Finances
publiques : le piteux retour du rabot de ce ministre LEMAIRE spécialiste
des mensonges enjolivés !?
LA CHRONIQUE
DE SOPHIE COIGNARD. Quand un gouvernement est au pied du mur budgétaire,
il rabote. Un court-termisme sans ambition qui évite de procéder aux vraies
réformes.
DE TOUTE
FACON LES FRANÇAIS AVALENT TOUT SEMBLE-T-IL CAR INIVIDUALISTES DIVISES OU « LE
CHACUN POUR SOI » PRIME CE QUI EST LEUR PRINCIPAL DEFAUT QUI FAIT LE BONHEUR
DE NOS DIRIGEANTS EN PLACES ET MEME DES POLITICIENS DE TOUS BORDS ?!
Tous les responsables politiques l'ont
dit un jour ou l'autre, la main sur le cœur : le rabot budgétaire, c'est
terminé. Sauf que tous, ou presque, y reviennent en dernier recours, quand
la réalité les rattrape. C'est ainsi que la France gère ses finances depuis
trop longtemps.
Quand la croissance est au rendez-vous, les recettes fiscales viennent remplir
les caisses – sans toutefois combler les déficits. L'exécutif se félicite alors
de ce bon millésime, mais se garde bien de profiter de la bonne conjoncture
pour procéder à des réformes structurelles, réformes destinées à assainir
durablement les comptes publics.
Plan d'économies : ces
mesures qui vont impacter les FrançaisC'est exactement le
scénario mis en scène par Bruno Le Maire depuis dimanche dernier. Au
20 heures de TF1, ce jour-là, le ministre de l'Économie et des Finances
annonce qu'il révise la prévision de croissance pour 2024 de 1,4 à 1 %.
C'est encore la fourchette haute des estimations effectuées, parfois
depuis des semaines, par plusieurs institutions : le FMI anticipe lui
aussi 1 % de croissance en France, la Banque de France et la Commission
européenne 0,9 %, l'OCDE 0,8 %…
Pour éviter une sanction sévère des marchés et des agences de notation, Bruno Le Maire annonce, dans la
foulée, 10 milliards d'euros d'économies. Avec un discours de bon sens
a priori implacable : « Comme nous gagnons moins, il faut
dépenser moins. » Il n'est pas illégitime, toutefois, de se demander
s'il n'aurait pas fallu y penser un peu plus tôt… Au moment de voter le budget
2024, par exemple.
Le deuil de la « transformation »
Pour rassurer les Français, le ministre ajoute que ces coupes ne
concerneront ni la Sécurité sociale ni les collectivités locales :
« C'est l'État qui se serre la ceinture. » Autrement dit, les
citoyens contribuables n'auront pas à en souffrir. Étrange raisonnement, quand
le discours habituel prétend que toutes les dépenses inscrites dans le
budget seront 100 % dévolues à l'intérêt général.
Annonces de Bruno
Le Maire : le tournant non assumé de la rigueurPuis
vient le moment fatidique : celui où sont détaillées les annulations de crédits.
Le Journal officiel en a publié la liste hier. Le rabot agit un peu partout,
quitte à renier aujourd'hui les priorités proclamées d'hier, notamment sur la
transition écologique ou sur l'Éducation nationale, pourtant « mère des
batailles ». Pas question, évidemment, dans l'urgence, de la moindre
réforme de structure, sans parler de la réduction du nombre de fonctionnaires,
un sujet tabou.
Qu'il est loin, le discours sur la
« transformation » qui prévalait au lendemain de la première victoire
présidentielle d'Emmanuel Macron ! Avec ce coup de rabot, ce quinquennat
se banalise un peu plus.
Quand est-ce que les
Français lambda vont ouvrir enfin les yeux ou leurs oreilles pour comprendre que
notre Président hyper bavard bienpensant donneur de leçons les enfume depuis
2017 alors qu’ils ont déjà subi un premier quinquennat vide inutile et déplorable
ou rien ne s’est passé de positif et ou ce deuxième quinquennat jusqu’en 2027 prend
le même chemin que lui ont accordé ces citoyens dont certains au café du
commerce osent dire qu’ils n’ont pas votés pour lui en le réélisant car
pleutres dégonflés ayant peut être peur du lendemain que lui ne peut leur
garantir car procrastinateur ne sachant rien décider et pire ne pouvant les
protéger correctement car la situation mondiale des autres pays libres démocratiques
occidentaux européens n’est pas florissante et continue à se dégrader sur fonds
de conflits divers larvés !?
Donc Mr LEMAIRE Ministre de l'Économie, des Finances et de la
Souveraineté industrielle et numérique (très beau titre pompeux galvaudé et immérité
par son incompétence) change ses discours et mensonges en disant des bribes de vérités
qu’il ne peut plus cacher car se voyant comme le nez au milieu de la figure à
cause de Français naïfs qui ont reconduit ce président avec aussi ces beaux
discours creux non suivi d’effets qui va encore débattre (plutôt se battre)
avec ces paysans au salon de l’agriculture qui eux pour l’instant n’ont pas avalé
ses pilules amères de promesses diverses qui ne se concrétise pas car les
caisses de l’état sont vides !?
Mais ce qui
est plus grave c’est la FRANCE et sa société de citoyens lambda dit « de
peu » comme raille notre président dédaigneux qui va très mal dans tous les
domaines dans leurs vies quotidiennes de Français du peuple par sa mauvaise
gouvernance de cette « Macronie » pétard mouillé qui a fait pschitt
trop rapidement déjà en 2017/22 !?
Jdeclef 23/02/2024
10h33
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