dimanche 18 février 2024

Et alors Messieurs des gouvernements actuels et passés de cette Veme république cette fameuse dette de plus de 3000 milliards d’euros elle ne fait qu’augmenter et ses beaux Messieurs si beaux parleurs ils continuent « à courir après leurs queues » comme des chiens perdus (excuser SVP ma grivoiserie mais cela éclaire la lanterne des Français qui ne veulent pas voir la réalité !?)

 

Alerte rouge sur la dette : le duo Attal-Le Maire face au défi des économies ?!

RÉCIT. Alors que la conjoncture économique se dégrade, l’Élysée, Matignon et Bercy ont multiplié les conciliabules pour acter une série de mesures que Bruno Le Maire présentera dimanche soir.

Par Mathilde Siraud

Publié le 17/02/2024 à 19h18, mis à jour le 17/02/2024 à 19h59

Bruno Le Maire et Gabriel Attal ont multiplié les rendez-vous ces derniers jours pour s'accorder sur de nouvelles mesures d'économies. © Lafargue Raphael - Abaca

Notre pays la France va mal mais le monde libre et démocratique aussi car mal gouverné et mal protégé par des poignées de dirigeants et politiciens de tous bords qui ne pensent car leurs privilèges et avantages divers liés à leurs fonctions que l’ont leur a donné ainsi qu’à notre président qui a trop de pouvoir !?

C'est l'une des nouveautés de l'ère Attal. Le Premier ministre a souhaité instaurer un rendez-vous hebdomadaire avec le patron de Bercy, Bruno Le Maire. Un point traditionnel et somme toute classique entre le chef de gouvernement et le ministre de l'Économie et des Finances, qui avait toutefois disparu sous le bail d'Élisabeth Borne.

Par chance, le nouvel hôte de Matignon et le numéro deux de l'exécutif s'entendent bien. Ils ont eu l'occasion de tisser une relation de confiance, voire de nourrir une forme de complicité durant les quatorze mois où Gabriel Attal occupait le portefeuille des Comptes publics et du Budget. « On est sur la même ligne », se félicite en privé Bruno Le Maire, à propos de son cadet.

Entraide et solidarité

L'ancien candidat à la primaire de la droite, décidément dévoué, n'hésite d'ailleurs pas à glisser quelques conseils au sémillant trentenaire. « Si j'étais toi, voilà ce que je ferais… » Il voulait sa place, Gabriel Attal le sait. Mais il lui démontre chaque jour sa disposition à l'aider. « Ils ont tout intérêt à travailler ensemble, ils se renforcent mutuellement », observe un député qui les connaît bien.

Aquilino Morelle : « Comment barrer la route de Marine Le Pen » De l'entraide et de la solidarité, voilà ce dont ces deux-là vont en effet avoir bien besoin. Cette semaine, ils ont échangé quotidiennement, se sont vus un jour sur deux. Et pas vraiment pour évoquer de bonnes nouvelles. Plutôt du sang et des larmes. Les sujets d'argent, c'est toujours compliqué, même dans le plus harmonieux des couples, et d'autant plus quand les caisses sont vides.

Après des années de « quoi qu’il en coûte », des chèques à n’en plus finir, et avec une prévision de croissance pour 2024 sur le point d’être revue à la baisse, des recettes en moins mais toujours plus de dépenses, le gouvernement se retrouve au pied du mur. Exsangue, alors que trois agences de notation – S & P, Moody’s et Fitch – doivent se prononcer sur la dette de la France (plus de 3 000 milliards d'euros) au printemps. « Ça sent mauvais… », redoute-t-on au gouvernement.

Bercy favorable à un texte budgétaire

L'objectif affiché de réaliser 12 milliards d'euros d'économies dans le prochain budget paraît d'ores et déjà insuffisant. En réalité, c'est plus de vingt milliards d'euros que le gouvernement cherche à récupérer, pour ne pas laisser filer le déficit. Bruno Le Maire a déjà annoncé le 21 janvier la fin progressive du bouclier tarifaire sur les tarifs de l'électricité et du gaz, mesure à même de rapporter six milliards d'euros de recettes.

Le Premier ministre et le patron de Bercy ont passé le message sans détour lors du séminaire gouvernemental, le 9 février : dorénavant, aucun membre de l'exécutif n'est autorisé à annoncer de nouvelles dépenses sans validation au préalable de Matignon et du ministère de l'Économie. Bruno Le Maire, qui a présenté à ses collègues la situation économique de la France, est même allé plus loin, en poussant pour l'adoption d'un projet de loi de finances rectificative (PLFR), propre à envoyer des signaux puissants.

« C'est simple, si on n'a pas de PLFR, on se fera dégrader », a-t-il argué, selon des sources ministérielles. Ses services avaient commencé à en élaborer le contenu. Le rapporteur général du budget, Jean-René Cazeneuve, y était lui aussi favorable.

Le sujet a fait débat au sommet de l'État. Selon nos informations, une réunion s'est tenue mardi matin à l'Élysée. Emmanuel Macron avait convoqué à 10 heures Gabriel Attal, Bruno Le Maire et Thomas Cazenave, ministre des Comptes publics. Le secrétaire général de la présidence, Alexis Kohler, était présent. Ainsi que les directeurs de cabinet des participants.

Un PLFR avant les européennes, c’est une bombe.Une source gouvernementale

L'option d'en passer par un PLFR a été écartée par le chef de l'État et le Premier ministre, au profit de mesures d'ordre réglementaires, de gels de crédits dans tous les ministères. L'examen d'un texte budgétaire dans un contexte de majorité relative à quelques semaines des élections européennes a été jugé trop sensible politiquement, surtout aux yeux de Matignon. « Un PLFR avant les européennes, c'est une bombe », résume-t-on au gouvernement.

Son adoption aurait en effet nécessité l'activation de 49.3, cinq au total, soit autant de risques de sauter sur une mine. « Les Républicains n'ont pas supporté le débauchage de Rachida Dati, la séquence de la loi immigration. On a bien compris qu'au premier texte dur, il pourrait déposer une motion de censure. On ne peut pas se permettre de les provoquer. Le correctif budgétaire attendra », décrypte un conseiller de l'exécutif.

« La dégradation de la conjoncture économique ainsi qu'un PLFR peuvent être deux bonnes raisons pour les LR, qui jouent leur va-tout aux européennes, de tout faire péter », abonde une figure de la majorité. Selon nos informations, Gabriel Attal a déjeuné en tête-à-tête avec Éric Ciotti, patron des LR, jeudi. Nul doute que la question inflammable des finances publiques était au menu.

« Aller chercher du fric partout »

Exit le PLFR, Matignon et Bercy ont donc planché toute la semaine sur le plan d'économies que Bruno Le Maire présentera dimanche soir, sur le plateau du JT de TF1. Selon Les Échos, son montant devrait atteindre au moins 10 milliards d'euros, pour permettre de respecter l'objectif d'un déficit public de 4,4 % du PIB en 2024, 2,7 % en 2027. L'Opinion évoque une prévision de croissance pour cette année revue à la baisse, à 0,9 % au lieu de 1,4 %.

« Il va falloir aller chercher du fric partout, résume un acteur du dossier. Sans que ça ne pénalise trop les Français, et en allant vite. » Thomas Cazenave a annoncé la couleur à un député qu'il a croisé mercredi Place Vendôme lors de l'hommage à Robert Badinter : « On va taper très fort, très vite. »

Selon nos informations, une dernière réunion d'arbitrage s'est tenue vendredi en fin de journée, à Matignon. « Il n'y a eu ni bras de fer ni querelle. Simplement la volonté d'étudier le plus et le moins de chaque mesure. Si les marchés voient qu'on laisse filer les déficits, on peut avoir une réaction en chaîne sur le taux d'emprunt et nous cherchons à tout prix à l'éviter », rapporte un protagoniste.

 Le roman noir de la dette : de la glissade de Giscard à la cagnotte de ChiracEntre 2017 et 2023, les dépenses de santé ont augmenté de 100 milliards d'euros. Les crises n'ont évidemment pas aidé, même s'il faut bien reconnaître que « des mauvaises nouvelles ont été prises à tous les niveaux », se lamente-t-on dans la majorité. En 2024, la répercussion de l'inflation sur les prestations sociales et les pensions de retraite a entraîné une charge financière de 25 milliards d'euros supplémentaires pour l'État. Colossal, quand l'on pense que la hausse de la franchise médicale de cinquante centimes d'euros, en vigueur au 31 mars prochain, ne rapportera « que » 800 millions d'euros d'économie.

« Ni brutaliser ni faire peur »

Le cabinet de Bruno Le Maire s'est questionné sur le format de l'annonce. Une intervention grand public sur le plateau du 20 Heures de TF1, un dimanche soir, a été préférée à une interview dans la presse économique, pour mieux frapper les esprits. « C'est pour tirer la sonnette d'alarme, il y aura un avant et un après », souffle un conseiller du pouvoir.

Le ministre de l'Économie ne veut « ni brutaliser ni faire peur », selon son entourage, « mais présenter la réalité de la situation économique », sachant que l'Allemagne, partenaire numéro un de la France, dégrade aussi ses projections macro-économiques. « Bruno Le Maire s'expose, assume, et c'est courageux », félicite le député Renaissance Louis Margueritte, un ancien du cabinet Bercy.

« Les oppositions vont forcément nous attaquer. De même qu'il est possible de parvenir à un consensus sur la situation internationale, on devrait pouvoir avoir un consensus sur les besoins de financement et sur la situation économique », déplore son collègue Jean-René Cazeneuve, qui s'attend à de vives polémiques.

J’assumerai toujours les économies qu’il y a à faire Bruno Le Maire

Bien que la dette soit le cadet des soucis des Français – préoccupation loin derrière celles du pouvoir d'achat ou de l'immigration dans les sondages –, Bruno Le Maire a fait savoir en privé qu'il « assumera toujours les économies qu'il y a à faire ». Mais que, fidèle à la ligne qu'il s'est fixée depuis sept ans qu'il est à Bercy, aussi longtemps qu'il sera en poste, il n'augmentera pas les impôts.

Pourtant, la question de la fiscalité fait débat au sein du gouvernement et de la majorité. Un ministre comme Gérald Darmanin, par exemple, serait favorable à une taxation des plus riches ou des plus grosses entreprises. Il l'a d'ailleurs rappelé lors du séminaire gouvernemental du 9 février, au cours duquel Catherine Vautrin, la ministre du Travail et de la Santé a, elle, ciblé le problème de « l'assistanat », sous les regards horrifiés de ses collègues de l'aile gauche. Selon nos informations, le Premier ministre Gabriel Attal va, lui aussi, hausser le ton sur la question des finances publiques. « Nous devrons tous faire des efforts pour éviter la catastrophe », a-t-il d'ores et déjà prévenu dans Le Parisien, la semaine dernière.

Crise de la dette – Le Maire devrait-il claquer la porte ? Reste une question, que beaucoup au cœur du pouvoir se posent : au moment où le chômage risque de repartir à la hausse, où la perspective d'une hausse des impôts apparaît, où le risque d'une dégradation de la note de la dette française se fait sentir, quel intérêt pour Bruno Le Maire, ministre du « quoi qu'il en coûte », de rester en poste pour imposer un tour de vis ?

Au moins, l'ancien élu de droite aura prévenu. « Soit il impose ses mesures, soit il part. Il ne sera pas comptable d'une faillite de l'État », répond un parlementaire qui l'apprécie et loue sa « solidité ». « Bruno Le Maire est prêt à affronter des vents difficiles. Il est en train de construire quelque chose d'unique par sa longévité à Bercy. Il s'installe sous les radars comme un homme d'État. C'est un atout majeur », approuve le député Renaissance Charles Sitzenstuhl, proche du ministre. Malgré l'annonce de la hausse des prix de l'électricité, Bruno Le Maire conserve en effet son statut de ministre le plus populaire. Une cote toutefois en recul de quatre points au mois de février, selon le baromètre BVA Xsight pour RTL.

Avec ces deux là LEMAIRE faux jeton patenté et menteur à ses heures qui s’est très bien bavarder sur les plateaux télés pour enfumer le bon peuple gogos incurables bon public et le petit minet ATTAL notre premier ministre bon chic bon genre toujours avec son sourire marionnette inféodée à notre président indéboulonnable jusqu’en 2027 rien ne peut changer et s’empirera jusqu’à la fin de ce quinquennat de plus inutile (et peut être après avec d’autres !?)

Car en plus avec ces J.O. de PARIS 2024 avec qui ils espèrent redorer le blason français depuis longtemps terni en redressant la situation de la société française malade à tous les niveaux de son fonctionnement ou tous les postes de la vie quotidienne pas seulement la dette pharaonique qu’il sera impossible de rembourser et dont le fossé qui s’agrandit devient un gouffre insondable voire mission impossible !?

Le vase est déjà trop plein de cette mauvaise gestion gouvernementale et sa non protection aussi du peuple lambda qui ne veut pas regarder la vérité en face ce qui semble la réalité mais cela sera trop tard si rien ne change tant pis pour les Français lambda et leur pays que moi vieux Français j’aime qui subit cette Veme république depuis le début devenue monarchique avec ces monarques dignes de l’ancien régime !?

Je souhaiterais sincèrement me tromper mais comme notre système électoral ne sert qu’aux sortants avec une fausse majorité relative qui ne représente plus une vraie majorité à notre assemblée nationale par des Français qui ne savent plus choisir ni voter car individualistes et privilégiant « le chacun pour soi » dévastateur fait beaucoup de mal et donc « les carottes sont trop cuites dans ce mauvais pot au feu » typiquement Français « de peu » comme dit notre président qui les dédaigne !?

Jdeclef 18/02/2054 15h42 LP

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