lundi 19 février 2024

Nous ces citoyens FRANÇAIS MRS ET DAMES « tout le monde » nous élisons et réélisons des classes politiques et leurs partis médiocres pilotées par des dirigeants incapables issus de cette Veme république usée redevenue monarchique comme sous l’ancien régime qui profitent de leurs avantages et privilèges alors ne nous plaignons pas car c’est de notre faute !?

 

Le roman noir de la dette : l'argent facile de Hollande, l'argent magique de Macron ?!

Les crises s’enchaînent. Sarkozy restera le président de la dégradation de la note française. Sous Hollande, on s'habitue à l'argent facile, Macron se fera, lui, le champion de l'argent magique.

Par Philippine Robert

Publié le 16/01/2024 à 08h00, mis à jour le 19/02/2024 à 09h57

(Petite métaphore !?)

LES FRANCAIS SONT DEVENUS CAR SI BETES A BOUFFER DU FOIN QUI N’EST PLUS DANS LES RATELIERS DE LEURS FERMES ET DONC ILS SONT COMME DES CHEVEAUX QUI NEN N’ONT PLUS ILS VONT EN VENIR A SE BATTRE CELA A DEJA COMMENCE EN FILIGRANE AVEC CETTE INSECURITE GRANDISSANTE OU CERTAINS VEULENT FAIRE LEURS LOIS ?!

Nicolas Sarkozy et François Baroin, alors ministre de l’Économie, en 2011. © DAMOURETTE/SIPA
En 1974, l'État présentait pour la dernière fois un budget en excédent. Depuis, cinquante ans se sont écoulés et la France est constamment dans le rouge… Avec désormais plus de 3 000 milliards d'euros de dette et des taux d'intérêt qui grimpent, la France aura bien du mal à préparer l'avenir : d'ici à 2027, la charge de la dette va devenir le premier poste de dépense de l'État, devant l'éducation ou l'armée ! Voici le second volet de ce roman noir qui court sur cinq décennies et a vu défiler six présidents de la République. Après Valéry Giscard d'Estaing, François Mitterrand et Jacques Chirac, plongée dans les mandats de Nicolas Sarkozy, François Hollande et Emmanuel Macron.

2007-2012. Sarkozy, le président de la dégradation

13 janvier 2012. Un vendredi noir pour l'exécutif. Nicolas Sarkozy est président de la République, François Fillon Premier ministre, François Baroin ministre de l'Économie et des Finances. Il est 10 h 30, un SMS s'affiche sur le téléphone de ce dernier. Ramon Fernandez, le directeur du Trésor, lui demande de le rappeler de toute urgence. Une mauvaise nouvelle attend le pays : l’agence de notation Standard & Poor’s s’apprête à dégrader la note de la France de AAA à AA +.

Dette de la France : pourquoi le pays a conservé sa note

Ce n'est pas totalement une surprise… Avec la crise des subprimes, ce krach financier lié à des prêts hypothécaires américains et qui a contaminé le reste du monde, notre déficit s'est considérablement creusé (dépassant même les 7 % en 2009) et notre dette s'approche dangereusement des 90 % du PIB. Nous ne sommes d'ailleurs pas les seuls. Même les États-Unis ont perdu leur triple A quelques mois auparavant ! Sur le Vieux Continent, la tempête venue d'outre-Atlantique en a entraîné une autre dans son sillage… Depuis de longs mois, la zone euro est prise au piège d'une crise de la dette souveraine qui menace les pays périphériques et la pérennité de l'union monétaire. Les investisseurs doutent. Faut-il continuer à prêter à ces États trop dépensiers ? Résultat, les taux d'intérêt se tendent et la dette augmente d'autant. Un cercle vicieux qui menace la France…

Ce mauvais bulletin de notes n'aura finalement pas de conséquences désastreuses. « Le moment a été désagréable, mais la dégradation de la France avait déjà été intégrée par le marché, et nous l'avions accompagnée en documentant par exemple nos mesures d'économie », se souvient François Baroin. Les investisseurs ont continué à prêter à la France et, un an plus tard, la France s'endettait même à un coût bien inférieur ! Cet épisode a néanmoins marqué la sortie de la France du club des pays les plus solides financièrement…

Il serait trop facile de tout mettre sur le dos de la crise : la France a payé en 2012 le résultat d'une quarantaine d'années de mauvaise gestion. Nicolas Sarkozy ne s'est pas démarqué de ses prédécesseurs par une utilisation précautionneuse des deniers publics. Il s'est certes choisi un Premier ministre incarnant la rigueur, François Fillon, et a confié à Éric Woerth, ministre du Budget entre 2007 et 2010, la difficile tâche de lancer la RGPP, la révision générale des politiques publiques, destinée à réduire les dépenses. « La crise a mis un coup d'arrêt à cette réforme de l'État, il fallait une sacrée énergie pour la mener : demander de faire des efforts ne suscite jamais de l'enthousiasme, et de nombreux collègues freinaient des quatre fers », se souvient, l'œil malicieux, Éric Woerth, le désormais questeur de l'Assemblée nationale, dans son bureau de la rue de l'Université, avant de filer en séance.

Le roman noir de la dette : de la glissade de Giscard à la cagnotte de Chirac

Mais, au tout début de son mandat, Nicolas Sarkozy a surtout été le président des baisses d'impôt, avec sa loi Tepa (défiscalisation des heures supplémentaires, allègement de la fiscalité sur les successions, etc.). Tout en annonçant à nos partenaires européens qu'il faudrait attendre un peu avant le retour à l'équilibre… « Sa stratégie était d'augmenter la croissance plutôt que de réduire les dépenses », analyse l'un de ses anciens conseillers. Tiens, cette tactique ne vous rappelle rien ? La même qu'Emmanuel Macron. Dans les deux cas, elle s'est heurtée au mur d'une… crise.


La charge de la dette


Les prélèvements augmentent, les dépenses aussi


La France, parmi les moins bons élèves

Un solde budgétaire négatif depuis 1974


La dette de la France depuis 1974

 

2012-2017. Hollande, la grande addiction

20 août 2013. Ce matin-là, Pierre Moscovici, ministre de l'Économie et des Finances, fait sa rentrée médiatique sur les ondes de France Inter. Pendant ses vacances, il n'a entendu parler que de cela : les Français en ont marre de payer toujours plus d'impôts ! Il faut dire que le président Hollande n'a pas hésité à dégainer l'arme fiscale (hausse de l'impôt sur le revenu, sur le patrimoine, des cotisations sociales…) pendant la première année de son mandat pour combler un déficit qui atteignait encore les 5 % en 2012… Et voilà que certains ministres veulent encore appuyer sur cette gâchette dans le prochain budget ! Alors, le locataire de Bercy lance une grenade qui tient dans l'invention d'un nouveau concept : « Je suis très sensible à ce ras-le-bol fiscal que je ressens de la part de nos concitoyens, qu'ils soient des ménages, des consommateurs ou des entreprises. » En sortant du studio radio, il sait qu'il a franchi la ligne jaune et que ses jours à Bercy sont comptés… Quelques mois plus tard, il est remplacé par Michel Sapin aux Finances et par Arnaud Montebourg à l'Économie.

Mais sa sortie n'aura pas été vaine : le gouvernement Valls finit par lancer un plan de baisse des dépenses de 50 milliards d'euros entre 2015 et 2017 ! « La mesure la plus efficace a été de réduire de 12 milliards la dotation aux collectivités territoriales », juge le spécialiste des finances publiques François Écalle. Le déficit se résorbe. En 2017, si le président Macron peut se vanter d'avoir atteint les 3 %, une première depuis dix ans, c'est grâce aux efforts de son prédécesseur. Mais hélas, ce n'est pas suffisant pour empêcher la dette de continuer à gonfler… Elle dépasse la barre symbolique des 2 000 milliards d'euros. Entre 2012 et 2017, elle bondit de 90 à 98 % du PIB.

Y aurait-il une fatalité en la matière ? Non, il s'agirait plutôt d'une longue liste d'occasions manquées… Car, si le début du quinquennat Hollande a été difficile (croissance en berne, chômage élevé), le président socialiste a bénéficié ensuite d'un « alignement des planètes » (chute du prix du pétrole, dépréciation de l'euro) bénéfique pour l'économie et le redressement des comptes publics… Avec une mention spéciale pour le niveau historiquement bas des taux d'intérêt, provoqué par la politique monétaire ultra-expansionniste de la Banque centrale européenne (BCE). Une véritable baguette magique, comme l'explique aujourd'hui Michel Sapin : « C'était un phénomène incroyable : la dette augmentait et pourtant la charge de celle-ci diminuait grâce à la baisse des taux d'intérêt. Nous étions tous drogués à l'argent pas cher, même les économistes les plus libéraux qui nous disaient auparavant qu'il fallait se désendetter. » Un effet addictif qui contaminera aussi le quinquennat suivant…

Depuis 2017 : Macron, le champion de l'argent magique

5 avril 2018. Emmanuel Macron visite le CHU de Rouen (Seine-Maritime). Une aide-soignante interpelle le président de la République sur le manque de moyens des hôpitaux. « Il n'y a pas d'argent magique », rétorque le locataire de l'Élysée. Une scène qui semble appartenir à un autre monde. Celui d'avant la crise du Covid… À l'époque, le président du « en même temps » – né en 1977, il n'est donc pas contemporain d'un budget de l'État français à l'équilibre – fait de la bonne gestion des deniers publics son cheval de bataille et bénéficie d'une conjoncture favorable, dopant les recettes de l'État. La dette reste en deçà du chiffre fatidique des 100 % du PIB. Cette année-là, le déficit reflue même jusqu'à 2,3 % du PIB, son plus bas niveau depuis 2001, et la France sort de la procédure pour déficit excessif ouverte contre elle par la Commission européenne en 2009. Mais, encore une fois, les bonnes résolutions des débuts vont être rapidement oubliées…

Pour soutenir l’économie pendant la crise sanitaire, Emmanuel Macron (ici, à la caisse primaire d’assurance-maladie de Créteil, en mars 2021) ouvre grand le carnet de chèques et met l’économie sous perfusion. © Jacques Witt/SIPA

La crise des Gilets jaunes en 2018 et la pandémie mondiale en 2020 auront comme effet l'ouverture des robinets budgétaires avec la doctrine française du « quoi qu'il en coûte » qui permet de maintenir l'économie à flot (le déficit atteint les 9 % du PIB et la dette frôle les 115 % du PIB en 2020). Elle sera suivie ensuite en 2022 d'aides massives destinées à contrer la hausse des prix de l'énergie à la suite de la guerre en Ukraine ; Il semble que le président Macron ait finalement trouvé de l'argent magique… Jusqu'au dur retour à la réalité : l'inflation et la politique monétaire désormais restrictive de la BCE tendent les taux d'intérêt. L'an dernier, la France a emprunté en moyenne à 3,15 %, avec un déficit légèrement sous la barre des 5 % et une dette de plus de 3 000 milliards d'euros (111,7 % du PIB au dernier comptage). L'Hexagone est à nouveau dans le viseur de Bruxelles, car elle tarde à réduire son déficit… Et l'agence Fitch a dégradé la note de la France au printemps dernier.

 Coignard – Alerte sur les finances publiques : les dangers de l'accoutumance

Pour l'année 2024, les économies annoncées paraissent conséquentes mais elles proviennent surtout de la fin des dispositifs exceptionnels mis en place pour répondre à la crise énergétique. En 2025, les efforts devront donc être massifs vu l'objectif du gouvernement : ramener le déficit à 3 % du PIB en 2027. Une tâche herculéenne : où faudra-t-il donc couper ? Dans la santé ? Les aides aux entreprises ? Raboter un peu partout ou faire des choix de coupes massives dans certains domaines ? « Il faut surtout que l'on revienne à un mode normal de gestion des finances publiques : le problème, c'est qu'après ces années d'ouverture du robinet budgétaire tout semble possible et tout le monde exige de nouveaux droits, de nouveaux services publics, donc les ministres ne cessent de demander toujours plus d'argent », soupire-t-on à Bercy. De quoi laisser penser que ce chapitre ne sera malheureusement pas le dernier de notre terrible histoire de la dette…

Après + DE 40 ANS  le mitterrandisme qui a laissé des traces trop longues de mai 1981 à mai 1995 n’ont pas été jolies comme ces jolis mois que l’on chante à la belle saison en ritournelle et jusqu’à ce jour avec cette « macronie » et son parti fantôme changeant de noms au fils des mouvements politiques du moment et par tristes habitudes sémantique de mauvaise politique pour noyer le poisson en leurrant le bon peuple encore gogo pour certains à y croire après cette gauche PS en pleine déconfiture et même avant dans cette V eme république dite gaullienne devenue monarchique comme sous l’ancien régime avec ce président petit bourgeois théâtreux hyper bavard grand donneur de leçons que personne n’écoute plus dont les autres de nos dirigeants Français passés ont profités en récidivant les mêmes erreurs jusqu’à être la risée des autres pays encore libres et démocratiques dans un monde déjà malade qui dégringole dans sa chute et  sa culture de bien-pensant qui se dégonfle comme des baudruches crevées !?

Alors là oui un événement politique d’information bien Français a été souligné de la part de Bruno Le Maire :

Ministre de l'Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique tu parles..?!

 Il a été obligé (enfin) de dire la vérité ou tout au moins une partie de celle-ci ce qui lui a été difficile à ce menteur patenté « mais comme cela commence à sentir mauvais cette « M » économique pharaonique on dit que ça pue », mais cela ne suffit plus !?

Car il est presque trop tard raison pour laquelle ce ministre parle enfin mais sans solution tout comme notre petit président bourgeois qui dédaigne ces Français lambda pas de son monde et qui ne sait pas décider diriger ni les protéger en procrastinateur pathologique tous ces Français naïfs qui n’ont rien vu venir l’ayant élu et réélu et même avant lui avec d’autres depuis que cette Veme république existe !?

PAUVRE France ET SES CITOYENS FRANÇAIS !?

Jdeclef 19/02/2023 12h09

 

 

 

 

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