Le festival surréaliste
de François Bayrou !?
LA CHRONIQUE
DE SOPHIE COIGNARD. Depuis lundi, le « faiseur de rois » s’est
transformé en faiseur d’embrouilles. Pour atteindre, ce jeudi 8 février,
une sorte d’extravagante apothéose.
Publié le
09/02/2024 à 07h07
Les FRANÇAIS
sont vraiment de veaux comme disait de Gaulle et quand on pensent que certains
de ses politiciens de tous bords se recommande de lui alors que beaucoup de l’ont
même pas connus c’est lamentable donc il ne faut pas s’étonner si notre pays va
si mal que l’on écoute même plus à l’étranger sans parler de notre situation
politique intérieure et notre vie quotidienne dans notre société de Français
lambda qui s’en va à vau l’eau car mal gouvernée mal dirigée et mal protégée
depuis cette « macronnie » de 2017 et même avant depuis + de 40 ans !?
ALORS
ATTENDONS PIRE : car cela devient de plus en plus dur de comprendre nos compatriotes
pour les Français de ma génération devenant ancienne comme moi grand père que l’on
appelait « baby boomeurs » ce qui nous fait une belle jambe ?!..)
François
Bayrou est agrégé de lettres classiques. Il connaît donc le sens des mots.
François Bayrou est un responsable politique aguerri. Il mesure donc la portée
de ses paroles. Alors pourquoi ? Pourquoi semble-t-il s'acharner, depuis
l'annonce de sa relaxe, lundi dernier, à mettre à mal sa crédibilité et à
ternir son image ? Pourquoi s'évertue-t-il à marquer contre son camp, au
risque de s'exclure du jeu ?
Tout commence lundi après-midi, lors de l'annonce de sa relaxe dans
une affaire judiciaire qui dure depuis sept ans. Il est humain que le
soulagement puisse conduire à la fanfaronnade. Blanchi par la justice, il n'a
toutefois pas un mot pour les élus ou les dirigeants de son parti qui ont été
condamnés. Il était leur chef au moment des faits, mais ne paraît nullement gêné
de n'avoir pas été au courant de ce qui se passait dans son propre parti. Une
désinvolture à mettre sur le compte de l'euphorie, peut-être.
Pourquoi François Bayrou a-t-il été relaxé ?
Sans attendre, il multiplie les sorties médiatiques dans lesquelles il
n'exclut pas d'entrer au gouvernement. L'Éducation nationale, lui
demande-t-on ? Pourquoi pas…
Les rencontres au sommet se succèdent, le microcosme s'agite, le remaniement
traîne un peu plus en longueur… Et puis, mercredi soir, peu avant
20 heures, patatras. L' « allié historique », le « faiseur
de rois » sans qui Emmanuel Macron n'aurait peut-être pas pu être élu en
2017, choisit de déclarer la guerre dans un communiqué à l'AFP. Il assure ne pas pouvoir
« accepter d'entrer au gouvernement » faute d' « accord profond
sur la politique à suivre ». Il canarde Gabriel Attal, évoquant sur
l'Éducation nationale « une différence d'approche qui (lui) paraît
rédhibitoire » , puis déplorant « le gouffre qui s'est creusé entre
la province et Paris […] et la distance désormais de plus en plus grande entre
les citoyens et l'action publique ». Il indique avoir refusé le ministère
des Armées, ce qui ne peut que contribuer à la bonne ambiance au sein de
l'exécutif.
Remaniement : comment
l'opération retour de Bayrou a capoté
« Politiquement inepte » et « moralement dégradant »
François Bayrou fragilise ainsi un gouvernement dans lequel il entend
néanmoins placer le plus grand nombre possible de ministres MoDem. Première
incongruité. Une situation embarrassante, comme ne manque pas de le souligner
une figure éminente et respectée de son parti, Jean-Louis Bourlanges,
président de la commission des Affaires étrangères à l'Assemblée nationale,
dans un communiqué vengeur : « Le MoDem est en pleine incohérence.
François Bayrou a décidé sans aucune concertation d'afficher un désaccord de
fond avec la majorité présidentielle tout en recommandant à ses députés de
rester à bord et de participer au gouvernement !
Si nous n'étions vraiment pas satisfaits de la place qui nous est proposée, il
eût été envisageable de pratiquer le soutien sans participation. Nous sommes en
train de choisir l'inverse : la participation sans le soutien. Ce qui
revient à affaiblir dangereusement notre camp tout en nous discréditant
nous-mêmes. C'est politiquement inepte et moralement dégradant. »
Procès du MoDem :
« Ils peuvent faire appel, il n'y a rien », réagit François
Bayrou
Peu avant la publication de ce texte, François Bayrou a donné, il est vrai,
le pire de lui-même dans une interview à France Info, où il souffle sur les
braises d'un populisme qu'il prétend combattre de toutes ses forces, soulignant
« la rupture en France de plus en plus grave entre la base et les
pouvoirs », réprouvant une « musique de fond » orchestrée par
l'exécutif selon laquelle « les enseignants ne travaillent pas
assez ». Mais surtout, il s'enferre dans des explications
incompréhensibles sur un « déséquilibre politique » qu'il dénonce
sans parvenir à l'expliquer : « J'essaie de faire que quand il faut
dire stop il y a une dérive. Le moment est venu de remettre les choses à
l'endroit et de rappeler pourquoi nous sommes là. »
Pourquoi, en effet ?
On lit dans ces articles
« Du Point » une réflexion que l’on peut retenir pour la nomination
de ce énième gouvernement de cette « macronie » de petits bourgeois
comme notre président après le dernier épisode du fat F.BAYROU gonflé d’orgueil
ridicule car oui : c’est un gouvernement « plan-plan » insipide
sans saveur ni innovation qui en fait ne satisfait pas ce vieux politicien usé qui
profite de se poste ou il ne fait pas grand-chose en tant que justement « commissaire
au plan » dans cette usine à gaz étatique de fonctionnaires nombreux de l’état
Français et protège en plus les ministres qui restent en place de son parti le
MODEM une vaste fumisterie qui montre que notre président qui a trop de pouvoir
en fait que lui ont donné les Français lambda sans même sans rendre compte dans
cette Veme république devenue pseudo monarchique se moque ouvertement des Français
lambda (dont beaucoup n’y comprennent rien) dans ces jeux de chaises musicales à
chaque remaniement exercice dont abusent nos présidents passés et présents depuis
que cette Veme république depuis + de 65 ans devenue pseudo monarchique qui existe
avec un roi sans couronne à sa tête, car
le 1er ministre n’étant qu’un collaborateur comme avait dit un ex président
qui lui a raté sa réélection !?
Certains de nos concitoyens
ne vont même plus voter car se disant que cela ne sert à rien ce qui convient à
notre président qui l’ont élu et réélu mais qui préférait peut-être une démocrature
totalitaire bien que ne décidant rien avec sa procrastination pathologique qui
lui colle à la peau !?
Cela ne risque pas de changer à d’ici 2027 et même après va savoir avec ces Français incurables qui ne savent plus voter ni choisir correctement leurs dirigeants (tant pis pour eux !?)
Jdeclef 09/02/2023 10h53
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire