mardi 19 octobre 2021

Sa majesté est incurable peut être encore plus à l'approche de l’élection présidentielle : Mais il faudrait lui dire qu’on ne fait pas des paris avec la santé et vie des Français !?

 

Pass sanitaire prolongé : le projet de loi discuté à l’Assemblée

Le pass sanitaire est au cœur du projet de loi de « vigilance sanitaire » au sujet duquel les discussions s’annoncent tendues dans l’hémicycle.

Les députés se penchent à partir de mardi soir sur un 10e texte consacré à la crise sanitaire depuis mars 2020, avec à la clé la prolongation controversée du pass sanitaire jusqu’au 31 juillet 2022. L’outil, honni par une minorité de la population mais utilisé par une large majorité des Français depuis l’été, est au cœur de ce projet de loi dit de « vigilance sanitaire ». Les députés vont se prononcer sur la prolongation pour huit mois du dispositif, ce qui permettra d’enjamber la présidentielle et les législatives. Un choix qui fait hurler les oppositions.

Plus de 380 amendements ont été déposés pour cette première lecture, dont une majorité sur l’article 2 litigieux. « Ça va être tendu », pronostique le LR Philippe Gosselin. « On ne peut pas s’asseoir sur la démocratie », fustige Pierre Dharréville, l’un des porte-parole du groupe communiste. Gérard Larcher, président du Sénat à majorité de droite, a d’ores et déjà annoncé qu’il n’était « pas question de donner un blanc-seing » à l’exécutif pendant une période si longue et si sensible politiquement.

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Le Conseil constitutionnel devrait être saisi par les oppositions si le projet de loi n’évolue pas au fil de la navette parlementaire, prévue jusqu’à début novembre. Dans la rue, la contestation, qui avait rencontré un certain succès au cœur de l’été, s’essouffle en cette rentrée. Plus de 40 000 manifestants ont été comptabilisés par le ministère de l’Intérieur samedi, 67 000 selon le collectif militant Le Nombre jaune.

Contestations jusqu’au sein de la majorité

Dans l’hémicycle, la majorité devra garder un œil sur ses propres troupes. Vendredi en commission des Lois, le député LREM de Paris Pacôme Rupin, opposant résolu au pass, a grippé le projet gouvernemental en faisant adopter de justesse un amendement qui prévoit de circonscrire l’utilisation du pass sanitaire géographiquement et en fonction de l’évolution de l’épidémie. Mais comme attendu, le groupe LREM remettra l’église au milieu du village par l’entremise d’un amendement de Guillaume Gouffier-Cha.

Celui-ci prévoit de revenir à la logique nationale du pass, tout en prenant en compte plusieurs critères que les « Marcheurs » tiennent à spécifier pour justifier le recours au pass : taux de vaccination, de positivité des tests de dépistage, d’incidence ou de saturation des lits de réanimation – avec des niveaux à définir. Preuve que le groupe majoritaire souhaite faire entendre une musique un tantinet différente, tout en restant dans le tempo dicté par le gouvernement. L’allié Modem est sur la même ligne.

Coignard – Tests : la question à 5 milliards d’euros

Alors qu’un simple rapport-bilan est programmé pour la mi-février, la possibilité d’un débat au Parlement a également été inscrite dans la loi. Mais quelle forme prendra-t-il ? Gauche et droite réclament une clause de revoyure bien plus tôt. Le texte examiné sur fond de reflux de l’épidémie doit servir d’assurance tout risque pour l’exécutif, qui veut à tout prix s’épargner, en pleine campagne électorale, un procès en impréparation en cas de retournement de tendance.

Éviter une nouvelle vague en hiver

Il s’agit d'« éviter à tout prix une nouvelle vague » qui saturerait des hôpitaux en plein hiver, a dit le ministre de la Santé Olivier Véran devant les députés. Le recours au pass jusqu’au 31 juillet 2022, et aussi la possibilité de décréter territorialement l’état d’urgence sanitaire avec son cortège de restrictions, sont présentés comme une « boîte à outils » dans laquelle le gouvernement ne sera pas nécessairement obligé de puiser.

Une manière de tenter d’atténuer les critiques sur un État devenu « accro » aux régimes d’exception. « L’exceptionnel est devenu la norme », résume le député Charles de Courson (Libertés et Territoires) qui rappelle que sur les six dernières années, entre les attentats et la crise sanitaire, le pays a vécu plus de trois ans sous le régime de différents états d’urgence. Le projet gouvernemental durcit en outre les sanctions en cas de fraude au pass sanitaire, jusqu’à cinq ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende. Selon un décompte présenté par Olivier Véran, au 14 octobre, 184 procédures avaient été ouvertes pour fraude et 35 634 faux pass recensés.

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Il commet la même erreur comme en 2020 de lâcher du lest trop tôt par exemple par la suppression des masques dans certaines régions et comme les Français sont indisciplinés, c’est bien connu ils comprennent un peu vite que les virus de la Covid ont disparu voire diminué et ils relâchent leurs vigilance et même les gestes barrières, d’ailleurs on voit la baisse des ventes de gel hydroalcoolique dans les pharmacies !

Car le port du masque était une barrière parmi d’autres, pas si nombreuses et surtout la vaccination a baissée car certains indécis se disent « pourquoi se faire vacciner si la pandémie est finie » ce qui n’est pas le cas et même certains vaccinés à 2 doses se disent de ne pas le faire pour la 3 eme injection !

Les virus de la Covid et les contaminations sont en hausse partout dans les pays d’Europe chez nos voisins et en FRANCE ce qui prouve que la pandémie est là surement à cause de la belle saison qui se prolonge !

Mr le président lui ne fait que de la mauvaise politique électorale, il ne pense qu’à lui et comme il ne veux pas rendre cette vaccination obligatoire, il utilise le seul (petit) garde fous plus ou moins contrôlé dans les lieux publics la prolongation du pass sanitaire en exhortant les Français non vaccinés à le faire !

Moi qui aie 75 ans j’ai subi tous les vaccins qui étaient obligatoire et je suis encore là et j’attends ma 3 eme dose qui doit être faite en décembre suivant le délai imparti après la 2eme dose par les autorités sanitaires et mon médecin !

Un président qui ne protège pas avec volonté tous les Français n’est pas un bon chef d’état, car il ne pense qu’à sa réélection comme le dernier politicien médiocre !

Jdeclef 19/10/2021 11h47


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