LA GRANDE DEPRIME DE SON
CLAN EST LOGIQUE (IL N’Y A QUE LE PRESIDENT A NE PAS VOULOIR S’EN RENDRE
COMPTE) SURTOUT APRES QUE CERTAINS FRANÇAIS SI NAIFS L’ONT REELU ET SE PRENANT
ENCORE PLUS POUR UN MONARQUE DE L’ANCIEN REGIME ! COMME UN VIEUX CHEWINGUM QUI
COLLE AU PIEDS DES ELECTEURS QUI NE SAVENT PLUS CHOISIR ET DONT ILS N'ARRIVENT
PAS A SE DEBARASSER CES FRANÇAIS LAMBDA DONT BEAUCOUP N’Y CONNAISSE RIEN CAR
ETANT TROP JEUNES OU MANQUANT DE CULTURE HISTORIQUE QUE L’ON ENSEIGNE SI MAL
DANS NOTRE EDUCATION NATIONALE ?! OUI ! MAIS LES PAPY
BOOMEURS RETRAITES VONT DEVENIR MAJORITAIRES ALORS UN PEU D’ESPOIR CAR IL
VOTENT ENCORE MALGRE QUE TROP S’ABSTIENNENT ?! |
Emmanuel Macron songe-t-il déjà à sa retraite ? En tournée cette
semaine en Asie centrale, le chef de l'État s'est livré à de
curieux commentaires sur sa vie… Une fois qu'il aura quitté l'Élysée, en
2027, puisqu'il ne pourra pas concourir pour la troisième fois d'affilée
à l'élection présidentielle. « Il est probable que je ferai
quelque chose de complètement différent quand j'aurai fini », a-t-il déclaré durant
un échange avec des étudiants, à l'université d'Astana, lors de sa
visite au Kazakhstan.
Des déclarations qui ont forcément trouvé un écho en France, où le conflit
au Proche-Orient et ses répercussions nationales continuent par ailleurs de
monopoliser les ondes. Le président, pourtant réélu il y a seulement dix-huit
mois, a aussi farouchement défendu son bilan, et sa politique du « en même
temps ». Des interventions qu'il a même relayées sur son compte
X (ex-Twitter), au risque de paraître a minima en décalage avec le
contexte actuel. Testament avant l'heure ? Coup de mou passager ?
L'attitude du locataire de l'Élysée est révélatrice du malaise ambiant.
« Aujourd'hui, on vit côte à côte, je crains que demain on puisse vivre
face à face », avait alerté
l'ex-ministre de l'Intérieur Gérard Collomb, en quittant Beauvau,
dès octobre 2018. Le risque de fracture n'a jamais été aussi vif, exacerbé
par les divisions sur la guerre entre le Hamas et Israël, dans un pays qui doit
faire cohabiter la plus importante communauté musulmane avec la plus
importante communauté juive. Comment gouverner dans un contexte aussi
incandescent ? Comment préserver la République, l'union nationale ?
Emmanuel Macron marche sur des œufs, conscient de la gravité du moment.
Emmanuel Macron,
directeur de cabinet d'Alexis Kohler
Depuis son voyage au
Proche-Orient et le Conseil européen qui s'est tenu dans la foulée,
on l'a donc entendu sur toute autre chose : la
constitutionnalisation de l'IVG, la défense de la langue
française. Comme s'il cherchait à faire diversion. « On ne
construit rien, cela apparaît comme de la pure manœuvre. La réalité, c'est
qu'il est perdu… », s'inquiète-t-on dans ses rangs.
Des paroles fortes attendues de la part de Macron
C'est peu dire que le moment exigerait pourtant des paroles fortes et une
ligne claire. En premier lieu à l'adresse de son camp, où l'absence de
direction et d'animation provoque querelles internes et crispations intenses.
Le groupe Renaissance à l'Assemblée menace d'exploser entre, d'un côté, les
promoteurs de la cause israélienne, et, de l'autre, les partisans d'une ligne
d'équilibre, celle d'une solution à deux États, portée traditionnellement par
la France et le Quai d'Orsay. « Il existe une tonalité “ultra Israël” qui
ne correspond pas à la ligne du président de la République ni à la ligne
historique de la diplomatie française », a mis en garde le député
Renaissance Charles Sitzenstuhl, dans Le Figaro.
On a ainsi entendu un parlementaire – François Cormier-Bouligeon, élu du
Cher – contester publiquement la ministre des Affaires étrangères… Du jamais
vu. Selon nos informations, Catherine Colonna, par ailleurs accaparée par la
gestion de la crise, pourrait intervenir prochainement devant le groupe
Renaissance à l'Assemblée. Histoire de rappeler quelques fondamentaux.
Lors d'une réunion récemment, il était davantage question de la proposition
de loi à venir sur les punaises de lit… Un thème forcément plus consensuel.
« J'ai cru qu'il y avait une caméra cachée. On passe vraiment pour des
jambons qui ont la trouille alors que le seul sujet du moment, c'est
Israël », se désespère un parlementaire francilien.
Guerre
Hamas-Israël : au Proche-Orient, Macron a fait du MacronLes
divisions sur la question israélo-palestinienne sont de fait venues s'ajouter
au clivage déjà présent sur les sujets régaliens, et sur l'immigration en
particulier. L'examen du projet de
loi Darmanin, qui reprend au Sénat ce lundi 6 novembre et qui a
été avancé au mois de décembre à l'Assemblée dans la foulée de l'attentat
d'Arras, s'annonce comme l'un des moments les plus délicats pour l'unité de la
majorité. A fortiori si l'article 3 – qui concerne la
régularisation des travailleurs clandestins employés dans des métiers dits
« en tension » – disparaît finalement de la copie, mettant
à mal, aux yeux d'une partie des troupes, au sacro-saint
« équilibre » du texte. De l'autre côté, la députée Horizons et
vice-présidente de l'Assemblée Naïma Moutchou, proche d'Édouard Philippe, a
allumé une mèche en se prononçant en défaveur de cet article 3, dans Le
Figaro. « Il peut se passer une catastrophe sur l'immigration »,
appréhende un député macroniste en vue, selon qui tout est possible : que
la loi soit finalement rejetée dans l'hémicycle ou bien qu'il faille en passer
par un 49.3 qui risquerait de déboucher sur l'adoption d'une motion de
censure.
Tout cela est explosif. Le président devrait
mesurer l’inconvénient de la faiblesse de son dispositif politique.Un haut gradé de la majorité
Emmanuel Macron se garde bien de se mêler de cette âpre bataille, laissant
totalement la main à sa Première ministre, Élisabeth Borne, et son ministre de
l'Intérieur, Gérald Darmanin, par ailleurs en conflit ouvert. « Tout cela
est explosif. Le président devrait mesurer l'inconvénient de la faiblesse de
son dispositif politique », gronde un haut gradé. Un sénateur en
convient : « On navigue totalement à vue sur ce texte. Les LR vont
vouloir qu'on durcisse la copie et, à la fin, ils risquent de nous lâcher en
rase campagne, comme sur les retraites ! »
Lors d'un dîner en présence des responsables de la majorité lundi soir à
Matignon, la Première ministre a assuré que l'article 3 serait conservé.
Au moment du dessert, il a été discuté en revanche de l'opportunité de
restreindre l'accès à l'aide médicale d'État (AME) pour adresser un signal aux
LR. « On peut, par exemple, revenir sur la prise en charge des transports
dans certains cas », rapporte l'un des convives.
Le lendemain, cette fois au moment du déjeuner, des parlementaires de la
commission des Lois de l'Assemblée ont sorti la calculette : le compte,
pour l'instant, n'y est pas pour faire passer la loi. L'examen en commission
débutera le 27 novembre et le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a
fait savoir qu'il serait présent. À Beauvau, on reconnaît qu'il s'agit du sujet
« le plus difficile » mais qu'à la fin, « tout le monde
reviendra à la raison », veut-on croire.
« Que sommes-nous allés faire dans ce merdier ! On sait que
cette loi ne servira à rien ou à pas grand-chose. On n'a déjà pas réussi à
faire appliquer la loi Collomb [pour l'asile et l'immigration, votée en 2018,
NDLR]. On envoie juste un message politique », se lamente un député
Renaissance.
Le fil rouge de notre action n’est pas
lisible. On ne sait pas pourquoi on est là, on ne sait pas pourquoi on
légifère, la Première ministre n’incarne rien et ne prend aucune initiative.Un député Renaissance
La majorité, plus globalement, semble avancer avec des semelles de
plomb dans ce quinquennat. Les 49.3 à répétition sur le budget empêchent tout
débat. Les scénarios sont écrits à l'avance. « On enfile les 49.3 comme
les perles ! On est déconnectés du terrain. On manque d'humanisme, de
chair, d'incarnation », peste un élu en vue, qui va plus loin en décrétant
que « le “en même temps” ne rime plus à rien ».
Loi
immigration : 3 000 soignants signent une pétition pour le maintien
de l'aide médicale de l'ÉtatMême état d'esprit du côté de
l'un de ses collègues, pourtant fervent défenseur d'Emmanuel Macron. « Le
fil rouge de notre action n'est pas lisible. On ne sait pas pourquoi on est là,
on ne sait pas pourquoi on légifère, la Première ministre n'incarne rien et ne
prend aucune initiative. Au bout d'un moment, la voir arriver pour lire ses
notes, ça nous fait chier. Ce qui peut nous tuer et nous tuera, c'est
l'immobilisme. » Élisabeth Borne en convient elle-même du bout des
lèvres lors du dîner qu'elle a organisé lundi, à Matignon : les débats tronqués par
les 49.3, elle en a assez.
Macron ou la fin de règne
Un découragement et une perte de sens symptomatiques d'une fin de règne
précoce pour le président. « La seule question stratégique qui devrait
nous animer, c'est comment on bloque le risque Le Pen et on sauve le
quinquennat Macron. Car tout passe par-dessus bord : le renouvellement des
pratiques, le dépassement politique, qui ont fait le sel de notre
engagement », s'émeut un cadre de la majorité. Même les textes de loi
censés fédérer les troupes, comme celui sur le plein-emploi adopté début
octobre, passent totalement à la trappe.
Reste une question stratégique, à quelques mois des élections européennes,
échéance cruciale en vue de la prochaine présidentielle : comment redonner
de l'espoir, avec un exécutif à bout de souffle et des troupes
démoralisées ? « L'hypothèse terrible c'est le RN à 25 % et nous
à 15 %… », pointe un stratège.
Seul motif de réassurance pour cette
majorité en plein doute : la menace d'une motion de censure déposée par
Les Républicains semble se dégonfler. Les principales figures de la droite ont
beau mettre la pression toutes les semaines dans la presse du dimanche, le
groupe d'Olivier Marleix semble divisé sur l'opportunité, dans le contexte, de
provoquer la chute du gouvernement. Les socialistes ne s'associeraient
d'ailleurs pas à leur démarche, le groupe Liot non plus…
Car (s’il pense à la retraite ?)
10 ans c’est trop jusqu’en 2027 pour lui qu’il la prenne s’il ne peut plus assumer
correctement sa charge de chef d’état qu’il
s’en aille il est encore jeune et à l’abri du besoin car c’est le plus grand service
qu’il pourrait rendre aux Français qui ne supporte plus son inaction et sa procrastination
maladive voir ses discours alambiqués et creux de bienpensant donneurs de leçons
hypocrite et ses compassions larmoyantes lors d’incidents ou de drames divers que
traverse notre pays et ses habitants avec
ses bavardages incessants le tout ne servant
à rien car il dédaigne en plus les Français lambda car n’étant pas de leur monde
ce croyant bien haut dessus d’eux !?
L’erreur des Français lambda
à cause d’un système électoral à 2 tours de cette Veme république obsolète devenue
inutile qu’il faudrait changer car usée mais dont l’initiateur le Général de Gaulle
est décédé et a été rejeté par des Français ingrats car depuis on n’a pas retrouvé
un président fiable avec des gouvernements et leurs partis tous bords plus médiocres
les uns que les autres les ayant tous connus je ne peux que le dire !?
Après des émeutes de juin d’une
certaine jeunesse désabusée et l’antisémitisme rampant pas disparu renait ainsi
que des menaces d’attentats du a ce drame issu de cette attaque terroriste contre
les juifs d’ISRAEL qui oblige les israéliens qui se défendent contre ce HAMAS terroriste
ce qui est critiqué par certains bienpensants politiciens Français ou onusiens inutiles
entre autres hypocrite !?
Et l’insécurité grandissante
et des manifestations diverses dans notre pays jusqu’à même une forme d’hooliganisme
dans les matchs de football !?
Le monde entier déraille car
les hommes « ne sont pas si beaux et gentils » et le mysticisme religieux
est une plaie et la principale faiblesse des humains et l’hyper violence devient
la règle partout !?
Jdeclef 05/11/2023 11h05
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