Le bla-bla du 1er ministre au sujet de l’immigration en France ne convainc plus personne !

Le Premier ministre Manuel Valls sur le plateau de France 2 lors de l'émission "Des Paroles et des Actes", le 24 septembre 2015

Politique

Migrants: La France n'accueillera «pas plus que 30.000» réfugiés, annonce Manuel Valls

IMMIGRATION Le Premier ministre intervenait ce jeudi soir sur France2...

Le Premier ministre Manuel Valls a affirmé ce jeudi soir sur France 2 que la France n’accueillerait « pas plus de 30.000 » demandeurs d’asile dans le cadre du plan européen de relocalisation de ceux-ci.
« La Commission européenne a proposé des centres d’accueil de 160.000 demandeurs d’asile, ceux qui fuient la guerre et la torture. La France (…) a proposé d’en accueillir 30.000. Ça ne sera pas plus », a affirmé M. Valls.
« Il y a un double message très important à faire passer. Il y a cette tradition d’accueil, le droit d’asile. C’est un droit constitutionnel, international, inscrit au cœur même des valeurs de notre pays, de la République, de la France », a-t-il dit.

« Il faut s’organiser et s’attaquer à la source au problème »

« En même temps, il y a quelque chose d’important. Nous ne pourrons pas en Europe accueillir tous ceux qui fuient la dictature en Syrie. Il y a 20 millions de Syriens, neuf millions de Syriens déplacés dans leur propre pays, cinq millions qui pour beaucoup sont en Jordanie, en Turquie, en Libye, souvent dans des camps de réfugiés mais aussi parfois dans des villages vivant dans des conditions précaires », a poursuivi le locataire de Matignon.
« Est-ce qu’on peut aller au-delà, dire " Venez tous en Europe ? " Ce n’est pas possible. C’est pour cela qu’il faut s’organiser et s’attaquer à la source au problème », a-t-il ajouté.
D’après lui, il est « essentiel qu’il y ait ces centres d’accueil, d’identification, pour tous ceux qui demain viendront, pour distinguer ceux qui ont le droit à l’asile, et ceux qui n’ont pas le droit à l’asile, des migrants économiques qu’il faut respecter mais qu’il faudra reconduire dans leurs pays respectifs ».

Distinguer « le demandeur d’asile du migrant économique »

« Il faut faire preuve de solidarité, de générosité, d’humanité, faire vivre ce droit qu’est le droit d’asile, mais en même temps il faut maîtriser, car il y a des peurs, des fantasmes, donc c’est l’idée de la maîtrise, du sérieux, de la responsabilité », a affirmé l’ancien maire d’Evry (Essonne).
« Encore une fois, je le répète, ce sont les vues, le plan français qui se sont imposés » au niveau de l’UE lors de l’accord entre les Etats membres de l’UE mardi sur la répartition des réfugiés, a assuré le Premier ministre.
« Si tout le monde vient, on crée les conditions d’un drame humanitaire. Si nous ne distinguons pas le demandeur d’asile du migrant économique, c’est le droit d’asile qui meurt », a ajouté Manuel Valls, interpellé par une militante associative de Nice qui réclamait que la France ouvre ses frontières.
Le chef du gouvernement a également eu un échange houleux avec un ouvrier, ancien candidat UMP aux municipales à Loudun (Vienne), qui reprochait à l’inverse au gouvernement d’être trop accueillant.

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24000 en 1ere annonce qui est déjà passée à 30000 le 1er ministre est surtout dans l'incapacité de tenir parole, il essaie de préparer le terrain de ces flux incontrôlables !

Et puis ne rêvons pas : on peut changer de gouvernement, de président, de 1er ministre etc., en 2017, les suivants ne feront pas mieux, car depuis trente ans, l'immigration est un problème flagrant en France que l'on n'a pas su régler par manque de volonté et rigueur, ce n'est pas d'hier !

La France est peuplée de citoyens versatiles qui râlent, mais qui sont influencés par leurs émotions et des kyrielles de biens pensants donneurs de leçons et lotis de politiciens médiocres qui ne pensent qu'à eux !

Il faudrait déjà régler le problème à la source, c'est à dire faire une vraie guerre d'envergure au terrorisme à DAESH et ses barbares, et aux brigands de passeurs, on a laissé le mal grandir maintenant, on en paie les conséquences, il faudrait libérer du joug islamique radical les pays et les peuples concernés avec une coalition puissante et efficace, pour que ces pauvres gens ne fuient plus, et cesser le politiquement correct !

Ce n’est pas les « pichenettes » donnés à DAESH par nos peu d'avions en attendant que Mr le président Hollande en « apprenti chef de guerre » choisisse les bonnes cibles à atteindre en faisant une pseudo guerre sur carte qui changera quelque chose !

Car en plus l’Europe touchée aussi par ce fléau du terrorisme et de l'immigration galopante est désunie comme toujours !

C'est à l'occident de se mobiliser, mais sans attendre, il est déjà bien tard, et Mr le 1er ministre peut bien dire ce qu'il veut, très peu de français croient en ces paroles ou promesses d'avenir (car il suit la politique du président de la république qui ne pense qu'à sa réélection avant tout!)

DJMAI5 | 25.09.2015 à 09:21