vendredi 17 novembre 2023

J’ai connu tous les présidents de cette Veme république devenue pseudo monarchique lui est au-dessus du lot des incompétents pathologiques !?

 

Macron face à l'obsolescence programmée de son mandat ?!

LETTRE DU PALAIS. Alors que son Conseil national de la refondation (CNR) a fait long feu, les « Rencontres de Saint-Denis », dont la troisième édition a lieu vendredi, risquent de subir le même sort.

Par Mathilde Siraud

Qui a des nouvelles du Conseil national de la refondation (CNR) ? La question est devenue une boutade en macronie, tant le concept, inventé par Emmanuel Macron au beau milieu de la campagne des législatives de 2022, n'a jamais convaincu.

Censé rassembler les forces vives du pays autour des priorités du chef de l'État – école et santé, notamment, avant d'être élargi à d'autres thématiques – pour partager un diagnostic et dégager des pistes d'action concrètes, cet espace de dialogue né d'une fulgurance et d'une improvisation présidentielles n'a jamais suscité l'enthousiasme espéré..

Sommet entre Macron et les partis : comment ça s'est vraiment passé en coulissesAu Parlement comme au gouvernement, l'idée en a laissé plus d'un dans la perplexité. Pis, même à l'Élysée, on n'y croit plus… « Que voulez-vous, le président ne voudra jamais se dédire, donc tout le monde fait semblant… », décrit, las, l'un de ses proches. On se souvient de son inauguration en grande pompe au Centre national du rugby, à Marcoussis, quelques jours à peine avant de proposer une réforme des retraites… par simple amendement au budget de la Sécurité sociale. Résultat, dix-huit mois plus tard, plus personne ou presque ne s'y réfère. Un « CNR » consacré à la réponse à apporter aux émeutes s'est tenu à Matignon, début octobre. Le sigle est devenu un label marketing pour désigner une réunion grand format sur un thème défini, avec les acteurs concernés. Un « CNR » sur la santé mentale devrait ainsi se tenir prochainement.

Boycotts en série

Les « Rencontres de Saint-Denis » vont-elles subir le même sort ? Cette « initiative politique d'ampleur », selon la formule qu'avait employée Emmanuel Macron, avait été lancée à la toute fin août, dans la ville où reposent les rois de France, en Seine-Saint-Denis. Le locataire de l'Élysée avait réuni à huis clos, douze heures ( !) durant, les onze dirigeants des partis politiques représentés au Parlement, pour un échange à bâtons rompus, dans la foulée des émeutes urbaines. De quoi rappeler les interminables soirées du « grand débat », en 2019, qui avaient toutefois permis au chef de l'État de se relever de la crise des « Gilets jaunes ».

Sauf que pour cette troisième édition des « Rencontres de Saint-Denis », ce vendredi – une deuxième a eu lieu à l'Élysée le 12 octobre, consacrée au conflit au Proche-Orient et ses répercussions en France –, plusieurs participants manqueront à l'appel. Après le socialiste Olivier Faure et l'Insoumis Manuel Bompard, c'est Éric Ciotti, patron des Républicains, qui, contre l'avis d'une partie de son camp, a décidé à son tour de boycotter l'événement, dénonçant une opération de communication et prétextant ne pas avoir supporté l'absence du président à la marche contre l'antisémitisme. Dès lors, le concept paraît mort-né… « Saint-Denis avait une vertu : c'était une leçon de civilité et une négation du bruit et de la fureur mélenchoniens », observe un habitué de l'Élysée.

Guerre Hamas-Israël : la partition indéchiffrable d'Emmanuel MacronLes trois responsables des partis de la majorité – Stéphane Séjourné (Renaissance), François Bayrou (MoDem) et Édouard Philippe (Horizons) – seront présents à la Maison d'éducation de la Légion d'honneur, ainsi que le patron du Rassemblement national, Jordan Bardella, des Écologistes, Marine Tondelier, de l'UDI, Hervé Marseille, du Parti communiste, Fabien Roussel, les présidents des deux Assemblées, la Première ministre Élisabeth Borne.

Les discussions porteront, selon le communiqué de la présidence, sur les « questions internationales », « l'élargissement du champ du référendum » (le fameux article 11 de la Constitution), « la décentralisation et la déconcentration », « les possibilités de réforme constitutionnelle et de différenciation territoriale, en particulier en Corse et en Nouvelle-Calédonie ». Les élus sont convoqués à 9 h 30, aucun horaire de fin n'est indiqué et le chef de l'État compte bien prendre son temps puisque l'agenda du reste de sa journée est vide… « Cette fois-ci, je ne resterai pas douze heures, j'ai autre chose à faire ! » prévient d'emblée un convive.

On ne peut pas toujours parler pour toujours repousser la ligne d’horizonGérard Larcher, président du Sénat, au Point

En réalité, beaucoup s'interrogent sur l'utilité de la récurrence d'un tel format d'échanges, si ce n'est celle, pour le président, de se mettre en scène, d'apparaître « en saint-patron de la France », griffe un parlementaire. « Cette fois, je souhaite qu'on se fixe des objectifs. On ne peut pas toujours parler pour toujours repousser la ligne d'horizon », lâche au Point Gérard Larcher qui, contrairement à Éric Ciotti, a répondu présent vendredi. Le président (LR) du Sénat rappelle qu'une grande loi sur la décentralisation est annoncée depuis un an, que la conférence sociale sur les bas salaires n'a pour l'instant pas abouti, que la réforme des institutions faisait partie du programme d'Emmanuel Macron… En 2017. « Je veux bien être ouvert, mais à un moment il faut du concret ! » prévient-il. « À chaque fois, il nous en remet pour six mois ! On n'avance à rien… », se lamente une figure du Parlement. La fameuse procrastination macronienne, qui exaspère tant Nicolas Sarkozy…

Dévitalisation accélérée

Doublement empêché par une majorité (très) relative à l'Assemblée et l'impossibilité de se représenter pour un troisième mandat, Emmanuel Macron explore des voies paraparlementaires de dialogue, dans l'espoir de faire naître un consensus politique, de paraître moins vertical. Le chef de l'État est persuadé que les Français lui en sauront gré de se placer en surplomb des querelles politiciennes et des polémiques, cherchant à rassembler. La possibilité d'étendre le champ du référendum aux sujets sociétaux tels que l'immigration ou la fin de vie est devenue le sujet central de ces « Rencontres de Saint-Denis ». Son entourage le pousse à accélérer sur ce point, afin de montrer que ces heures de discussions ne sont pas vaines.
L'inquiétante confusion d'Emmanuel Macron sur IsraëlReste que « ce qui compte en politique, c'est l'action », assène-t-on dans un ministère de premier plan. « Saint-Denis, c'était un fusil à un coup. Il se retrouve pris à son propre piège », regrette un intime du président. Cette désaffection pour ce rendez-vous d'échanges ainsi que le scepticisme partagé sur cette instance ne seraient que les révélateurs d'un processus de dévitalisation accéléré du quinquennat. « Je me demande si le président comprend le pays… », peut-on désormais entendre dans la bouche de ses plus fervents supporteurs, en plein désarroi et interrogation sur la capacité d'Emmanuel Macron d'aller au bout de ce second mandat. Son action et ses déclarations confuses tant sur la scène diplomatique que sur le plan intérieur ont semé le trouble jusque dans son propre camp. « Il faut qu'il parle moins, qu'il prenne du champ et se recentre sur les questions essentielles » propres à sa fonction, adjure une parlementaire Renaissance.

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L’idiotie des FRANÇAIS est à la hauteur de leur président et ses gouvernements voire ces politiciens de tous bords d’une médiocrité lamentable qui sont censés gouverner le pays voire le protéger de ces situations mondiales explosives dans le monde !?

Mais étant donné qu’ils ont commis l’erreur colossale de le réélire avec ce CNR fumeux un flop retentissant ou avec la crise des gilets jaunes et ses grands débats creux et d’autres de même acabit sans compter la crise épidémique de ce COVID toujours présent et la gestion des vaccinations heureusement reprise par l’UE pour une fois car en France avec SANOFI on était cul par-dessus tètes (d’ailleurs expression grivoise utilisé par notre petit bourgeois parvenu pour d’autres problèmes parce qu’on ne les comptes plus !?)

Ou d’autres innovations dans ces conseils de défense divers de scientifiques qui se battaient entre eux dévoilant leur nullité !)

Les FRANÇAIS ont montré qu’ils peuvent se mobiliser quand ils le font avec force contre cette guerre anti juifs et antisémite mené par ce Hamas et ces terroristes islamiques barbares !?

Alors qu’ils prennent aussi leur courage à leur main en demandant à ce président sans amour propre petit bourgeois qui dédaigne tant le peuple de France F.HOLLANDE l’avait fait et étant donné qu’il sort du même moule de ce gouvernement( PS HOLLANDAIS) qu’il le fasse ce peuple naïf car beaucoup de Français seraient satisfaits car attendre 2027 c’est trop loin et  préféreraient revoter avant mais seraient-ils le faire tant ils choisissent mal depuis + de 40 car semblant incurables ?

Car il n’arrive à rien ce président depuis qu’il est au pouvoir il bavarde et soulent les Français avec ses leçons de bienpensant hypocrite c’est ça la réalité et la vérité et même avec la crise ISRAELO/HAMAS il va à contre-courant car ne sachant pas ou il va en subissant les moqueries d’autres pays à l’international !?

Le problème c’est que c’est notre président que nous avons réélu jusqu’en 2027 on a se qu’on mérite tant pis pour nous !?

JDeclef 17/11/2023 13h52

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1 commentaire:

  1. Pensez donc dire ce qu'on pense de notre président est forcement censuré par la modération d'abrutis du POINT et leur rédaction inféodée au pouvoir en place c'est une honte dans ce pays qui pratique la liberté d'expression pourtant inscrite dans notre constitution que beaucoup foulent au pied sans vergogne et qui devrait être sanctionnés !

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