peuple américain si diffèrent et cosmopolite selon c’est 50 états si différents de ce grand pays qui veut par sa puissance et son passé guerrier une guerre de sécession et ces 2 guerres mondiales pour donner des leçons et jouer au gendarme du monde mais avec un gros caillou qui a grossi dans leur chaussure la Chine devenue 2eme puissance mondiale mais ces USA  sans publier leurs échecs cuisants la partition des 2 Corées non réglées depuis 1953 et leur déroute au Vietnam avec en plus récent la fuite de BIDEN en AFGANISTAN et le retour des Talibans !?

J.BIDEN est un bon grand pépère qui semble raisonnable mais qui distribue de l’armement au compte-goutte pour cette guerre Russo Ukrainienne aux portes de l’Europe qui est un  gouffre financier pour cet OTAN US épouvantail insuffisant pour l’instant pour stopper la Russie poutinienne !?

Et pour compléter ce commentaire l’élection présidentielle approche at la réélection de BIDEN n’est pas acquise et son conçurent déjanté D.TRUMP veut se représenter et a encore une bonne quantité de fans qui voterons pour lui car n’ayant  pas accepté le résultat de l’élection de BIDEN qu’ils disent truquée!?

Pour résumer ces deux vieux candidats devraient passer la main car usés car la gérontocratie style URSS n’est pas la marque des USA ?!

Ces américains du peuple doivent mieux voter que ne l’on fait les Français pour leur président car le monde instable va mal et les USA en sont un pion important des pays libres puissants et encore démocratiques qui peut encore protéger l’Europe occidentale !?

De plus les américains lambda ne veulent plus envoyer leurs jeunes boys de par le monde (car ils ont déjà beaucoup donné) et de plus l’argent roi compte bien plus que de le dépenser en guerres inutiles et donc c’est pour cela que « l’America First » est prioritaire pour leur bien être quotidien !?

Jdeclef 23072023 10h19

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1 commentaire:

  1. Pauvre hebdo que ce POINT qui censure arbitrairement tous commentaires qui n'entrent pas dans le moule des idées orientées et bornées de sa rédaction c'est pitoyable et surtout inutile !

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