dimanche 5 novembre 2023

Et la déprime des Français on en fait quoi ?! Il faudrait qu’il comprenne que la France n’est pas un théâtre ou l’on déclame des palabres que peu écoutent que ce soit dans notre pays ou à l’étranger et qui fait que la France régresse !?

 

La grande déprime du camp Macron !?

Par Mathilde Siraud

LETTRE DU PALAIS. La question israélo-palestinienne ou le sujet de l’immigration réveillent des clivages au sein du pouvoir. Les 49.3 usent les députés tandis que le président paraît étrangement en retrait.

LA GRANDE DEPRIME DE SON CLAN EST LOGIQUE (IL N’Y A QUE LE PRESIDENT A NE PAS VOULOIR S’EN RENDRE COMPTE) SURTOUT APRES QUE CERTAINS FRANÇAIS SI NAIFS L’ONT REELU ET SE PRENANT ENCORE PLUS POUR UN MONARQUE DE L’ANCIEN REGIME !

COMME UN VIEUX CHEWINGUM QUI COLLE AU PIEDS DES ELECTEURS QUI NE SAVENT PLUS CHOISIR ET DONT ILS N'ARRIVENT PAS A SE DEBARASSER CES FRANÇAIS LAMBDA DONT BEAUCOUP N’Y CONNAISSE RIEN CAR ETANT TROP JEUNES OU MANQUANT DE CULTURE HISTORIQUE QUE L’ON ENSEIGNE SI MAL DANS NOTRE EDUCATION NATIONALE ?!

OUI ! MAIS LES PAPY BOOMEURS RETRAITES VONT DEVENIR MAJORITAIRES ALORS UN PEU D’ESPOIR CAR IL VOTENT ENCORE MALGRE QUE TROP S’ABSTIENNENT ?!

Emmanuel Macron songe-t-il déjà à sa retraite ? En tournée cette semaine en Asie centrale, le chef de l'État s'est livré à de curieux commentaires sur sa vie… Une fois qu'il aura quitté l'Élysée, en 2027, puisqu'il ne pourra pas concourir pour la troisième fois d'affilée à l'élection présidentielle. « Il est probable que je ferai quelque chose de complètement différent quand j'aurai fini », a-t-il déclaré durant un échange avec des étudiants, à l'université d'Astana, lors de sa visite au Kazakhstan.

Des déclarations qui ont forcément trouvé un écho en France, où le conflit au Proche-Orient et ses répercussions nationales continuent par ailleurs de monopoliser les ondes. Le président, pourtant réélu il y a seulement dix-huit mois, a aussi farouchement défendu son bilan, et sa politique du « en même temps ». Des interventions qu'il a même relayées sur son compte X (ex-Twitter), au risque de paraître a minima en décalage avec le contexte actuel. Testament avant l'heure ? Coup de mou passager ?

L'attitude du locataire de l'Élysée est révélatrice du malaise ambiant. « Aujourd'hui, on vit côte à côte, je crains que demain on puisse vivre face à face », avait alerté l'ex-ministre de l'Intérieur Gérard Collomb, en quittant Beauvau, dès octobre 2018. Le risque de fracture n'a jamais été aussi vif, exacerbé par les divisions sur la guerre entre le Hamas et Israël, dans un pays qui doit faire cohabiter la plus importante communauté musulmane avec la plus importante communauté juive. Comment gouverner dans un contexte aussi incandescent ? Comment préserver la République, l'union nationale ? Emmanuel Macron marche sur des œufs, conscient de la gravité du moment.

 Emmanuel Macron, directeur de cabinet d'Alexis Kohler

Depuis son voyage au Proche-Orient et le Conseil européen qui s'est tenu dans la foulée, on l'a donc entendu sur toute autre chose : la constitutionnalisation de l'IVG, la défense de la langue française. Comme s'il cherchait à faire diversion. « On ne construit rien, cela apparaît comme de la pure manœuvre. La réalité, c'est qu'il est perdu… », s'inquiète-t-on dans ses rangs.

Des paroles fortes attendues de la part de Macron

C'est peu dire que le moment exigerait pourtant des paroles fortes et une ligne claire. En premier lieu à l'adresse de son camp, où l'absence de direction et d'animation provoque querelles internes et crispations intenses. Le groupe Renaissance à l'Assemblée menace d'exploser entre, d'un côté, les promoteurs de la cause israélienne, et, de l'autre, les partisans d'une ligne d'équilibre, celle d'une solution à deux États, portée traditionnellement par la France et le Quai d'Orsay. « Il existe une tonalité “ultra Israël” qui ne correspond pas à la ligne du président de la République ni à la ligne historique de la diplomatie française », a mis en garde le député Renaissance Charles Sitzenstuhl, dans Le Figaro.

On a ainsi entendu un parlementaire – François Cormier-Bouligeon, élu du Cher – contester publiquement la ministre des Affaires étrangères… Du jamais vu. Selon nos informations, Catherine Colonna, par ailleurs accaparée par la gestion de la crise, pourrait intervenir prochainement devant le groupe Renaissance à l'Assemblée. Histoire de rappeler quelques fondamentaux.

Lors d'une réunion récemment, il était davantage question de la proposition de loi à venir sur les punaises de lit… Un thème forcément plus consensuel. « J'ai cru qu'il y avait une caméra cachée. On passe vraiment pour des jambons qui ont la trouille alors que le seul sujet du moment, c'est Israël », se désespère un parlementaire francilien.

 Guerre Hamas-Israël : au Proche-Orient, Macron a fait du MacronLes divisions sur la question israélo-palestinienne sont de fait venues s'ajouter au clivage déjà présent sur les sujets régaliens, et sur l'immigration en particulier. L'examen du projet de loi Darmanin, qui reprend au Sénat ce lundi 6 novembre et qui a été avancé au mois de décembre à l'Assemblée dans la foulée de l'attentat d'Arras, s'annonce comme l'un des moments les plus délicats pour l'unité de la majorité. A fortiori si l'article 3 – qui concerne la régularisation des travailleurs clandestins employés dans des métiers dits « en tension » – disparaît finalement de la copie, mettant à mal, aux yeux d'une partie des troupes, au sacro-saint « équilibre » du texte. De l'autre côté, la députée Horizons et vice-présidente de l'Assemblée Naïma Moutchou, proche d'Édouard Philippe, a allumé une mèche en se prononçant en défaveur de cet article 3, dans Le Figaro. « Il peut se passer une catastrophe sur l'immigration », appréhende un député macroniste en vue, selon qui tout est possible : que la loi soit finalement rejetée dans l'hémicycle ou bien qu'il faille en passer par un 49.3 qui risquerait de déboucher sur l'adoption d'une motion de censure.

Tout cela est explosif. Le président devrait mesurer l’inconvénient de la faiblesse de son dispositif politique.Un haut gradé de la majorité

Emmanuel Macron se garde bien de se mêler de cette âpre bataille, laissant totalement la main à sa Première ministre, Élisabeth Borne, et son ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, par ailleurs en conflit ouvert. « Tout cela est explosif. Le président devrait mesurer l'inconvénient de la faiblesse de son dispositif politique », gronde un haut gradé. Un sénateur en convient : « On navigue totalement à vue sur ce texte. Les LR vont vouloir qu'on durcisse la copie et, à la fin, ils risquent de nous lâcher en rase campagne, comme sur les retraites ! »

Lors d'un dîner en présence des responsables de la majorité lundi soir à Matignon, la Première ministre a assuré que l'article 3 serait conservé. Au moment du dessert, il a été discuté en revanche de l'opportunité de restreindre l'accès à l'aide médicale d'État (AME) pour adresser un signal aux LR. « On peut, par exemple, revenir sur la prise en charge des transports dans certains cas », rapporte l'un des convives.

Le lendemain, cette fois au moment du déjeuner, des parlementaires de la commission des Lois de l'Assemblée ont sorti la calculette : le compte, pour l'instant, n'y est pas pour faire passer la loi. L'examen en commission débutera le 27 novembre et le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a fait savoir qu'il serait présent. À Beauvau, on reconnaît qu'il s'agit du sujet « le plus difficile » mais qu'à la fin, « tout le monde reviendra à la raison », veut-on croire.

« Que sommes-nous allés faire dans ce merdier ! On sait que cette loi ne servira à rien ou à pas grand-chose. On n'a déjà pas réussi à faire appliquer la loi Collomb [pour l'asile et l'immigration, votée en 2018, NDLR]. On envoie juste un message politique », se lamente un député Renaissance.

Le fil rouge de notre action n’est pas lisible. On ne sait pas pourquoi on est là, on ne sait pas pourquoi on légifère, la Première ministre n’incarne rien et ne prend aucune initiative.Un député Renaissance

La majorité, plus globalement, semble avancer avec des semelles de plomb dans ce quinquennat. Les 49.3 à répétition sur le budget empêchent tout débat. Les scénarios sont écrits à l'avance. « On enfile les 49.3 comme les perles ! On est déconnectés du terrain. On manque d'humanisme, de chair, d'incarnation », peste un élu en vue, qui va plus loin en décrétant que « le “en même temps” ne rime plus à rien ».

Loi immigration : 3 000 soignants signent une pétition pour le maintien de l'aide médicale de l'ÉtatMême état d'esprit du côté de l'un de ses collègues, pourtant fervent défenseur d'Emmanuel Macron. « Le fil rouge de notre action n'est pas lisible. On ne sait pas pourquoi on est là, on ne sait pas pourquoi on légifère, la Première ministre n'incarne rien et ne prend aucune initiative. Au bout d'un moment, la voir arriver pour lire ses notes, ça nous fait chier. Ce qui peut nous tuer et nous tuera, c'est l'immobilisme. » Élisabeth Borne en convient elle-même du bout des lèvres lors du dîner qu'elle a organisé lundi, à Matignon : les débats tronqués par les 49.3, elle en a assez.

Macron ou la fin de règne

Un découragement et une perte de sens symptomatiques d'une fin de règne précoce pour le président. « La seule question stratégique qui devrait nous animer, c'est comment on bloque le risque Le Pen et on sauve le quinquennat Macron. Car tout passe par-dessus bord : le renouvellement des pratiques, le dépassement politique, qui ont fait le sel de notre engagement », s'émeut un cadre de la majorité. Même les textes de loi censés fédérer les troupes, comme celui sur le plein-emploi adopté début octobre, passent totalement à la trappe.

Reste une question stratégique, à quelques mois des élections européennes, échéance cruciale en vue de la prochaine présidentielle : comment redonner de l'espoir, avec un exécutif à bout de souffle et des troupes démoralisées ? « L'hypothèse terrible c'est le RN à 25 % et nous à 15 %… », pointe un stratège.

Seul motif de réassurance pour cette majorité en plein doute : la menace d'une motion de censure déposée par Les Républicains semble se dégonfler. Les principales figures de la droite ont beau mettre la pression toutes les semaines dans la presse du dimanche, le groupe d'Olivier Marleix semble divisé sur l'opportunité, dans le contexte, de provoquer la chute du gouvernement. Les socialistes ne s'associeraient d'ailleurs pas à leur démarche, le groupe Liot non plus…

Car (s’il pense à la retraite ?) 10 ans c’est trop jusqu’en 2027 pour lui qu’il la prenne s’il ne peut plus assumer correctement sa charge de chef d’état  qu’il s’en aille il est encore jeune et à l’abri du besoin car c’est le plus grand service qu’il pourrait rendre aux Français qui ne supporte plus son inaction et sa procrastination maladive voir ses discours alambiqués et creux de bienpensant donneurs de leçons hypocrite et ses compassions larmoyantes lors d’incidents ou de drames divers que traverse notre pays et ses habitants  avec ses  bavardages incessants le tout ne servant à rien car il dédaigne en plus les Français lambda car n’étant pas de leur monde ce croyant bien haut dessus d’eux !?

L’erreur des Français lambda à cause d’un système électoral à 2 tours de cette Veme république obsolète devenue inutile qu’il faudrait changer car usée mais dont l’initiateur le Général de Gaulle est décédé et a été rejeté par des Français ingrats car depuis on n’a pas retrouvé un président fiable avec des gouvernements et leurs partis tous bords plus médiocres les uns que les autres les ayant tous connus je ne peux que le dire !?

Après des émeutes de juin d’une certaine jeunesse désabusée et l’antisémitisme rampant pas disparu renait ainsi que des menaces d’attentats du a ce drame issu de cette attaque terroriste contre les juifs d’ISRAEL qui oblige les israéliens qui se défendent contre ce HAMAS terroriste ce qui est critiqué par certains bienpensants politiciens Français ou onusiens inutiles entre autres hypocrite !?  

Et l’insécurité grandissante et des manifestations diverses dans notre pays jusqu’à même une forme d’hooliganisme dans les matchs de football !?

Le monde entier déraille car les hommes « ne sont pas si beaux et gentils » et le mysticisme religieux est une plaie et la principale faiblesse des humains et l’hyper violence devient la règle partout !?

Jdeclef 05/11/2023 11h05

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