dimanche 3 octobre 2021

La réponse est simple parce que ce personnage leur fait peur et risque de troubler l'organisation de cette classe politique médiocre qui traine depuis 40 ans !


 

Pourquoi la macronie s’attaque à Zemmour

Pour leur rentrée à Avignon, les Marcheurs ont tous ciblé un adversaire : Éric Zemmour, « l’ennemi politique ».

Les Marcheurs ont tout pour se réjouir. Emmanuel Macron consolide semaine après semaine son statut de favori de la présidentielle, les anti-pass sanitaire sont de moins en moins nombreux le samedi et la reprise économique est forte, malgré des inquiétudes sur la hausse des prix de l’énergie et les difficultés à recruter. Mais dans les allées du campus de rentrée de La République en marche à Avignon, les macronistes ne devisent pas sur la future campagne du chef de l’État. De toute manière, personne ne sait ce que le président a en tête pour sa réélection. Une vidéo fait parler, elle circule de portable en portable. Celle d’Éric Zemmour qui pénètre dans une salle acquise à sa cause, qui salue un public gonflé à bloc. Le polémiste était samedi à Lille pour une rencontre dans le cadre de la parution de son livre. « Des images comme ça, aucun candidat ne peut en faire autant aujourd’hui », commente un élu LREM. La veille, dans un sondage Ipsos Sopra-Steria pour Le Parisien, le candidat putatif à la présidentielle grimpait à 15 % d’intentions de vote, doublant Xavier Bertrand. « Il peut encore monter », redoute un député macroniste.

L’outrance n’est que l’art des pleutres. Quelle honte il fait au débat et à la FranceChristophe Castaner

Las, les chefs à plume ont donc haussé le ton contre l’auteur du Suicide français. À la tribune, ministres et responsables parlementaires n’avaient pas de mots assez durs pour attaquer – parfois nommément – Éric Zemmour, le « sympathisant de Vichy » dit le sénateur François Patriat, « l’aventurier du repli, du rejet, du racisme », selon le ministre de la Santé Olivier Véran, ou tout simplement « l’ennemi politique », dixit le député Christophe Castaner. Le délégué général adjoint de LREM et proche d’Emmanuel Macron, Jean-Marc Borello, a carrément comparé le nationaliste à un « virus nouveau », le faisant huer par les quelque 4 000 militants. Ce virus « se traduit par des désordres mentaux, un peu de machisme, un peu de racisme, un peu d’homophobie », a ciblé Borello. « J’ai repéré la maladie et nous allons la combattre, car ça s’appelle l’arrivée de la peste brune. » « L’outrance n’est que l’art des pleutres. Quelle honte il fait au débat et à la France », a vilipendé Christophe Castaner.

Le plan secret d’Emmanuel Macron pour l’Association des maires de France

En coulisses, la stratégie à adopter vis-à-vis du phénomène de cette pré-campagne fait pourtant débat. Certains estimant qu’il est vain de le critiquer en permanence, au risque de le placer encore davantage au centre du jeu et de le faire prospérer. « On parle beaucoup trop de lui, alors que ce n’est vraiment pas notre problème puisqu’il ne nous prend pas une voix, grimace un conseiller du pouvoir. Il ne faut pas s’exciter, sinon on paraîtra fébriles. » « Il est nul, et ne mérite pas qu’on parle de lui », balaie une membre du gouvernement venue de la gauche. D’autres, à l’image du délégué général de LREM Stanislas Guerini, considèrent qu’il faut « être intraitable sur les idées déclinistes et xénophobes », mais en évitant toutefois de « personnaliser la riposte ». « On a de toute évidence du mal à analyser le ressort du vote Zemmour. Il arrive par surprise, on appréhende mal », concède une ministre.

À Avignon, premier meeting de campagne de Macron… sans Emmanuel Macron

Effacer Xavier Bertrand

En réalité, décrypte un élu proche d’Emmanuel Macron, « plus on parle d’Éric Zemmour, plus les autres se concentrent sur lui, plus ça bénéficie au président de la République ». Marine Le Pen étant en difficulté, la percée du polémiste permettrait au chef de l’État de réaffirmer son clivage entre le bloc dit progressiste qu’il entend incarner et le bloc conservateur. S’attaquer à Éric Zemmour permettrait aussi au camp du président de s’unir derrière un adversaire et d’effacer, par conséquent, Xavier Bertrand de la course. « La réalité, lâche un parlementaire, c’est qu’on parle de Zemmour parce qu’on ne sait pas quoi dire d’autre. » À sept mois de l’élection présidentielle, plusieurs soutiens du président de la République pointent l’absence de vision et de projet du chef de l’État pour un second quinquennat. Car il ne suffira pas de dire du mal de ses adversaires pour donner envie aux électeurs de voter une nouvelle fois pour Emmanuel Macron.

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Leurs jeux politicards de caniveaux dont ils font avaler l'eau sale de leurs vicissitudes aux français gogos pour obtenir ces postes qu'ils espèrent décrocher si lucratifs avec les avantages dû à ceux-ci et notamment ce pouvoir pseudo monarchique dont hélas les français n'arrivent pas à se débarrasser car l'histoire ancienne de la France de plus de 2000 ans bien que l'on ne l'enseigne de plus en plus très mal dans nos écoles nous collent aux basques !

Les français d’aujourd’hui ne connaissent plus leur histoires anciennes monarchies et empires et même celle d’après-guerre mondiale voire contemporaines on ne les apprend plus correctement à l’école de la république car quoi de mieux que de rendre une population ignare qui avale tout et n’importe quoi ,donc qu’en un inconnu comme E.MACRON arrive comme les cheveux sur la soupe ou pire avec ce ZEMMOUR ce polémiste télévisuel qui jette à la face des gogos son érudition savoir et culture apprise par cœur cela peut plaire à « des gens de peu » simples comme dirait notre président !

Et donc quand des sondages médiatiques ou plateaux télé et autres organismes d’informations distillés à outrance par les médias orientés ou réseaux sociaux poubelles du net, cette campagne électorale déplorable dérape !

Les Français lambda n’arrivant pas à se débarrasser de cette V eme république obsolète qu’il faudrait changer et sont presque murs à avaler n’importe quoi ou qui tant ils sont déçus (ils auront ce qu’ils méritent. !)

Jdeclef 03/10/02021 12h54

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