vendredi 9 février 2024

Le spectacle de cette fumisterie de énième remaniement gouvernemental digne de notre président théâtreux se termine sans innovation que l’on n’attendait pas d’ailleurs !?

 

Le festival surréaliste de François Bayrou !?

Sophie Coignard
Journaliste

LA CHRONIQUE DE SOPHIE COIGNARD. Depuis lundi, le « faiseur de rois » s’est transformé en faiseur d’embrouilles. Pour atteindre, ce jeudi 8 février, une sorte d’extravagante apothéose.

Publié le 09/02/2024 à 07h07

Les FRANÇAIS sont vraiment de veaux comme disait de Gaulle et quand on pensent que certains de ses politiciens de tous bords se recommande de lui alors que beaucoup de l’ont même pas connus c’est lamentable donc il ne faut pas s’étonner si notre pays va si mal que l’on écoute même plus à l’étranger sans parler de notre situation politique intérieure et notre vie quotidienne dans notre société de Français lambda qui s’en va à vau l’eau car mal gouvernée mal dirigée et mal protégée depuis cette « macronnie » de 2017 et même avant depuis + de 40 ans !?

ALORS ATTENDONS PIRE : car cela devient de plus en plus dur de comprendre nos compatriotes pour les Français de ma génération devenant ancienne comme moi grand père que l’on appelait « baby boomeurs » ce qui nous fait une belle jambe ?!..)

François Bayrou est agrégé de lettres classiques. Il connaît donc le sens des mots. François Bayrou est un responsable politique aguerri. Il mesure donc la portée de ses paroles. Alors pourquoi ? Pourquoi semble-t-il s'acharner, depuis l'annonce de sa relaxe, lundi dernier, à mettre à mal sa crédibilité et à ternir son image ? Pourquoi s'évertue-t-il à marquer contre son camp, au risque de s'exclure du jeu ?

Tout commence lundi après-midi, lors de l'annonce de sa relaxe dans une affaire judiciaire qui dure depuis sept ans. Il est humain que le soulagement puisse conduire à la fanfaronnade. Blanchi par la justice, il n'a toutefois pas un mot pour les élus ou les dirigeants de son parti qui ont été condamnés. Il était leur chef au moment des faits, mais ne paraît nullement gêné de n'avoir pas été au courant de ce qui se passait dans son propre parti. Une désinvolture à mettre sur le compte de l'euphorie, peut-être.

 Pourquoi François Bayrou a-t-il été relaxé ?

Sans attendre, il multiplie les sorties médiatiques dans lesquelles il n'exclut pas d'entrer au gouvernement. L'Éducation nationale, lui demande-t-on ? Pourquoi pas…

Les rencontres au sommet se succèdent, le microcosme s'agite, le remaniement traîne un peu plus en longueur… Et puis, mercredi soir, peu avant 20 heures, patatras. L' « allié historique », le « faiseur de rois » sans qui Emmanuel Macron n'aurait peut-être pas pu être élu en 2017, choisit de déclarer la guerre dans un communiqué à l'AFP. Il assure ne pas pouvoir « accepter d'entrer au gouvernement » faute d' « accord profond sur la politique à suivre ». Il canarde Gabriel Attal, évoquant sur l'Éducation nationale « une différence d'approche qui (lui) paraît rédhibitoire » , puis déplorant « le gouffre qui s'est creusé entre la province et Paris […] et la distance désormais de plus en plus grande entre les citoyens et l'action publique ». Il indique avoir refusé le ministère des Armées, ce qui ne peut que contribuer à la bonne ambiance au sein de l'exécutif.

 Remaniement : comment l'opération retour de Bayrou a capoté

« Politiquement inepte » et « moralement dégradant »

François Bayrou fragilise ainsi un gouvernement dans lequel il entend néanmoins placer le plus grand nombre possible de ministres MoDem. Première incongruité. Une situation embarrassante, comme ne manque pas de le souligner une figure éminente et respectée de son parti, Jean-Louis Bourlanges, président de la commission des Affaires étrangères à l'Assemblée nationale, dans un communiqué vengeur : « Le MoDem est en pleine incohérence. François Bayrou a décidé sans aucune concertation d'afficher un désaccord de fond avec la majorité présidentielle tout en recommandant à ses députés de rester à bord et de participer au gouvernement  ! Si nous n'étions vraiment pas satisfaits de la place qui nous est proposée, il eût été envisageable de pratiquer le soutien sans participation. Nous sommes en train de choisir l'inverse : la participation sans le soutien. Ce qui revient à affaiblir dangereusement notre camp tout en nous discréditant nous-mêmes. C'est politiquement inepte et moralement dégradant. »

Procès du MoDem : « Ils peuvent faire appel, il n'y a rien », réagit François Bayrou

Peu avant la publication de ce texte, François Bayrou a donné, il est vrai, le pire de lui-même dans une interview à France Info, où il souffle sur les braises d'un populisme qu'il prétend combattre de toutes ses forces, soulignant « la rupture en France de plus en plus grave entre la base et les pouvoirs », réprouvant une « musique de fond » orchestrée par l'exécutif selon laquelle « les enseignants ne travaillent pas assez ». Mais surtout, il s'enferre dans des explications incompréhensibles sur un « déséquilibre politique » qu'il dénonce sans parvenir à l'expliquer : « J'essaie de faire que quand il faut dire stop il y a une dérive. Le moment est venu de remettre les choses à l'endroit et de rappeler pourquoi nous sommes là. »

Pourquoi, en effet ?

On lit dans ces articles « Du Point » une réflexion que l’on peut retenir pour la nomination de ce énième gouvernement de cette « macronie » de petits bourgeois comme notre président après le dernier épisode du fat F.BAYROU gonflé d’orgueil ridicule car oui : c’est un gouvernement « plan-plan » insipide sans saveur ni innovation qui en fait ne satisfait pas ce vieux politicien usé qui profite de se poste ou il ne fait pas grand-chose en tant que justement « commissaire au plan » dans cette usine à gaz étatique de fonctionnaires nombreux de l’état Français et protège en plus les ministres qui restent en place de son parti le MODEM une vaste fumisterie qui montre que notre président qui a trop de pouvoir en fait que lui ont donné les Français lambda sans même sans rendre compte dans cette Veme république devenue pseudo monarchique se moque ouvertement des Français lambda (dont beaucoup n’y comprennent rien) dans ces jeux de chaises musicales à chaque remaniement exercice dont abusent nos présidents passés et présents depuis que cette Veme république depuis + de 65 ans devenue pseudo monarchique qui existe  avec un roi sans couronne à sa tête, car le 1er ministre n’étant qu’un collaborateur comme avait dit un ex président qui lui a raté sa réélection !?

Certains de nos concitoyens ne vont même plus voter car se disant que cela ne sert à rien ce qui convient à notre président qui l’ont élu et réélu mais qui préférait peut-être une démocrature totalitaire bien que ne décidant rien avec sa procrastination pathologique qui lui colle à la peau !?

Cela ne risque pas de changer à d’ici 2027 et même après va savoir avec ces Français incurables qui ne savent plus voter ni choisir correctement leurs dirigeants (tant pis pour eux !?)

Jdeclef 09/02/2023 10h53

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